chapitre:10

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Fallait-il lui demander directement?

C'était certainement la meilleure chose à faire pour avoir l'esprit plus tranquille.

- do... donc... t... tu es au... courant pour l'etran...

Elle fut interrompu par nada qui revenait chargé d'un grand bol de bouillon de pommes de terre au poulet; le préféré de Kalifa.

- voilà, voilà ma chérie, dit-elle en posant le bol sur la table devant Kalifa. Vous allez me faire le plaisir de tout avaler.

Kalifa ne se le fit pas dire deux fois. oubliant totalement la conversation avec son frère, elle se mit à mangé avec joie.

- eh au faite, dit-elle Soudainement forçant tout le monde à levé leurs yeux sur elle. Où est Enzo? je ne le pas vu depuis mon arrivé ici.

- aucune idée, répondu distraitement ayann.

- il doit sûrement être occupé à faire des trucs, expliqua nada qui n'en savait rien aussi. Et vous Kalifa, la petite safir ne pas avec vous aujourd'hui ?

Kalifa avait Demanda à safir de retourner au temple avec de la nourriture. Elle avait confiance en Mora mais elle avait quand même peur de laisser John seul avec elle. elle risquait de le retrouvé mort étendu sur le sol.

- je crois qu'elle avait des... choses à faire, menti Kalifa comme elle savait si bien le faire ce temps si.

- bon mes enfants, dit nada en se levant. J'ai suffisamment mangé. je vais allé me reposer en vous tricotant des écharpes à tout les deux.

Elle se tourna vers Kalifa.

- écoutez-moi bien petite farceuse; si jamais vous disparaissez encore de cette façon, ne pensez même pas à revenir un jour.

Ayann et Kalifa échangèrent un regard

- j'ai compris nada, dit Kalifa. Je viendrai te voir le plus souvent possible.

- je préfère ça, répliqua la servante en tournant les talons.

Dès qu'elle sortit, ayann se leva obligeant Kalifa à faire de même. Ils sortirent aussi de la salle a manger pour et se dirigerent vers la salle du conseil.

- je me demande pourquoi nada agit toujours comme ça, lâcha Kalifa.

- elle s'inquiète juste pour toi

- mais je ne suis plus une enfant. elle n'a pas besoin de tout le temps me sourveiller.

Il était arrivé devant la salle du conseil

- moi je crois que si, répondu le chef en entrant dans la salle. Tante lui avait demandé de tout le temps nous sourveiller. Je crois qu'elle le fera jusqu'à sa mort. n'essaie surtout pas de l'en empêcher.

La salle était assez grande mais peu meuble. Droit devant sur l'estrade, deux grandes chaises étaient disposé à la manière de deux trônes dans une salle du trône. La première chaisse, la plus grande était faite en bois noir sculpté avec le plus grand soin. Celle là était destinée au chef du village. La deuxième chaise, moins grand mais non moins belle était destinée à la prêtresse. À part cela, toute une rangé des petites chaises en bois noir était disposé de part et d'autre de l'estrade destiné aux anciens et aux chefs des tribus.

Un peu plus loin, de l'autre côté de la pièce, il y'avait une grande table ronde où on n'avait mit une grande carte qui retraçait tout le territoire de raaki et les environs.

-Il y'a autre chose, dit le chef en se dirigea vers sa chaise.

- quoi donc, Demanda la prêtresse.

Kalifa n'avait pas bouger de la place où elle était resté regardant son frère s'assoir sur sa chaise de chef.

la prêtresse KalifaKde žijí příběhy. Začni objevovat