chapitre:8

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safir.

Elle était allé chercher de l'eau et de la nourriture pour l'étranger.

- franchement prêtresse, continua safir. Vous ne devriez pas dire ce genre des choses.

- c'est bon safir. pas besoin de t'énerver pour si peu.

Si peut !

Safir leva les yeux au ciel et préféra laissé tombé.

- tu as pu te rassurer que personne ne nous a vu, Demanda Kalifa.

- oui prêtresse, répondu safir. J'ai même ramené a manger pour notre invité.

- je vous dois des remerciements à vous aussi saphir, dit John.

- premièrement arrête de me vouvoyer; personnes ne le fait ici. epuis, ne pense pas que je t'ai aider toi parce-que cela est faux.

" je suis d'accord avec ma sœur à ton sujet. je ne pouvais juste pas laisser la prêtresse Kalifa prendre des risques toute seule si non, je ne servirai à rien en tant que garde et amie.

Elle déposa par terre le panier repas qu'elle avait en mains avant de commencer à remonter les cinque marches.

- attend Safir, la retint Kalifa.

Safir se retourna.

- tu n'es pas passé chez moi ?

- oh oui! j'avais oublié. en effet je suis passé chez vous, nada demande à vous voir demain à la première heure.

- oh j'irai un autre jour.

- pas question prêtresse. Cela fait au-moins deux semaines qu'elle ne vous a pas vu. vous savez vous-même comment elle est... epuis, le chef a aussi insister pour que vous allez chez vous demain matin.

Kalifa soupirait alors que safir disparaissait à la dernière marche.

- vous devez être très occupé avec votre rend de prêtresse, dit l'homme pour briser le silence.

- arrête aussi de me vouvoyer, je ne suis pas ta prêtresse.

- hein ... D'accord, dit moi Kalifa comment fonctionne votre village.

Kalifa lui raconta tout ce qu'elle savait sur leurs cultures, leurs royaume et les travails de chacun.

- ouah! Vraiment intéressant... Vous êtes bien plus civilisé que je ne le pensais.

- et toi John Walker, raconte moi aussi tout sur ton pays, sur toi et sur ton travail.

il se mit à lui raconter tout ce qui lui venait en tête. Elle s'étonnait de tout ce qu'on pouvait faire avec la technologie. elle rêvait en écoutant ses voyages et ses explorations. c'était presque injuste pour elle qui avait toujours voulu être libre de partir à l'aventure de rester coincer ici en tant que prêtresse alors qu'il y avait tant des choses à découvrir dans le monde.

Ils faisait déjà nuit noire lorsqu'elle Tomba de fatigue au pied de John. Il essaya de la bougé mais elle dormait si profondément qu'on l'aurait cru morte s'il n'y avait pas ce petit bruit de respiration régulière qui se faisait entendre. Il était sur le point de la couvrir avec le manteau que safir lui avait donné quand une voix le fit tressaillir.

- arrête toi, l'arrêta Mora qui descendait les petites marches. Couvrir la prêtresse avec un manteau qui a était touché par un impur revient à la souillé d'avantage.

- des... désolé, balbutia l'homme un peu effrayé par Mora.

Mora se pencha sur Kalifa et la souleva à bout des bras avant de se diriger vers les marches. Une fois arrivé devant, elle se retourna vers l'homm.

- je te conseillerais de ne faire aucun bruit durant la nuit. Entendre des petits bruits au beau milieu de la nuit me donne des envies des meurtres... je ne sais pas pourquoi aujourd'hui c'est encore pire que d'habitude.

Ensuite elle disparus emportant avec elle la prêtresse Kalifa. John resta encore longtemps éveillé pensant à tout ce qui venait de l'arrivé «Tout cela était dingue»

il n'était pas tout à fait sûre d'être en sécurité même dans cette grotte. De plus, Mora n'avait pas l'air de blaguer quand elle lui disait qu'elle pourrait l'assassiner à n'importe quel moment. sans compter toutes ces femmes qui étaient débout au dessus des colonnes avec des flèches en mains. Il était clair pour lui qu'il fallait trouvé un moyen d'avoir une protection supplémentaire à par celle de safir et Kalifa. Or les seuls personnes qui jusque là venaient dans le temple étaient seulement les maha. mais ses femmes étaient des tombes. impossible d'échanger une seule parole avec qu'elles sauf bien-sûr leurs chef: la terrible Mora.

Il réfléchit quelques heures avant de déclarer : « il n'y a pas trente-six solutions. pour gagner tout le monde il faut d'abord gagner leurs chef, mora »

Facile à dire qu'à faire.

la prêtresse Kalifaحيث تعيش القصص. اكتشف الآن