✌✌ JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE ✌✌ 👉Épisode 6

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JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE
PARTIE 6
… je ressentais la chaleur que dégageait son corps.
Je retirai la couverture, elle portait seulement une très petite jupe.
On commença par s’embrasser, ooohhh j’adore sucer ses lèvres même si je fais par fois semblant de jouer au sérieux.
-Stp Vido, je veux que tu me fasses l’amour comme jamais, je suis prête pour toutes les positions, tues-moi bb.
A ces mots, je devins complètement dingue, j’étais tellement excité, j’avais la bite en ‘’I’’ comme le compèt’.
Je monte sur elle et je commence par la caresser.
-humm oooooh, Vido je suis toute à toi.
Je continue les préliminaires en embrassant sa mâchoire et son cou. Elle était folle d’envie. Je bloque ses poignets avec mes mains et descends vers sa poitrine puis je lèche le creux de seins. Elle soupire de joie. Je glissai ensuite ma main le long de son corps de son cou à son entrejambe en passant par les seins et son ventre. Je glissais ma main entre ses cuisses; son sexe dégoulinant de cyprine qui coulait le long de ses cuisses.
Elle poussa un petit cri quand mon doigt se posait sur son clitoris ; sa vulve était trempée comme jamais; son ventre se soulevait dans un long gémissement alors que je stimulais son petit clitoris, elle respirait vite. Ensuite je glissai mon doigt entre les lèvres bouillantes de son vagin, entrant doucement au fond de son vagin, elle gémit.
-Anhh Vido, je suis à fond, je vais mourir... ooohh hann aaahhh ooohh hhmm
Quand elle atteint son premier orgasme, je retirai ma main de son entrejambe.
Après elle inversa le rôle : elle me retourna sur le lit et se mis à califourchon sur moi. Elle commence par lécher chaque parcelle de mes pectoraux et de mes abdos, qu’est-ce qu’elle est douce hummmm, j’étais super excité. Ensuite elle descend vers mon pubis, mordille mon gland à travers mon caleçon.
-Ayii, ça fait un peu mal.
Elle retira mon caleçon, mon pénis était déjà bien dressé sur une quinzaine de centimètres. Elle commença par donner des coups de langue sur mon gland, merde, je tremblais d’impatience de jouir. Elle enroule sa main gauche autour de mon pénis et commence des lents mouvements de vas et viens, elle ouvre légèrement la bouche devant mon gland et commence par sucer, je ressentais un plaisir énorme.
-Ohh Josiane… Stp, je oooohhh…
Elle commença par sucer plus profondément, la sensation était indescriptible, j’attrape ses cheveux puis je secoue sa tête pour accélérer le mouvement.
-Humm oooh, Josiane je vais…. Ça vient… je…
J’éjacule dans sa bouche, ooh enfin… Elle avale le liquide.
Elle se redressa, caressa un peu mon gland et mon érection repris :
-Vido, vas-y pénètres-moi, je n’en peux plus.
Je la mets à quatre patte. Ensuite, je plaçai mon gland à l’entrée de son vagin puis je commençai par la pénétrer doucement. Quelle sensation !!!
-(Je criais) hoooooo…
-hummm Vido, plus vite
J’accélère les coups de reins, ses fesses claquaient contre mon pubis à chaque entrée de ma machine. Les gémissements s’intensifiaient, elle atteint déjà son orgasme final, je sens que je vais jouir….
-Oohhh ; (je jouis en rependant mon sperme dans son vagin)
Enfin, le plaisir, j’étais très satisfait, elle aussi d’ailleurs.
-Alors, comment tu as trouvé pour cette fois-ci Josiane ?
-Ohh, j’aurais aimé que ce soit comme ça tous les jours.
-Ah non, c’est suicidaire ça, je me sens très faible maintenant.
-Hum je sais, moi aussi je suis un peu fatigué. Mais, putain, Vido, j’ai eu deux orgasmes, c’est incroyable, tu es un Dieu.
-Arrêtes un peu, je ne suis pas un dieu, j’ai juste donner le meilleur de moi
-Attends ici, je vais t’apporter quelque chose à manger.
-Non, tu dois d’abord te laver et moi aussi d’ailleurs.
On alla se laver, c’était sans risque parce que maman était en haut et nous en bas.
