✌✌ JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE ✌✌ 👉Épisode 14

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JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE😷😍
😍😍PARTIE 14
… vous n’avez pas le sida.
-Josiane : (Etonnée) Merci madame.
Elle ne savait pas pourquoi je l’avais conduit à l’hôpital. Mais quand la dame a donné le résultat du texte, elle a tout compris. Je savais qu’elle allait un peu m’engueuler mais elle ne l’a pas fait (en tout cas, pas devant la dame).
-Moi : Merci madame, pour votre service.
-La dame : C’est à moi de vous remercier jeune homme pour vous avoir soucier non seulement de votre vie mais aussi de celle de votre sœur
-Moi : ok, merci.
-Josiane : (…)
On prend la direction de la porte et tout à coup, la dame nous arrête ;
-La dame : Au fait…
-Moi : oui madame.
-La dame : Prenez ça, je crois que vous devez l’avoir sur vous, ça doit beaucoup vous aider. Désolé de ne pas vous avoir remis ça plus tôt. (Elle nous tend un carton plein de préservatif pour homme et un demi carton de préservatif pour femme)
-Moi : Vraiment merci madame.
-La dame : C’est l’hôpital qui offre. Surtout, tâchez de vous protéger.
-Moi : Oui madame, c’est promis.
Ensuite, on est sorti du bureau et on est rentré à la maison. Jusque-là, Josiane ne disait rien.
Arrivé à la maison, elle est descendue de la moto et je suis allé déposer la moto au garage et je suis allé au salon.
Josiane m’attendait, l’air super énervé. Elle était adossée à une des chaises de la salle à manger.
-Attends un peu, tu crois que je suis une sidéenne, c’est pour ça que tu m’as emmené à l’hôpital ?
-Non, c’est que…
-Y’a rien à expliquer, t’es trop gonflé, tu sais ça ?
- (…) Arrêtes de m’insulter stp. Si j’ai fait ça, c’est pour une bonne raison.
-Ah bon !, maintenant tu vas me donner la raison qui t’a poussé à te moquer de moi.
-Me moquer de toi ?
-Oui, j’appelle ça, « se moquer de moi ».
-Carrelle a le Sida.
- (Elle éclata de rires) T’es malade ou quoi ? Ou bien t’as fait un rêve.
-Je suis sérieux (mine serrée)
-Quoi ? Stp, t’es sûre que la dame a bien fait le test ? Retournons chez elle immédiatement, je veux être sûre que je n’ai rien, parce que si elle a le Sida, c’est sûr qu’elle t’a refilé ça et toi à moi. D’ailleurs, toi t’as fait ton test ?
-Oui, je l’ai fait hier. Moi aussi j’ai le Sida.
-Mon Dieu, Vido, t’as quoi ?
-Arrêtes, je blague, je suis sain.
-Non, ça ce n’est pas une bonne blague-là. Rassures-moi que tu n’as rien.
-Je te l’ai déjà dit, je suis sain. Comme toi.
-Mais, ce n’est pas logique, comment peut-elle être infectée si ce n’est pas toi ?
-Aucune idée, je ne comprends plus rien du tout.
-Alors, c’est pour ça que t’étais sorti hier ?
-En fait, elle avait fait une crise avant-hier nuit, donc je suis allé à l’hôpital hier pour la voir, et j’y suis resté presque toute la journée.
Pendant qu’on parlait, maman appela avec le numéro de la femme de mon oncle.
-Allô maman.
-Salut chéri, comment ça va ?
-ça va bien maman et toi ?
-ça va. Ta cousine va bien ?
-Oui, on est tous là. Et me frères et sœurs, tout va bien ?
-Oui.
(…) On a parlé des choses habituelles, puis j’ai raccroché. Ensuite Josiane et moi avons continué notre discussion.
-Tu sais, j’aime Carrelle, et je ne suis pas prêt de la voir mourir maintenant.
-Comment ? Le docteur a dit qu’elle va mourir ?
-Oui, dans au plus 3 semaines.
-Seigneur ! Je suis vraiment désolé.
- (…) Je vais passer la voir ce soir pour connaître l’état de sa santé
-ça te gêne si je viens avec toi ?
-Non, laisses-tomber, j’irai là-bas tout seul, merci.
-Ok, comme tu voudras.
-Désolé.
Il était déjà 12h.
-Alors, on va manger quoi ? Sinon, moi j’ai un appétit très particulier depuis cette affaire de Sida. J’imagine si on avait tous le Sida, qu’est-ce que tu en penses Vido ?
-je n’en pense rien, et stp, arrêtes d’imaginer ce genre de chose, je suis déjà trop peiné comme ça.
-Désolé Vido.
-ça va aller. Prépares ce que tu veux, moi aussi j’ai faim.
-Ok, à tout à l’heure.
Elle alla en cuisine faire un repas, après elle l’a apporté au Salon. On a mangé puis je suis allé me reposer dans ma chambre, à 16h, je me suis réveillé, j’ai pris une douche et je suis allé au salon regarder la télé. Josiane dormait sur la nappe derrière le canapé.
A 18h 30, j’ai décidé d’aller rendre visite à Carrelle, Josiane était déjà réveillée en ce moment.
-Bon, à plus. Je vais faire un tour chez Carrelle.
-D’accord fait beaucoup attention à toi et surtout ne te laisses pas blesser par les objets de chez elle.
-Sois pas si arrogante, rien ne vas m’arriver, de toute façon, si je suis contaminé, tu le seras aussi. (Rires)
-Ah bon, je vais t’empêcher de m’approcher.
-Anh, j’espère que tu sauras d’abord que j’ai le Sida. Bon à tout à l’heure.
Je prends la moto et je sors. Sur la route, je me suis arrêté pour lui acheter quelque chose à manger. Une fois arrivé dans son quartier, je suis d’abord allé chez Roland et il m’a ensuite accompagné chez Carrelle.
Elle était assise dehors, manipulant son téléphone, autant dire qu’elle essaye de ne pas se souvenir de ce qui lui arrivera bientôt.
-Roland : Salut Carrelle, ça va ?
-Carrelle : Oui oui, ça va, je suis là (triste). Salut Vido, j m’attendais pas à te voir ici.
-Moi : Je sais. J’ai voulu te rendre visite, pour voir comment tu allais et aussi prendre de tes nouvelles.
-Carrelle : Merci Vido.
-Moi : Tu as déjà mangé ? Tiens, j’ai pris sur la route quand j’arrivais.
-Carrelle : Merci Vido, je te remercie encore, pour tout ce que tu as fait pour moi jusque-là, je sais que je ne pourrai plus te rembourser vu que je vais bientôt mourir, mais Dieu te le rendra, au centuple.
-Moi : Amen, stp Carrelle arrêtes de dire que tu vas bientôt mourir.
-Roland : Oui, stp Carrelle.
-Carrelle : (…) Roland tu peux nous laisser, David et moi ? Je veux parler avec lui, seule à seul
-Roland : Bien sûr. Bon bro, à tout à l’heure ou si tu finis passes chez moi.
Roland s’en alla. Il ne restait plus que Carrelle et moi.
-Allons à l’intérieur stp Vido, il commence par faire froid dehors ici.
-D’accord, comme tu voudras.
On entra à l’intérieur puis elle me demanda de m’asseoir sur le li puis elle s’assied à côté de moi.
-Alors, qu’est-ce que tu voulais me dire?
👀A suivre

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