20. N E W - C L O T H E S👤👤🌴

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Je me relève du sol et me tourne vers les gens en blanc.

-Félicitations! dit un de eux. Vous allez passer au dernier jeu. Mais avant ca, veuillez nous suivre.

D'autre gens au masque de platre viennent derrière nous. Ils prennent mon épaule droite et l'epaule gauche de celle du da boyzz qui venait de se relever. Ils s'avancent alors on fait de même. Ils nous amènent devant ou mur plat. Je ne comperend pas. Il n'y a rien ou nous amène-eu-je-t-il? Vont-ils juste nous etaler notre tête sur le mur jusqu'à ce que le mur transpercent notre crane? Non, je stresse trop. Ça ne va pas finir comme ça.

Une autre personne de blanc vient a côté de nous. Mais ils sortent d'où eux? Ils apparaissent toujours de nul part la. La personne qui vient d'arriver dépose sa main à plat sur le mur. Elle nous surprend en criant, en même temps de lever la tête:

-CATAPOUMILA! SUMINALA PORTUDANLUCHOUMIBOURA!!!!!!!

Je ne peux m'empêcher de chuchoter par surprise:

-ah.

Il enleve sa main. Rien ne se passe. C'est très malaisant. Je regarde le da boyzz. Il n'a autant pas les mots que moi. Et quand je suis prete a rire de la situation avec mon beau rire aigu, une porte se dessine comme par magie sur le mur.

-AU AIME J'AI! je m'exlame en mettant mes mains sur les deux cotés de mon visage.

Une poignée sort du mur d'une manière très smooth. La personne qui avait fait le chants bizarre tourne la poignée et ouvre la porte. Le da boyzz et moi rentront dans la salle avec les deux gens qui tiennent nos epaules.

Je regarde autour de moi. Nous sommes dans une salle rectangulaire et les murs sont d'une couleur verte très peu invitante. Un vert... caca. Il y avait deux lit simple dans deux coins de la pièce. Les lits avaient des bordures doré luisantes. Il y avait un table de chevet à deux tiroir à coté de chaque lit. Elles avaient les mêmes cotés couleur or des lits.

On lache nos epaules et les inconnus se reculent.

-Habillez vous avec les vêtements qu'il y a dans les tiroirs, annonce une des personnes.

-Mais je veux pas qu'elle me regarde me changer, dit le da boyzz directement.

Les gens ne répondent pas. Ils se tournent vers la porte et ils quittent la salle. Moi et le da boyzz se dirigeons tout les deux vers un des lits. Je prends celui de droite et il prend celui de gauche. Un mur sort brusquement du sol comme dans le labyrinthe. Il me fait sursauter et je ne sais pas si le da boyzz aussi a eu peur car le mur est fait de pierre grise et il n'est pas transparent.

Je me tourne violemment vers le tiroir en passant mes doigts dans une de mes mèches frisées qui tombait sur ma tempe. Je me relève du lit et je me dirige vers la table de chevet. Je prends la poignée dorée. Je sentais le froid rugeux en contact avec la paume de ma main s'incruster dans mes veines. Je tire le tiroir et je vois des vêtement qui ressemblait à ceux des gens au masque de platre mais en gris pale au lieu de blanc. Je le sort du tiroir.

Ca ressemble à une veste imperméable sans poche et des velcro pour fermer le vetements. J'enleve mom chandail blanc et je le depose sur le lit puis je fais de meme avec ma veste rose pale maintenant incolores à cause de tout le sang. Je met la nouvelle veste sur moi. Je ferme les velcros et j'ouvre le deuxième tiroir en pensant qu'il y a des pantalons. Et j'ai raison. Il y en a vraiment. Il y a aussi des bottes mais je sort le pantalons en premier. Il avait la même texture et la même couleur que la veste. Je le met facilement sur moi après avoir enlever mes tight jeans. Il ne reste plus que les chaussures. Elles étaient aussi de la même couleur que toute les autres pièces de mon outfits. Gris. Sans vie. J'enleve mes soulier et je met les bottes blanche. Elle contraste bien mes chaussettes arc-en-ciel.

Un gaz commence à sortir d'un petit tube sur le plafond que je viens de remarquer-je. Le gaz avait la même couleur que les murs. Il se répend dans la salle. Je le respire sans me méfier car c'est sur qu'il ne vont pas juste me tuer. Ils veulent que je joue le dernier jeu. Il pénétre mon nez et ma bouche et rentre dans mes poumons. Puis... je m'endort.

Arbre NatureOnde histórias criam vida. Descubra agora