Railey, 22 ans, est à cran. Après avoir enchaîné les compétitions de complet à cheval, il est envoyé en campagne isolée par son entourage pour se reposer et se détendre. La vie dans cette nouvelle écurie risque d'être scabreuse.
Et Alexander, ce pal...
Hello ! Comment n'allez-vous ? 8D Voici donc le chapitre 13. Me tuez pas svp hein, ça serait con de pas savoir la fin q___q
Ptdr j'suis conne. BWEEEF.
Je crois que le problème des espèces j'ai réussi à le régler QQ Mais pas celui des fautes mdrrr des fois comme j'écris super vite y'a des fautes qui font pleurer ptdrrrrr mais j'me dis qu'on est tous cons alors ça va 8)
Bonne lecture ! ♡
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Railey
Des corps qui se frottent, des mains qui glissent, se découvrent, se touchent et s'enlacent. Des bassins qui se rencontrent, des bouches qui se cherchent, avides de plus,avides de sensation, avides du monde qui ne tourne plus dans le bon sens. Des gémissements qui témoignent le plaisir, qui proviennent du cœur. Le contrôle qui se perd, le rythme qui s'accélère, le mercure du thermomètre qui déborde, l'air qui s'évapore. Des langues qui s'entrelacent, se caressent et se confondent.
- Railey...
A la mention de mon prénom, mes muscles se contractent. Il me rappelle que c'est moi et personne d'autre. Moi qui l'enserre de mes mains, qui lui arrachent sa touffe de cheveux une fois à genoux devant moi. Elle ouvre la bouche et englobe ma verge d'une bouche sensuelle qui ferait éjaculer n'importe quel gars au premier coup de langue. Je rejette la tête en arrière en étouffant un grognement. Elle est magnifique, un corps de rêve, des cheveux ondulés qui descendent le long de son dos et que je peux tirer à ma guise.
Elle suce avec application sur toute la longueur, creuse ses joues, va presque jusqu'au fond, et croyez-moi,avec la taille, elle a du talent. Je me mets à bouger mes hanches pour avoir plus, je veux des sensations décuplées, je veux des étoiles, je veux toucher le ciel, le septième, celui du haut, celui dont je rêve.
Mais je n'y arrive pas.
Peu importe combien de fois elle me taille une pipe, combien de fois je la baise, combien de fois je jouis.
Peu importe combien je la trouve parfaite, je n'atteins que le premier.
* * *
Ça fait une semaine que je sors avec Julie. Je ne l'aime pas, elle ne m'aime pas, on baise. Voilà. Ça m'vide les couilles. Pas autant que je voudrais. Parce que je suis toujours aussi frustré.
Et j'sais pas pourquoi.
Rageusement, je nourris Chabal qui paraît effrayé par mon comportement, et je descends de mon appartement. Je croise Tess et j'ai envie de lui donner un coup d'boule. J'sais pas ce qui m'arrive, je suis encore plus sur les nerfs que quand je suis arrivé. J'ai envie de tout casser, de frapper, de hurler, et peu importe le visage, je me défoulerai avec une parole de travers.
