chapitre 5

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Il n'était pas bien difficile de quitter la forêt. Kalifa et ses compagnons se tenaient debout sur le sentier qui quittait la tribu des marées pour fadeki. quelques minutes les avaient suffi pour comprendre qu'ils avaient besoin d'un moyen de transport. quitter le nord pour le centre allait en temps normal leurs coûté quatre heures de marche à pied et deux heures trente en transport.

pour la prêtresse, le plus facile et le plus pratique-en vu du blessé qu'elle transportait-était de trouver rapidement un chariot ou n'importe quoi d'autre qui aurait le bon sans de passer par là.

Au bout d'une vingtaine des minutes, ils comprirent que c'était encore plus difficile d'arrêter un passant car ils étaient rares à cette heure de la journée et personne ne semblait vouloir transporter dans son chariot un homme louche couvert de la tête au pied.

- c'est un vieil homme très malades, fit obligé de dire safir en réponse aux regards intrigués du fermier qui les transportait dans son chariot poussé par deux ânes qu'ils avaient réussi à stopper après des longues munites d'attente.

- oui...oui, répondu le fermier avec beaucoup des politesses. la prêtresse est vraiment attentionné envers son peuple pour transporter elle même un homme malade dans un chariot si modeste.

- elle avait une affaire à régler à la tribu des marées et a rencontrait cet homme par hasard. étant en très mauvais état, il faut absolument des soins plus approfondies au Temple.

-oui,oui je comprend et ne vous inquiétez pas je vais vous conduire jusqu'au temple, vous pouvez compté sur moi.

Le fermier ne quittait pas la prêtresse des yeux. De temps en temps il Jettait des regards furtifs sur la route déserte et ses yeux revenaient immédiatement sur la prêtresse

Kalifa baissa la tête un peu honteuse. il avait fallu qu'elle expose son titre de prêtresse enfin qu'une personne accepte de leurs transporter jusqu'au temple sans trop posé des questions. cela avait très bien fonctionné. quand cet homme avait sû que c'était la prêtresse, il n'avait pas hésité pour accepter de leurs conduire.

Mais pour Kalifa cette situation n'avais rien de plaisante.
Elle était devant un homme du peuple sans la tenue conforme d'une prêtresse ni aucuns bijoux. même si souvent elle avait l'habitude de sortir comme cela en public, là au moins personne ne pouvait la reconnaître ni l'identifier comme étant la prêtresse.

Apparemment pour le fermier c'était son jour de chance. Ce n'était pas tout les jours qu'on pouvait avoir la prêtresse en personne dans son chariot et en plus personne ne pouvait se venté d'avoir vu la prêtresse d'aussi près.

C'était son jour de chance en effet, il put constaté à quelle point elle était belle; une belle peau noir, des grands yeux de la même couleur, Un petit nez, des lèvres pulpeuses, des longues tresses attachées en un chignon et en plus, sans ses habilles et sa coiffure de prêtresse, elle était encore plus belle dans sa petite robe courte et dépourvu des bijoux pour orner sa personne. Seul trois cristaux attaché à un fil de cuivre formant un collier était attaché à son cou.

Ils arrivèrent au centre du village au coucher du soleil.

Le temple des dieux et de la prêtresse était situé un peu à l'écart de fadeki. le chemin le plus court pour y accéder était de passé par le grand marché public.

Ie temple était érigé sur une petite colline.

Une fois arrivé au bas de la colline, la prêtresse remercia le fermier de Leurs avoir aidé à transporter le vieil homme malade jusqu'au bas des grosses marches en pierre qui formaient les escaliers menant tout à haut de la colline où était aménagé plutôt que construit le temple des dieux et de la prêtresse.

la prêtresse KalifaHikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin