✌✌ JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE ✌✌ 👉Épisode 28

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JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE
PARTIE 28
… Je commence par l’embrasser.
-Humm, j’aime bien ça.
Elle se tourne et s’assied sur la table. Je m’approche d’elle, j’enroule ses jambes autour de ma hanche puis on commença par s’embrasser.
-Attends Vido, je dois finir ce que je prépare
-Non, c’est du riz, ça peut attendre.
On continue par s’embrasser.
Elle retire mon t-shirt et retire enlève sa chemise. Je commence par la caresser.
Elle frémit comme un oiseau battu par la pluie alors qu’il retournait vers son nid.
-Hum, Vido, ça m’a manqué.
-Moi aussi.
Je continue de l’embrasser tout en la caressant, elle craque la boucle de ma ceinture sous coup d’impatience, ensuite elle ouvre le bouton de mon pantalon et le descend. Je l’étale sur la table et j’enlève son soutien, faisant apparaître ses seins clairs et ses tétons plus ou moins gris et durs.
-Hum, baises-moi comme jamais chou.
-(…)
Je me penche sur elle, je l’embrasse et je commence par sucer ses seins, tout en baladant ma main le long de son cou, du cou passant par son tronc puis descendant dans sa jupe.
Je retire ensuite la jupe puis son string.
-… toc toc, (venant de la porte du salon).
-Josiane : Merde, c’est qui celui-là ?
On se rhabille précipitamment. Josiane se dirige vers le gaz et moi je sors pour aller ouvrir.
« Merde, j’étais sur le point de…, qui est cette personne qui vient nous déranger ? » me dis-je.
J’arrive au salon et je vais ouvrir la porte.
-(…)
-Maman !!
Elle me sourit puis je me jette dans ses bras.
-Comment ça va ?
-Bien, tu m’as trop manqué.
-Toi aussi chéri. Pourquoi tu as cette mine-là ? Tout va bien ?
-Oui maman, ne t’inquiètes pas.
-Ah d’accord. Bon, va ouvrir le grand portail, le chauffeur toi décharger les bagages et marchandises que j’ai apportés de là-bas.
-D’accord. Aller, entres.
-Merci.
Je cours ouvrir le portail et j’aide le chauffeur à décharger les bagages dans le magasin puis je rejoins maman au salon.
Elle s’était allongée dans le canapé.
-Bonne arrivée maman, comment a été le voyage ?
-Merci. Le voyage a été comme tant d’autres inh mon fils, mais là, tout de suite, je suis fatiguée.
-D’accord, reposes-toi bien alors.
-Mais où est ta cousine ?
- (Mon cœur bat très fort.) Euh, à la cuisine. On avait fait le ménage et elle a décidé de faire à manger (voix tremblante)
-D’accord. Mais tu es sûr que ça va ? Tu es tout bizarre.
-Oui, maman, je me sens un peu fatigué après avoir fait le ménage.
-Anh ok. Alors, je pense que je ne suis pas le seul à avoir besoin de me reposer enfin de compte.
-Hum maman, je n’ai pas envie de me reposer maintenant.
-Oh que si ! Tu dois te reposer pour te sentir mieux.
Pendant qu’on parlait, Josiane arrive au salon avec la nourriture et elle avait l’air aussi bouleversé que moi.
-Hey, tanti. Tu es enfin revenue, si tu savais à quel point tu m’as manqué.
-toi aussi ma chérie, aller viens là. (Elle la prend dans ses bras)
-Je suis contente de te revoir.
Josiane me regarde et change de mine. Maman constate et lui demande :
-Qu’est-ce qui ne va pas chérie ?
-Tout va bien tanti, je suis juste un peu stressée, c’est tout.
-Non, je ne te crois pas. Toi non plus Vido !
-Moi : Hum maman ?
-Maman : Oui, tu avais la même mine tout à l’heure. Qu’est-ce que vous me cachez, tous les deux ?
-Moi : Rien maman.
-Josiane : Rien du tout tanti, moi je suis juste stressée.
-Maman : Non, pas comme ça, pas au même moment. En plus vous avez l’air d’être en train de me cacher quelque chose. C’est quoi cette chose ?
