Que se serait-il passé si Voldemort avait réussi à posséder le bébé Albus Severus Potter ? C'est la question que pose ce recueil de drabbles sombres et intrigants.
Chaque drabble explore une facette différente de la vie d'Albus, depuis sa naissance...
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Albus Potter, bébé de quelques mois, était en train de dormir paisiblement dans son berceau, tout en étant possédé par Voldemort. Il restait un bébé très calme, mais Voldemort avait un tempérament bien plus explosif.
Soudain, la porte s'ouvrit bruyamment et la famille Weasley entra dans la maison. Ils étaient venus rendre visite aux Potter pour voir le nouveau-né. Voldemort grinça des dents en voyant les rouquins entrer. Il ne supportait pas les Gryffondors bavards et trop enthousiastes à son goût.
La mère d'Albus, Ginny, accueillit la famille avec un grand sourire et les emmena dans la pièce où se trouvait le bébé. Molly Weasley s'approcha doucement du berceau, et se mit à faire des "Oh" et des "Ah" en admirant le petit Albus. Le mage noir bouillonnait intérieurement, semblant incapable de supporter les câlins et les gestes affectueux, d'autant plus que l'expression de la matriarche des Weasley ne faisait qu'aggraver son irritation.
Puis, Ron, le frère de Ginny, prit Albus dans ses bras et commença à lui faire des chatouilles. Albus éclata de rire, mais Voldemort ne trouvait pas ça drôle du tout. Il avait envie de hurler et de se débarrasser de cet intrus qui osait toucher son corps.
C'est alors que Harry, le père d'Albus, arriva dans la pièce et vit la scène. Il avait remarqué que quelque chose clochait avec son fils depuis quelque temps, mais il n'arrivait pas à mettre le doigt dessus. Quand il vit la colère dans les yeux d'Albus, il comprit immédiatement.
"Ron, je crois que tu devrais rendre le bébé à sa mère", dit Harry calmement.
Ron, un peu surpris, rendit Albus à Ginny et lui fit un sourire. Voldemort était soulagé que Ron ne touche plus son corps.
La visite des Weasley continua, mais Voldemort était tout de même très mécontent de leur présence. Il avait hâte qu'ils s'en aillent et que sa tranquillité soit rétablie. Mais il savait que, tant qu'il habitait le corps d'Albus, il devrait supporter leur présence de temps en temps.
