Omégaverse - KatsuDeku/BakuDeku

Chapitre 2.18 : Toi

Izuku Midoriya avait désormais vingt-deux ans, il vivait seul dans un petit appartement qu'il louait non loin de sa faculté, dans un quartier assez tranquille et bien que l'appartement soit assez petit, il avait fini par bien l'aimé. Izuku était devenu quelqu'un d'assez populaire à la faculté durant ces quelques années qu'il avait passer dedans, il était même assez convoiter par les garçons comme les filles, mais pourtant bien qu'il ait déjà eu des rendez-vous amoureux, il n'avait pas de copine ni de copain et n'en avait plus jamais eu depuis sa relation avec Katsuki.

Izuku était un oméga, mais ça personne ne le savait à la faculté. Durant toute son enfance, il avait été harceler à cause de cela, ainsi pour ne pas revivre le même scénario mais aussi pour se permettre plus de chance lors de son inscription à la faculté, il avait prétendu être un bêta. Étant donné qu'il avait changé de ville mais aussi d'école et que personne ne le connaissait, il avait préféré ne rien dire et se faire passer pour un bêta, ce qui avait été assez facile étant donné les circonstances mais qui lui avait aussi coûter de devoir faire bien plus attention qu'à l'accoutumer quant à ses chaleurs. Le prix de ce mensonge était donc de devoir chaque mois, prendre une dose assez conséquentes de suppresseurs.

Il avait durant sa première année intégré près cinq facultés pour tenter de trouver sa voie, mais aucune ne l'avait vraiment intéressé. Heureusement pour lui, dans un dernier espoir il s'était inscrit dans une faculté de médecine en cours d'années. Il avait eu la chance d'être accepté et dès le premier cours, ça avait été pour lui comme un véritable déclic, décidant directement que c'était ce qu'il voulait vraiment faire. Il avait donc rattrapé tout le bout d'année qu'il avait perdu et avait poursuivi ses études dans ce cursus.

Son rêve était resté le même, prouver à la société que les omégas étaient tout aussi compétents que n'importe quelle autre catégorie, et cette filière l'avait plus intéressé que les autres car d'abord il aimait beaucoup aider les autres, mais aussi car il y étudiait le corps humain, sa composition, les différentes catégories, leurs créations, mais également les recherches pour la création de médicaments et de vaccins.

Après avoir testé bien des études, comme des études de droits, des études de lettres et même des études de commerces, il s'était diriger vers la médecine et il était désormais certains de ce qu'il voulait faire, devenir chirurgien.

Bien qu'ils les aient toutes abandonner par la suite, les études qu'ils avaient faites durant ces quelques semaines lui avaient tout de même appris des choses et avait acquis de l'expérience. Mais il les avait trouvé toutes plus ennuyeuses les une que les autres. Alors de son point de vue, même s'il avait appris des choses, il avait surtout perdue son temps.

Pendant les années qui avaient suivies le lycée, il avait poursuivi ses études, mais il n'avait cessé de se chercher lui-même. Il n'avait plus eu d'histoire d'amour et avait même préféré laisser l'amour derrière lui pour ne plus souffrir, car après avoir rompu avec Katsuki, il avait énormément souffert allant même jusqu'à replonger dans un état de dépression, dont il avait été bien difficile de se sortir. Suite à cela, il avait annoncé à sa mère vouloir vivre seul dans un appartement à côté de sa faculté pour que ce soit plus facile. Mais alors qu'il pensait que ce serait bénéfique pour lui, cela ne lui avait apporté que plus de tristesse et d'isolement, mais il avait réussi à remonter rapidement la pente, grâce à sa famille mais surtout pousser par l'envie d'accomplir son rêve.

« J'ai une vie à mener et un rêve à accomplir, alors je ne baisserai plus les bras !  » était ce que c'était dit Izuku et c'est ce qui lui avait permis de se relever, d'avancer et de devenir plus fort.

À son grand bonheur, il n'avait pas perdu contact avec ses amis, il leur parlait parfois par message ou alors en appel. Pourtant à sa grande tristesse, il ne les voyait pas énormément, voir même presque jamais, mais ça lui suffisait, tant qu'il pouvait leur parler.