✌✌ JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE ✌✌ 👉Épisode 34

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JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE
PARTIE 34
… Bonne nuit Vido.
Je vais directement dans ma chambre et je m’endors.
Le lendemain, je me suis réveillé plutôt que d’habitude (à 4h) et un peu stressé. J’ai repensé à ce qu’on avait fait dans le couloir (Josiane et moi) la nuit passée.
C’est évident que personne ne nous ait vu ou entendu, enfin presque, parce que maman et Ida étaient allées se coucher bien avant nous. Ce n’est qu’après environ une heure que Josiane et moi avions éteint la télé et nous sommes dirigés vers nos chambres ; et puis ça s’est passé.
Tout ce que je craignais c’est que Ida ne nous voit pas ou ne nous entende pas.
Après mon réveil, je suis resté cloué au lit pendant environ 1h de temps à penser.
A 5h, je suis allé prendre une douche puis je suis revenu dans ma chambre et je me suis recouché, mais je ne trouvais plus le sommeil, alors j’ai allumé mon Ordinateur portable et j’ai regardé un film. Le film est fini à 6h 30 environ…
Tout le monde était déjà réveillé en ce moment-là. Je suis sorti de ma chambre et à quelques pas, j’aperçois Ida, elle était plutôt sans façon et ça m’a beaucoup rassuré. Je me suis alors rapproché d’elle et on a eu une brève conversation :
-Bonjour, tu as bien dormi ?
-Oui, et toi ?
-Hum oui.
-Alors, t’es prête pour le premier jour de stage ?
- (Elle me sourit) Oui Vido. Comme tu es la première personne avec qui je parle, je suis sûr que ça sera cool.
-Waoh, ça me touche beaucoup.
-C’est toi qui va me déposer à l’hôpital non ?
-Oui, tu t’en vas à quelle heure ? Sinon, moi aussi je vais à côté de l’hôpital.
-Ah bon !
-Oui, je vais au Notariat, pour légaliser mes dossiers, et je quitte ici vers 8h
-Oh, moi je dois aller là-bas à 7h 30 parce qu’on va commencer à 8h.
-Il n’y a pas de problème, je vais te déposer.
-Merci Vido, tu es trop gentil.
-Oh, aller arrêtes stp, il n’y a rien de gentil là, c’est un devoir !
-Hum, d’accord.
Le juste fait qu’elle ne se soit pas comporter autrement avec moi, me donne l’impression qu’elle n’a rien constaté. Sauf bien sûr, si elle veut jouer à l’hypocrisie ou au double jeu. Mais je ne crois pas que Ida est comme ça.
On alla au salon prendre le petit déjeuné. Apparemment, elle avait déjà fait le petit déjeuné avant de se préparer pour le stage. Cette fille-là, elle est tout simplement parfaite. C’est vrai que Josiane en fait autant mais je trouve Ida plus cool.
Maman et Josiane aussi étaient déjà au salon
-Ida : Bonjour !
-Maman : Bonjour Ida, tu as bien dormi ?
-Ida : Oui merci et vous ?
-Maman : Oui ! Tu es prête ?
-Ida : Oui, oui.
-Josiane : Humm, je suis sûr que le premier jour sera cool !
-Ida : Moi aussi.
-Moi : Maman, je vais déposer Ida à 7h 30 et je vais aussi profiter pour faire la légalisation.
-Maman : D’accord, tu vas devoir me déposer à la boutique aussi.
-Moi : Hum ? Alors je vais prendre la voiture inh, parce que la moto ne peut pas prendre trois grandes personnes.
-Maman : Anh, toi aussi tu es grand, c’est ça ?
Josiane et Ida éclatent de rires…
-Moi : Bon, pas vraiment inh maman. Mais tu comprends quand même ce que je veux dire.
-Maman : Hum oui, tu vas prendre la voiture et ce n’est pas pour aller te balader.
-Moi : Je sais maman
-Josiane : Le petit déjeuné va se refroidir, aller, tout le monde à table.
On passa à table et après avoir mangé, maman et moi sommes allés nous preparer.
A 7h 20 min, on était tous prêts à partir, il ne restera en effet que Josiane à la maison jusqu’à mon retour, si je finis vite mes courses.
