chapitre 2✔

Depuis le début
                                    

Moi : Où allons nous ?

Papa : Chez une amie.

Je ne pose pas plus de question, je pose sur ma tête sur la vitre et attend qu'on arrive sans prononcer un mot.
Après environs une vingtaine de minute nous arrivons devant une très grande maison, je dirais même une villa. Je descend de la voiture avec mon père, nous n'avons même pas le temps d'arriver a la porte qu'elle s'ouvre a la volé et qu'une femme sort de la maison en courant et qu'elle prenne mon père dans ses bras.

Dame : Tu m'as tellement manqué.

Papa : Marisa toi aussi tu m'as manqué.

Je fronce les sourcils, ils ont l'air de se connaitre depuis un bon moment pourtant je n'ai jamais vu cette femme.

Papa : Marisa voici Gabriella.

Elle s'éloigne de mon père et cette fois-ci c'est moi quelle prend dans ses bras.

Marisa : Oh mon dieu ! Tu es tellement belle ! Ça fait des années que j'attends pour faire ta connaissance.

Je suis tellement gênée que je ne sais pas quoi dire.

Marisa : Venez on va passer à table.

On entre dans la maison, elle nous emmène dans le salon et entame une conversation avec mon père.

Marisa : Tu lui as dit ?

Papa : Je comptait justement le faire.

Marisa : Dans ce cas je vous laisse discuter, je vais dans la cuisine.

Elle nous laisse seuls et mon père se tourne vers moi.

Papa : Gabriella il faut que je t'avoue quelque chose.

Je comprend tout de suite que c'est important car il m'appelle par mon prénom et non princesse ou Gabi.

Papa : Il y a longtemps j'ai fait un accord avec Marisa. Ta mère était enceinte et le fils de Marisa avait un an. On s'est mit d'accord sur le fait que si j'avais une fille dès sa majorité elle devra se marier avec son fils pour unir nos deux entreprises.

Non, non, non, ça ne peut pas être possible. Il ne peut avoir prit une telle décision.

Papa : Je sais que ça peut te paraître fou mais c'est pour le bien de nos entreprises.

Je me lève furieuse en laissant mes larmes couler le long de mes joues.

Moi : TU TE FICHES DE MOI ? J'ESPÈRE QUE C'EST UNE BLAGUE, UNE TRÈS GROSSE BLAGUE MÊME. TU OSES DÉCIDÉ AVEC QUI JE FINIRAIT MA VIE SANS ME CONSULTER.

Je cris comme une hystérique. Pourquoi moi ? Je m'écroule au sol en pleurant toute les larmes de mon corps. Ils n'avaient pas le droit de choisir à ma place. Mon père se lève et se rapproche de moi mais je m'éloigne, je ne veux pas qu'il me touche. Il faut que je me ressaisisse, je sèche mes larmes et me relève. Il est de question que j'épouse un homme que je ne connais pas et que je n'aime pas. Marisa revient sans doute alerter par mes cris.

Marisa : On va passer à table.

Je la suis sans rien dire, je suis entrain de rêver, ça ne peut pas être possible.
On s'installe à table, pour ma part c'est silence radio alors que mon père et Marisa discutent. À ce moment la seule chose qui me préoccupe est la quatrième assiette sur la table. Je vais rencontrer le fils de Marisa. Un claquement de porte se fait entendre, Marisa se lève toute contente.

Marisa : Ça doit être mon fils.

Elle sort de la salle a manger et revient même pas deux minutes après avec son fils. Quand mes yeux rencontrent les siens je regrette instantanément. Je viens de comprendre que je vais devoir épouser celui qui a été la cause de mon enfer au lycée. Je vais me marier avec Tarek. Il me regarde avec un sourire en coin et l'envie de vomir se présente presque.

Marisa : Gabriella je te présente Tarek ton futur mari.

C'était la goûte de trop, je me lève précipitamment et je sors de cette maison. Je marche le plus vite que possible dans l'espoir de ne plus jamais les voir. Mes larmes se remettent a couler alors que je compose le numéro de mon frère.

Conversation téléphonique

Yan : Allô ?

Moi : Yan vient me chercher s'il te plait.

Yan : Arrête de pleurer Gabi. Où tu es ?

Moi : Je t'envoie l'adresse par message.

Fin de la conversation téléphonique

Je lui envoie ma position et il me répond sera là dans dix minutes. Je n'arrive pas a y croire. Pourquoi la vie s'acharne sur moi comme ça ? Je n'ai pas cessé de pleurer et chaque passant me regardaient avec pitié. J'étais tellement dans mes pensées que je n'ai pas vu Yan débat moi. Je vais dans ses bras en pleurant de plus en plus.

[...]

La première chose que je fais en rentrant est me démaquiller puis me déshabiller. Je n'ai plus de force, j'ai dû éteindre mon portable tellement mon père m'appelait. Je n'ai envie de rien, je veux juste dormir et qu'en me réveillant on me dise que tout cela n'était qu'un rêve. Je vais dans mon lit et m'endors avec un mal de tête épouvantable dû a mes pleurs.

Demain j'espère sera un autre jour.

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Deuxième chapitre posté, chez moi il est 02h27 du matin et je termine enfin ce chapitre. J'espère qu'il vous a plût. N'oubliez pas de VOTER et de COMMENTER, j'en ai marre des lectrices fantôme.

Bisous mes amours.

Mariage forcé. (Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant