chapitre 26 ✔️

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Bonjour ou bonsoir, je vous préviens juste que cette réécriture sera beaucoup plus courte que la première version. Je pense même que cette partie sera l'avant dernière.

Le lendemain, je n'ai pas reparlé avec Tarek, pas par colère mais plutôt parce que je n'avais rien à lui dire. La nuit m'a porté conseil et je me dis que ça ne me sert à rien d'être en colère contre lui, si il veut faire le mari infidèle qu'il le fasse mais quand j'atteindrais ma limite je partirais avec mon fils et il n'y aura pas de retour en arrière. J'ai été gentille même trop gentille mais j'ai simplement voulu sauver mon mariage et vivre une histoire d'amour avec l'homme que j'aime. Si Tarek n'est pas capable de voir en mon la femme de sa vie alors je ferais la mienne sans lui avec quelqu'un d'autre. J'ai 19 ans, je suis jeune, jolie et intelligente je pourrais me reconstruire même si ça prendra du temps.

Enfin bref j'ai passé la journée avec mon fils et Julie. On a parlé et beaucoup ris et vers les coups de dix-huit heure elle m'a quitté quand Tarek à montré le bout de son nez.

Tarek : Je pense qu'on doit parler Gabriella.

Moi : D'accord.

Tarek : Je ne suis plus sûr de rien, dans ma tête c'est le bordel. Je sais que tu es celle qu'il me fait mais je me dis qu'on s'est marié beaucoup trop tôt.

Je ne réagis pas.

Tarek : J'ai fais des conneries et il y a une que je ne pourrais jamais effacé.

Il prend ma main.

Tarek : Anaïs est enceinte et je pense que le mieux pour nous est de divorcer.

Toujours aucune réaction de ma part, mon cerveau a juste enregistré le "Anaïs est enceinte" et "divorce" il l'a engrossé et maintenant il veut se séparer de moi. Encore une fois il vient de me briser le cœur.

Tarek : Gabriella dis quelque chose s'il te plaît.

Moi : Je vais faire mes valises et celle de mon fils. Il va rester avec toi pendant que je fais nos affaires, profite de tes derniers instants avec lui. Je refuse que mon fils grandisse avec un homme comme toi il risque de devenir aussi dégoûtant et abominable que toi.

Je me lève du fauteuil en essayant la larme qui a coulé.

Moi : Je ne pensais pouvoir haïr quelqu'un j'ai aimé du plus profond de mon cœur en aussi peu de temps.

Je monte dans la chambre du petit, je prends toutes ses affaires et les ranges dans plusieurs sacs. Je suis tellement en colère et triste. Il me quitte comme ça sans vouloir me donner plus d'explications sur ses sentiments, il me jette comme il l'a fait quand on était au lycée. Je me retiens tellement de tout casser. Après avoir finis de régner les affaires d'Anthony je passe aux miennes.  Tarek me rejoins dans la chambre, il ne parle pas il se contente simplement de me regarder faire mes valises. Se faire briser le cœur 3 fois par le même homme, c'est horrible, se donner corps et âme pour qu'une relation marché pour au final se faire jeter comme si on n'avait pas de sentiments.

Tarek : Tu n'es pas obligé de partir Gabriella.

Pas de réponse et c'est bien mieux ainsi, il ne me verra pas craquer, je vais rester silencieuse et partir la tête haute.

Tarek : Je ne voulais pas te faire de mal.

Je me suis mise à rire, c'était plus fort que moi. Il dit ne pas avoir voulu me faire souffrir mais il n'a fait que ça depuis mon retour de New-York.

Tarek : Répond moi.

Il me prend par le bras mais c'est la goutte de trop, je me met à le frapper à l'insulter de tous les noms.

Moi : Fils de pute, sale pd de merde.

Il prend par le coup et me sert violemment m'empêchant de respirer correctement.

Tarek : Je pense que tu as vite oublier qui je suis.