-Moi : Aller, maman, comme je te le dis, on ne cache rien du tout. C’est la journée qui a été fatigante.
-Josiane : C’est ça tanti.
Maman savait qu’il y a quelque chose qui cloche mais elle ne savait pas ce que c’était.
Au bout de quelques secondes de silence, elle hoche la tête à plusieurs, comme quand quelqu’un finit par comprendre ce qu’il a toujours chercher à comprendre.
-Maman : Voilà…. Maintenant je comprends tout. Donc c’est ça que vous me cachez ? J’aurais dû m’en douter. (Elle change d’humeur en même temps).
A ces mots Josiane et moi avons pris peur.
« A-t-elle découvert ce que nous faisions en cachette ? Si oui, comment allons-nous nous y prendre ? Et quelle sera notre sort dans l’avenir ? » : Autant de questions que je me posais.
Je suis que Josiane aussi se posait les mêmes questions.
-Moi : (Je regarde maman).
-Maman : (Elle nous regarde à tour de rôle) oui, j’ai tout compris. Pourquoi ?
Ma peur s’agrandit encore, on pouvait même entendre mon cœur battre dans ma poitrine.
-Maman : Répondez-moi ! Pourquoi vous vous êtes disputés aujourd’hui alors que je vous ai déjà interdit ça. Vous êtes non seulement durs d’oreilles mais aussi irrespectueux. Je déteste quand on se dispute.
-Josiane et moi : Ouf, (on émet un soupire).
C’était le soulagement total, j’ai cru qu’elle avait découvert pour le sexe, et j’étais mort de trouille. Josiane me regarde et me sourit.
-Maman : c’est parce que je suis là que vous vous souriez ? Pourquoi vous ne le faites pas à tout moment ?
Josiane et moi avons tout de suite compris l’enjeu et on savait qu’on devait s’adapter à ce que maman disait. Alors on est entré dans le même contexte qu’elle.
-Moi : Excuses-nous maman.
-Josiane : Pourquoi tu dis à maman de nous excuser ? C’est à toi de demander d’excuse et ceci pour toi seul parce que c’est toi qui a commencé en premier.
-Moi : Quoi ?
-Maman : Vous n’allez pas recommencer ça devant moi quand même !
On a vu que ça avait l’air de marcher, donc Josiane a continué.
-Josiane : Désolé tanti. C’est Vido qui a commencé ce matin. Il s’est réveillé à 6h environ puis il a allumé une chanson et a mis le volume max dans le baffle. Cela m’a réveillé et quand j’ai essayé de lui expliquer que je dormais encore et qu’il devait diminuer le volume de sa chanson, il n’a pas voulu m’écouter. J’ai alors éteint ça. C’est comme ça qu’on a commencé par se disputer.
-Maman : Ah bon ! Qu’est-ce que tu en dis Vido ? C’est vrai que tu as fait ce genre de bêtise aujourd’hui ?
-Moi : (Je baisse la tête et je ne réponds pas.)
-Maman : Ah je vois.
-Josiane : Excuses-nous tanti, on s’est emporté ce matin et ce n’était pas bien.
-Maman : Oui, je sais. Mais à ta place, je ferai la même chose. C’est Vido qui a commis une erreur.
-Moi : Pardonnes-moi maman.
-Maman : Combien de fois a -t-il fait des bêtises depuis que je suis allé au Togo ?
-Josiane : Seulement ce matin tanti.
-Maman : Il a de la chance, sinon, j’allais le punir.
Je regarde maman et je souris. La connaissant, elle n’allait pas me punir mais pour montrer qu’elle devait me punir pour ce que j’ai fait (enfin, ce qu’on croit que j’ai fait), elle a cherché un prétexte. Mais bon, peu importe, notre plan marchait bien et ça me réjouissait même si maman croyait que j’ai fait de la pagaille.
-Josiane : Ne t’inquiètes pas tanti, on s’est entendu après ça.
-Maman : Ah bon ?
-Josiane : Oui tanti, tu vois, on a fait le ménage ensemble.
-Maman : Oh les enfants, c’est trop bien. Vous vous êtes conduits en adultes. D’abord, vous vous êtes disputés, puis après, vous vous êtes réconciliés.
-Moi : Anhan, je vois. Donc on peut toujours se disputer et après ça, on va se réconcilier.
