13. S E M E L L E🥊🥊🩰

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Horsy et moi sommes entrain de suivre l'équipe des da boyzz qui possédait avant le garçons qui est mort avec les piques. Il ne le savent pas. Nous avons décidé de les observer de loin et attendre qu'ils passent. Et quand nous verrons la sortie nous allons laissser seulement un garçon rentrer avant nous au cas où il y a un piège juste a la sortie.


***

Ça fait maintenant plusieurs heures que nous sommes dans le labyrinthe. Il n'y a eu qu'un piège apres la mort de Merda. Il y a eu des rayons laser du sol jusqu'au très haut plafond triangulaire. Les lasers rouge gigotaient de gauche a droite et en diagonal dans un rythme non consistent. On a du courir le plus vite possible en esquivant les lasers sinon, on se fesait couper la partie qui s'est fait toucher. C'est ça qui s'est passé avec une mèches des cheveux de Horsy. On n'avait aucune façon de ne pas faire cette étape car un mur était sorti du sol derrière nous.

L'équipe de da boyzz se sont arrêté pour se reposer. Nous avons-je fait la même chose mais derriere un coin de mur où ils ne pouvaient pas nous voir. Ça fait maintenant plusieurs heures qu'on s'est arrêté. Les da boyzz sont tous entrain de dormir et Horsy aussi. Je suis la seule réveillé. Il n'y a que 20 places pour les gagnants. Je dois donc trouver une façon d'avoir plus de chances de passer a la prochaine étape. J'ai donc eu l'idée de tuer discretement un des da boyzz. Mais comment? Je n'ai rien de pointu sur moi et Horsy non plus. La seule façon que je pourrais tuer quelqu'un serais en les étranglant. Mais ça ferait trop de bruit et prendrait trop de temps à executer le crime, aussi je n'ai pas une assez bonne corpulence contre un groupe complet de da boyzz. J'ai alors une révélation. Je pourrais étouffer un da boyzz avec quelque chose pour qu'il ne puisse plus respirer discretement. Mais quoi prendre? Je regarde tout ce que j'ai sur mon corp et j'aperçois mes chaussure adidas fausse marque bruni par le sang. Je regarde ma semelle de caoutchouc... C'est ca que je vais utiliser.

J'enlevais-je mon soulier de mon pied gauche. Et puis je prends la semelle du derrière du soulier et le coté en tissu avec mon autre main. Je tire fort des deux cotés. Je réussis a divisé la semelle du soulier. Un bruit fort du genre SHLACK! se fait propulser. J'entend un des da boyzz se replacer à cause du bruit. J'arrête de respirer au cas ou qu'un des garçon s'est réveillé. Après quelque secondes de silence rempli par les ronflements de Horsy et des da boyzz je recommence a respirer de soulagement. Je remet ma chaussures qui me fait maintenant perdre l'équilibre. Je me lève et me dirige lentement vers les da boyzz en essayant de faire le moins de bruit possible. Je réalise que je n'ai pas pensé a quel des da boyzz je vais tuer.

Tuer... Je suis une tueuse. Mais peut importe. C'est pour ma survie... et celle de Horsy. Je regarde attentivement tout les da boyzz. Je suis confuse. Qui éliminer? Je décide de faire ma petite vache a mal au patte. Je commence avec le gars de gauche. Je pointe et je pense: "Ma petite vache à mal au patte, tirons la par la queue, elle ira bien mieux..." Je ralenti la vitesse dans laquelle je fais sauté mon index tout en fermant les yeux. "Dans un jour.... ou... deux." Je rouvre les yeux et réalise que je pointe le seul garçon qui ne ronflait pas. Il avait l'aire d'être celui qui dormait le plus loin de son groupe d'amis comme si il était rejet. On dirait aussi qu'il est environ 3 ans plus jeune que moi. Il a l'aire très gentil. Je n'ai plus envie de le tuer. Mais... Les règles sont les règles. Ma petite vache a mal au patte n'a jamais tort. Et aussi, je remarque que je redeviens faible, je dois rester sauvage et brusque, je ne dois-je laisser des émotions de pitié sortir.

Je m'avance lentement vers le jeune garçon. Une larme se crée dans mon oeil puis je la laisse tomber sans réaction. Je me baisse vers le gars en fesant un squat. Je m'agenou puis je rentre lentement la semelle dans sa bouche déjà ouverte pour respirer. J'enfonce la semelle dans sa bouche. Étonnamment il ne sent pas le contact du caoutchouc contre sa langue. J'écrase la semelle contre sa gorge pour en former une boule dans sa machoir. Et puis, tout à coup, le garçon mène sa main vers sa poche et en sort un couteau.

Il glisse d'un coup sec la lame sur ma jambe. Au lieu de m'enfuir j'enfonce encore plus la semelle dans sa bouche au cas ou il veut crier. Il fait quelque gémissement nasal. Je recule mes jambes tout en gardant ma main muni de l'objet de caoutchouc dans sa bouche. Une voix en moi me donne envie de le laisser vivre. Mais non. Sa vie représente ma mort. Le jeune garçon essait de m'atteindre avec son couteau mais avec une de mes main qui n'enfoncait pas la semelle prend son couteau et le lance violemment sur le mur. J'utilise cette main pour enfoncer le bout de soulier encore plus dans sa bouche.

L'enfant commence a gigoter. Il essait de crier mais ne réussis pas. Il devient de plus en plus faible et ses mouvements deviennent de moins en moins brusque. Et en même temps je commence à pleurer sans rien sentir. C'est comme si mon corp était toujours une gentille petite fille mais que mon esprit ne l'était plus du tout. À un moment, les mouvements du garçon cessent complètement. Un sourire se dessine sur mes lèvres en même temps que les larmes coulent sur mes joue et que le gout salée de celle-ci rentre en contact avec mes papilles gustatives.

J'arrête enfin d'enfoncer la semelle en boule dans la gorge de ma victime. Je me relève délicatement et laissant la semelle dans sa bouche. Je regarde le cadavre du garçon intensément pendant quelques secondes et je me retourne avec confiance. Je m'avance vers l'endroit où Horsy étions posé. Quand je suis rendu à ma destination je vois que Horsy est assise en position foetal contre le mur. Je m'assois sur le sol à côté d'elle et lui demande:

-Qu'est ce qu'il y a? Tu dormais pas?

Je vois son visage se relever de ses genoux. Des larmes coulent sur son visage rougit. Ses lèvre son positioné en forme de rectangle comme quelqu'un qui pleure. Elle pleure. Puis elle me regardait-je directement dans le blanc des yeux puis elle me dit, pleine de jugement:

-J'ai tout vu.

Arbre NatureWhere stories live. Discover now