Il m'a poussé au sol et à défait sa ceinture.

Tarek : Je vais te donner une correction pour que tu apprennes à me parler.

Je recule mais ça ne sert à rien puisqu'il se met à me frapper avec sa ceinture. Je cris, pleure en lui demandant d'arrêter mais c'est comme si il était possédé. Tarek me prend par les cheveux et me balance sur le lit, il détache son pantalon et je comprends tout de suite se qu'il compte faire. Je tente de m'échapper mais il me tire par les chevilles. Je regrette d'avoir mis une robe, je pleure en lui demandant d'arrêter. Il ne s'arrête pas et déchire ma robe.

Tarek : J'ai toujours aimé ces sous-vêtements.

Moi : Arrête je t'en supplie.

Il me gifle puis le retire mes sous-vêtements, ses doigts me tripotent vulgairement et d'un coup dur je le sens me pénétrer. Je hurle et pleure de douleur mais rien y fait, il continue en me sortant un tas de commentaires salace.

Moi : Arrête s'il te plaît.

Ses mouvements se font plus rapide et plus douloureux, je pleure en priant pour qu'il s'arrête. Il continue jusqu'à atteindre la jouissance puis il se rhabille devant mes yeux. Tarek prend son porte-monnaie et il jette une liasse de billet sur mon sexe.

Tarek : Tu as été parfaite, comme toujours. Continue tes valises puis dégage de chez moi avec ton batard.

Il sort de la chambre, je vais dans la salle de bain et me douche en m'effondrant. Ce n'est pas possible, Tarek n'a pas pu me faire ça.

Avec le peu de force qu'il me reste je m'habille et prend toute mes affaires et celle du petit. Je range mes valises dans la voiture, installe mon fils et j'envoie un message à Julie pour qu'elle me rejoigne à l'hôpital.

À mon arrivée Julie était déjà là, en me voyant elle prend Anthony et m'aide à marcher jusqu'à l'accueil où par chance on me prend directement en charge. Julie préviens mon père et les médecins s'occupent de moi en me posant des questions.

Médecin : Qui vous a fait ça madame.

Je me tourne vers lui en ayant les larmes aux yeux.

Moi : Mon mari.

Médecin : Vous voulez que j'appelle la police ?

Je hoche la tête.

Médecin : Je vais donner un somnifère pour que vous puissiez vous reposer d'accord.

Je hoche la tête encore une fois, je voudrais tellement que tout cela ne sois qu'un rêve.















À mon réveil ma famille, Julie et une policière sont dans ma chambre.

Julie : Elle s'est réveillé !

Mon père vient vers moi, il me prend dans ses bras et je fond en larmes en racontant tout ce qu'il s'est passé. Je vois Julie pleurer dans les bras de mon frère, Jessica me prend aussi dans ses bras.

Policière : Madame je sais que c'est dur mais êtes vous sur de vouloir porter plainte.

Je hoche la tête.

Policière : Je vais faire de mon possible pour arrêter ce criminel.

Elle s'en va me laissant seul avec ma famille.

Julie : Je me sens tellement coupable Gabi, je n'aurais peut-être pas du partir et...

Moi : Ce n'est pas de ta faute, Tarek était comme un fou. Je ne l'avais jamais vu comme ça.

Yan : Je vais le tuer. Je te jure qu'il va regretter de t'avoir touché.

Moi : Non ! Laisse la police s'en charger, pour l'instant je vous veux tous avec moi.

Ils restent à cotés jusqu'à la fin des visites puis ils partent tous. Je n'aurais jamais pensée que Tarek aurait pu commettre un acte aussi abominable. Me frapper puis me violer, il a même insulter son fils de batard.

Ça va prendre du temps mais je vais devoir affronter cette épreuves et me relever pour mon fils. Il a besoin de moi et je dois être forte pour lui parce qu'il est ma plus grande réussite et ma force.

Mariage forcé. (Réécriture)Where stories live. Discover now