On éclata tous de rire.
-Maman : Si jamais, tu essayes d’emmerder ta cousine à nouveau, je vais te punir.
-Josiane : Il ne va pas recommencer tanti.
-Maman : C’est vrai ? Vido !
-Moi : oui maman, je te promets.
-Maman : D’accord. Tu as la chance d’avoir une cousine aussi gentille comme elle.
-Josiane : Merci tanti.
-Moi : Hum !
-Maman : Mais c’est bien en tout cas, je vous aime malgré tout. Vido, et le sac jaune qui était dans la voiture qui m’a amenée ici.
-Moi : J’ai mis ça dans le magasin.
-Maman : Non mais, tu n’as pas ouvert ça d’abord ?
-Moi : Non maman, tu as toujours dit qu’on ne doit jamais mettre ses yeux dans ce qui ne nous concerne pas. Donc j’ai juste appliqué.
-Maman : Il se défend même en plus, t’as vu ça Josiane ?
-Josiane : Oui tanti. (Elle éclate toutes de rires)
-Maman : Aller, vas me chercher le sac, il n’a pas sa place au magasin.
-Moi : D’accord maman.
Je vais chercher le sac et je reviens.
-Josiane : Bon, le repas se refroidit, il faut qu’on mange maintenant, en plus moi j’ai trop faim. Vido aussi d’ailleurs.
-Moi : ça c’est vrai.
-Maman : Anh ok, donc on ouvrira le sac après.
-Moi : Cool, ça marche.
-Maman : Je n’ai pas trop faim mais j’ai quand même envie de manger ton riz.
-Josiane : Avec plaisir tanti.
On se met à table puis après avoir mangé, on revient devant la télé.
-Maman : c’était délicieux, comme toujours.
-Josiane : Merci tanti.
-Maman : je t’en prie.
-Moi : hum ! Alors, on va ouvrir le sac ?
-Maman : Ah, j’allais oublier.
Elle ouvre le sac et nous partage ce qu’elle avait apporté dans le sac. On la remercie.
-Maman : Je vais me reposer un peu les enfants.
-Moi : D’accord. Moi je vais dans ma chambre.
-Josiane : Moi aussi, j’irai dans ma chambre. A tout à l’heure tanti.
-Maman : D’accord.
On se dirigea dans le couloir alors que maman ferma les yeux. Il sonnait déjà 13h passée de quelques minutes.
Dans le couloir, :
-Alors Vido, c’était comment avec maman tout à l’heure ?
-Génial, t’es superbe !
-Merci chou.
-Je t’en prie. Sauf que l’arrivée de maman a empêcher notre petit truc de ce matin.
On s’embrasse puis on va dans nos chambres respectives.
Je m’endors ensuite. Puis je me réveille à 16h environ. Josiane et maman étaient déjà réveillées et elles étaient au salon en train de bavarder.
-Moi : Coucou.
-Maman : tu as bien dormi ?
-Moi : oui maman, j’ai faim en plus.
-Josiane : Tu vas manger quoi Vido ?
-Moi : N’importe quoi.
-Maman : Il y a du pain et du Nutella sur la table à manger, prends ça en attendant qu’on fasse le déjeuner.
-Moi : D’accord maman.
Elles continuaient par parler pendant que je me suis dirigé vers la table à manger pour prendre le pain.
Après avoir pris le pain, je suis venu les rejoindre.
-Moi : Alors, moi aussi je peux parler avec vous ?
-Josiane : T’es un garçon, alors non.
Pendant qu’on rigolait, le téléphone de maman a sonné. Elle prend le téléphone et dit :
-Maman : Ah, j’allais oublier. J’espère qu’elle n’est pas encore là.
-Moi : De qui tu parles maman ?
Elle décroche le téléphone et parle avec la personne.
-Tu es déjà là ?
-…
-D’accord, mon fils va t’ouvrir le portail.
Ensuite, elle raccroche et me dit :
-Va ouvrir pour la fille qui est au portail.
-D’accord maman !
Je me suis précipité au portail tout en me demandant qui était la personne qui voulait voir ma maman. Arrivé au portail, j’attrape le poignet et j’ouvre.
-La fille : Salut.
. A suivre...

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