Que se serait-il passé si Voldemort avait réussi à posséder le bébé Albus Severus Potter ? C'est la question que pose ce recueil de drabbles sombres et intrigants.
Chaque drabble explore une facette différente de la vie d'Albus, depuis sa naissance...
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Harry se tenait devant la table à langer, un regard déterminé sur le visage. C'était un Auror chevronné, un survivant de la guerre contre Voldemort, mais il n'avait jamais été confronté à une tâche aussi difficile que de changer les couches de son propre enfant possédé par le mage noir.
Albus Severus Potter était étendu sur la table, roucoulant et gazouillant joyeusement. Harry le regarda avec un mélange de tendresse et d'horreur. Il était difficile de croire que ce petit être inoffensif était en réalité un réceptacle pour l'esprit maléfique de Voldemort.
Avec un soupir résigné, Harry défit la couche de son fils. Il serra les dents en constatant que cela n'allait pas être une tâche facile. "Bon, Voldemort", souffla-t-il en se préparant mentalement, "prépare-toi à subir le sort le plus humiliant de ta vie."
Ses pensées furent interrompues par une odeur nauséabonde qui remonta de la couche. Harry pouvait sentir sa gorge se serrer. "Oh Merlin, ça ne peut pas être réel", marmonna-t-il.
Il se mit à nettoyer Albus avec une rapidité experte, gardant un œil vigilant sur les mouvements de son fils. Il ne voulait pas risquer de provoquer la colère de Voldemort. "Tu sais, Tom", murmura-t-il en plaçant une nouvelle couche sous les fesses de son fils, "si tu avais juste été un bébé normal, tout cela serait beaucoup plus facile."
Il referma la couche avec précaution, prenant soin de ne pas blesser Albus. Il avait réussi la mission difficile de changer les couches de son enfant possédé par Voldemort. Il sourit avec fierté à son fils, qui le regarda avec un sourire édenté.
"C'était une expérience intéressante, mais j'espère que je n'aurai pas à le faire à nouveau", pensa Harry en soulevant Albus de la table à langer. "Et toi, mon petit gars, tu es bien courageux d'avoir affronté cette épreuve sans te plaindre."
Il le berça doucement dans ses bras, rassuré de savoir que pour l'instant, son fils était en sécurité. "Je ne sais pas ce que l'avenir nous réserve, Albus", murmura-t-il en l'embrassant sur le front, "mais je suis prêt à affronter tous les défis pour te protéger, même changer tes couches sales."
