Je montre à Harry le placard et il travers la pièce en silence, fermant la porte derrière lui.

La porte de la chambre s'ouvre et mon père entre.

"Ja-"

"Oui, mon père," dis-je, tournant rapidement vers le miroir et prétendant d'avoir fixé mes cheveux.

Il levé un sourcil. "Tu vas bien?"

"Quoi?" Je le regarde, forçant un sourire. "Je vais bien." Ouais, j'ai juste un fantôme attirant cacher dans mon placard. Rien qui sors de l'ordinaire.

Mon père me regarde encore un moment avant de secoue légèrement la tête et de sortir de ma chambre.

La porte du placard s'ouvre et Harry rit.

"Tu vas quelques part?" Il demande.

"Marché de la ferme," dis-je, levant les yeux.

Il rit, et je le fusille du regard.

Il sourit.

Je prends mon sac et soupire.

"Veux-tu venir me voir plus tard?" Il demande.

"Je suppose," dis-je. "Dans la clairière?"

Il hoche la tête.

Je lui donne un petit sourire.

"Tes cheveux sont jolis comme ça," me dit-il tout à coup.

Je rougis, tournant la tête pour examiner ma queue de cheval dans le miroir. "Merci."

"J'aime mieux le bas." Il tend la main et tire l'élastique de mes cheveux, mes cheveux noirs se répande sur mes épaules. Il me domine, un petit sourire ornant ses lèvres pales.

Je le regarde curieusement tandis qu'il me redonne mon élastique.

Il sourit.

J'entends mes parents klaxonner dans l'allée. "Je ferais mieux d'y aller avec que mes parents s'enerve," dis-je, mettant une mèche de cheveux derrière mon oreille.

"Bien sur," dit Harry. Il revient à mon lit avant de prendre place sur le matelas. "Ça ne te déranges pas si je reste ici?"

J'ai failli lui dire de partir et que je ne suis pas à l'aise avec lui étant ici sans moi, mais j'hésite. Il vient de me dire que ça chambre lui manquer, et si il reste ici pendant que je suis partit le fait sentir un peu moins mort, alors ainsi soit-il.

"Non," dis-je. "Restes aussi longtemps que tu veux."

Il se penche en arrière sur mes oreillers, reposant ses bras derrière sa tête, me souriant.

Je souris en retour.

Je hisse mon sac sur mon épaule et sors de ma chambre, lançant un au revoir à Harry qui lève sa main dans un mouvement de vague.

Ma mère me donne un regard sévère du siège passager avant lorsque je glisse enfin dans la voiture de mon père.

"Ne me regardes pas comme ça," dis-je. "Tu m'as déjà reveillé tôt. Et je n'ai pas eu de petit-déjeuner."

"Tu pourras avoir quelque chose sur le marché," dit mon père.

"Non, je ne veux pas de crêpes avec du sirop de soja de ces agriculteurs hippie."

"Ce ne sont pas des hippies, et tu le sais. Et les soja ne peuvent pas avoir de sirop extrait d'eux."

Je roule mes yeux. Oui, les fèves de sojas ne sont pas en mesure de produire du sirop. C'est le problème de ma déclaration précédente.

phantom h.s (version française)Donde viven las historias. Descúbrelo ahora