Ida et maman sont allées m’attendre au portail pendant que je sortais la voiture du garage.
Quand j’ai fait sortir la voiture ;
-Maman : Vido, ayi, il y a trop de poussière sur la voiture.
-Moi : Hum maman ?
-Maman : Oui, ou bien je n’ai pas raison ? (Elle tourne la tête vers Ida)
-Ida : (Elle hoche la tête pour dire oui)
Alors j’ai pris un essuyeur dans la voiture et je l’ai débarrassé de sa saleté.
Ensuite, on prend la route, Maman était à côté de moi devant et Ida était sur la banquette arrière.
Arrivé à la boutique, maman est descendu et Ida est venu devant, à côté de moi.
Cette fois-ci, on allait être seuls sur plus de 2kilomètres. J’étais content même si je ne savais pas de quoi parler avec elle sur la route.
A quelques minutes après le départ de la voiture de la boutique de maman, Ida sort un sachet de son sac ; ça ressemblait à un sachet biscuit mais c’en était pas vraiment un.
-Tiens Vido, je te l’offre.
- (Je prends le sachet) Merci beaucoup. Mais je ne sais pas trop ce que c’est !
-Humm, c’est comme du pain mais garni, il y a du rouleau de viande de bœuf dedans.
-Du rouleau ?
-Excuses-moi, je ne sais pas comment expliquer ça correctement en français.
-Ne t’inquiètes pas, tu te débrouilles très bien.
-C’est vrai ?
-Oui, je te jure. Tu n’es pas mal.
-Merci Vido, tu es un bon garçon. Je t’apprécie bien.
-Merci, ça me fait plaisir de t’entendre dire ça Ida.
-Aller, ouvre le sachet.
-D’accord.
J’ouvre le sachet et je vois le contenu, c’était une sorte de pain avant de la viande à l’intérieur.
-C’est bon ?
-(Je goûte) Hum, c’est trop cool ! Tu le partages avec moi stp ?
-Non, sans façon, j’en prends tous les jours donc…
-Je comprends.
-On appelle ça Galla chez nous.
-C’est délicieux.
-C’est le seul qui me reste et comme je ne veux pas que Josiane soit jalouse j’ai gardé ça pour le moment où on sera seul.
-Merci. Vraiment, merci.
-Je t’en prie Vido.
Je mange le galla, c’était vraiment bon. (Je le mangeais tout en ayant mon attention sur la voiture que je conduisais).
Après avoir mangé ça, je lui tends le sachet :
-stp, aides moi à jeter ça quand on sera au bord du dépotoir là-bas. Arriver là-bas, je vais te montrer ça
-Ok. Donnes ça
Elle prend le sachet et sa main touche la mienne, sa main était fraîche. Elle clignota les yeux me fit un petit sourit
Arrivé au bord du dépotoir, elle jette le sachet
Environ une dizaine de minutes, on est arrivé à l’hôpital.
-Voilà, on est arrivé.
-Ok cool. Alors, disons à ce soir ou bien ?
-Oui. (Je lui souris)
Elle ne descend pas directement de la voiture. Elle attend un moment, me fixe dans les yeux, me sourit. Je comprends tout de suite ce qu’elle essayait de faire.
-Vido, je…Ok, à tout à l’heure.
-Attends.
J’approche lentement ma tête de la sienne, et sans parler, je lui fais un baiser sur les lèvres : c’était trop doux.
Ensuite je retire ma tête.
Elle met la main dans mon cou, se rapproche de moi et commence par m’embrasser vraiment. Ses lèvres étaient si douces et sucrées que je ne pouvais pas y résister.
On s’embrassa pendant environ 1 min. Elle retira ses lèvres.
-Désolé, je ne voulais…
-Je sais, Ida. Bon à tout à l’heure. Je passe te prendre à 18h ou à 19h
-Je vais t’appeler si je finis.
-Ok, prends mon numéro.
Elle prend mon numéro, sort de la voiture et moi je me dirige vers le Notariat.
A suivre...

JOSIANE: CE GENRE DE COUSINEOnde histórias criam vida. Descubra agora