Après avoir pris la douche, on a mangé tous les biscuits et chocolats que j’avis piqué dans les produits de maman dans l’après-midi quand j’avais accompagné le chauffeur pour aller l’aider à décharger les bagages de ma maman. Ensuite on but beaucoup d’eau et s’en dormi. (Chacun dans sa chambre).
Le lendemain, Josiane s’est vite réveillé et a vite fait le petit déjeuné, même avant le réveil de maman. Quant à moi, je m’étais réveillé à 8h, elles avaient déjà pris leur petit déjeuné et il restait ma part sur la table à manger. Quand je suis arrivé au salon maman et Josiane étaient dans le divan : maman dans le canapé (elle s’apprêtait déjà pour aller dans boutique) et Josiane dans le divan à côté de maman, elles étaient en train de bavarder et elles avaient l’air de bien s’entendre.
-Moi : Bonjour ici.
Quand Josiane me vu, elle baissa la tête et sourit, maman ne se doutait de rien.
-Maman : Ouais, le paresseux, tu vois ? Ta cousine s’est réveillée très tôt aujourd’hui pour faire le petit déjeuné, même avant que je me réveille.
-Josiane : Hum, tanti, laisses-le, c’est un garçon inh.
-Maman : Toi, arrêtes de prendre sa défense, Vido ne veux rien faire à part manger, dormir, jouer.
-Moi : ma... Maman, c’est la fatigue.
-Maman : prr ; vas manger inh, quelle fatigue. C’est comme si tu avais de femme. Paresseux (rires.)
Je me dirigeai vers la table à manger et je m’assis puis je pris mon petit déjeuné.
Quand j’ai fini, j’ai eu envie d’uriner, alors je suis allé dans les toilettes. A mon retour, maman était déjà debout et prête à sortir.
-Maman : Je vais déjà dans la boutique, disons à ce soir. Soyez sage et ne vous engueulez surtout pas : elle donna les mêmes conseils comme d’habitudes.
-Moi : Ok maman, bonne vente, je vais faire un tour à la boutique dans l’après-midi
-Maman : Ok, viens quand tu pourras.
-Josiane : Au revoir tanti et bonne vente.
-Maman : merci ma chérie.
Maman pris la voiture et s’en alla. Il ne reste que Josiane et moi à la maison.
-Comment tu te sens Vido ?
-A ton avis, comment je me sens.
-Bah, je ne sais pas trop.
-Je suis fatigué, j’ai encore envie de dormir.
-Hum, tu as utilisé beaucoup d’énergie hier, je te comprends.
-Bon, je vais me reposer encore un peu.
Elle s’approcha de moi, m’embrassa et me souffla dans les oreilles :
-Tu es un dieu de la baise.
-Pff, c’est toi qui parle de Dieu
Je parti me coucher. Je me suis réveillé à 14h, oups, je ne peux plus aller voir maman, le soleil était trop ardent et même si je m’efforçais d’aller la voir, elle va me gronder et me demander pourquoi j’ai pris le risque d’affronter ces rayons ardents du soleil pour venir la voir. Alors, autant resté à la maison
Je suis donc sorti pour aller au salon. Je vu ma cousine devant la télé, mais elle manipulait aussi son téléphone portable.
-hey, salut toi, tu ne t’es pas reposer ?
-Si si, je me suis réveillée il y a 3h de temps.
-AOK, je vois. Tu fais quoi ?
-WhatsApp, Facebook, telegram
-Ah oui, j’allais oublier, tu es une… peu importe.
-Oui, je sais, dis ce que tu veux ; au moins, tu le sais maintenant.
Elle baissa la tête et continua son surf, quant à moi, je me suis assis dans le divan à sa gauche et j’ai regardé la télé pendant un moment et ensuite je l’ai éteint. Puis je suis allé allumer le poste bureautique du salon et j’ai commencé par jouer à un jeu de Microsoft Solitaire, j’avais choisi Spider.
J’ai joué le 1er tour, le 2nd tour et pendant que je jouais au 3ème tours, mon téléphone sonna. Je l’avais laissé sur le guéridon, où je regardais la télé. Je me précipitai alors pour aller le chercher ; c’est Carrelle qui m’appelait ; que vais-je répondre à cette garce ?
A suivre...

JOSIANE: CE GENRE DE COUSINEWhere stories live. Discover now