• CHAPITRE 22 •

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« Embrasse moi. »

Je ne savais pas ce qui m'avait pris de dire ça. Le fait étant que Justin lui même semblait surpris :

« Que je t'embrasse ? »

« Tu te défiles, Bieber ? »

« T'es vraiment sure que tu veux que je t'embrasses, Alya ou tu fais ça pour le jeu ? »

« Embrasse moi comme si c'était la dernière fois. »

Il ne se fit pas prier deux fois, se leva et me souleva subitement par les hanches. J'enroulais mes jambes autour de sa taille et mes bras sur ses épaules pour ne pas tomber et il plongea ses mains sous ma robe pour attraper mes fesses. Il approcha sa tête de la mienne en regardant mon sourire et colla nos fronts l'uns contre l'autre, nos lèvres s'effleurant. Il me posa sur le comptoir du bar et posa ses deux mains au creux de mes cuisses, caressant ma peau de ses doigts. Il écarta mes jambes et s'approcha encore plus de moi, une main sur mes hanches, l'autre replaçant une mèche derrière mon oreille puis caressant mes lèvres de son petit doigt. Il s'approcha encore et encore jusqu'à ce que nos lèvres s'effleurent et se cherchent. Il scella nos lèvres violemment et sans aucune tendresse me colla a lui par les hanches, mon bassin contre le sien. Ses mains agrippèrent mes fesses, les malaxèrent puis parcoururent mon dos. De mon côté, je profitais des merveilles qu'il me faisait ressentir, des soupirs de plaisir sortant de ma bouche de temps en temps. Je collais encore plus mon bassin contre le sien et commença à m'y frotter de plus en plus vite signe que j'en voulais encore. Il mit fin à notre baiser à bout de souffle et m'embrassa le cou laissant des suçons par ci par la. Je m'agrippai au bord du comptoir du bar, profitant de ses caresses. Puis il se décolla de moi :

« Action ou vérité ? »

« Vérité. »

« Est ce que tu as envie de moi, maintenant ?»

Je le tirais par le pan de son teeshirt et lui murmura à l'oreille :

« J'ai toujours eu envie de toi. »

Je l'embrassais le plus tendrement du monde, parcourant son torse de mes mains descendant de plus en plus loin. Arrivée à la bosse qui s'était formée sous son pantalon, je la caressais. Justin me prit la main et me regarda droit dans les yeux. Sa voix était roque :

« Tu es sure de toi ? »

« Plus sure que jamais. »

Ni une ni deux il me porta jusqu'au canapé, comme si il avait attendu ce moment depuis une éternité. Il s'assit, moi sur ses genoux et je commençais à déboucler la ceinture de son pantalon. Ces bras étaient de part et d'autre du dossier du canapé en cuir, sa tête renversée en arrière, il ne parlait plus, profitait. J'enlevais son pantalon et découvrit son boxeur Calvin Klein, devenu trop serré pour lui. Je le caressais du bout des doigts et Justin grogna. Amusée, je le caressais encore, augmentant sa bosse et son excitation. Je lui chuchotais à l'oreille :

« J'espère que t'es prêt. »

Je me mis à terre, les genoux sur le tapis qui devait couter une fortune, ma tête en face de son boxer. Sa main se glissa dans mes cheveux, les empoignant. Je commençais par faire glisser son boxer, découvrant sa verge, tendue et raide qui n'attendait que ma bouche. Je la lécha simplement au début puis commença à l'embrasser tout le long. Je posais alors mes lèvres sur son gland, il se crispa et empoigna mes cheveux encore plus fort, balançant sa tête en arrière. Sa main guida ma tête et je mis sa verge entière dans ma bouche, la rendant très humide. J'entrepris des va et viens, de plus en plus profonds, de plus en plus vite. Ses jambes se contractent de plus en plus, son souffle devient de plus en plus saccadé, ses grognements de plus en plus forts et rapprochés. Je décide d'aller encore plus profond et il empoigna subitement ma nuque ; il ne s'y attendait pas. Chaque va et viens le faisait grogner de plaisir et renforçait son emprise sur ma nuque poussant encore plus profond. Je levais les yeux vers lui ; le voir comme ça pantelant, au bord de l'orgasme m'excitait encore plus. Je glissais mes doigts sous ma culotte et commença à me doigter en même temps, savourant chaque seconde. Lorsqu'il s'en aperçut il ne pu plus tenir :

• ROUGE COMME LE SOUVENIR •Where stories live. Discover now