phantom h.s (version français...

By 5sxcondsofstyles

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une histoire d'amour tragique entre une jeune fille triste et un garçon mort qui doivent travailler ensemble... More

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vingt-sept
vingt-huit
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trente et un
trente deux
trente trois
trente quatre
trente cinq
trente six
trente sept
trente huit
trente neuf
quarante
quarante et un
quarante deux
quarante trois
au revoir 2014, bonjour 2015
mortal

deux

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By 5sxcondsofstyles

"Jane! Le dîner est prêt!"

J'ai finalement lâché la photo, après de nombreuses minutes à la regarder fixement. Qui est HS? Pourquoi sa photo est ici? Que faisait-elle dans mon placard?

Je serre la mâchoire aux multiples boites qui restent encore à déballé avant de quitter ma chambre et faire mon chemin jusqu'en bas.

Dois-je dire à mes parents à propos de la photo? Non, je renonce immédiatement à cette idée. Je l'ai trouvé dans ma chambre, et je veux la garder pour moi.

Cependant, je ne peux pas m'empêcher d'être curieuse. Presque rien a été laissé dans la maison quand nous avons déménagé, et cette boite semble sentimental. Qui aurait pu la possédé? HS?

Je suis assis en face de mes parents à table, mais le sourire sur le visage obsédant du garçon est la seule chose rampant dans mon esprit. Je suppose que c'est bien pour tenir mon esprit sur autre chose que de me tuer, même si ce quelque chose est une photographie effrayante que j'ai trouvé dans le placard poussiéreux d'une ancienne maison. Eh bien, j'ai promis que je serais plus optimiste, ne le suis-je pas?

"Tu aimes ta chambre?"

Je lève les yeux pour tomber dans les yeux excités de mon père, pendant que je tourne mollement les pâtes autour de ma fourchette. "Ouais, c'est...grand."

"Nous avons des nouveaux mobilier pour remplir tout l'espace!"

"C'est bon. Je pense que j'ai assez de meubles."

Il est évident pour moi que mes parents se demandent toujours pourquoi je me suis tourné de manière négative et sarcastique, alors que eux deux sont des rayons de soleil. Littéralement, tout ce qu'ils disent ou font a une connotation positive. Ils devraient être couronnés roi et reine Optimiste de l'univers.

J'aime mes parents, bien sur. Mais parfois je veux juste m'éloigner d'eux et de leur positivité nucléaire.

"Donc, Jane," dit ma mère, mettant la salade dans son assiette. "Tu commences l'école demain."

Je soupire. "Ouais."

"Excité?"

Je lui donne un regard, et elle pince les lèvres.

"Tu vas te faire beaucoup de nouveaux amis."

"Les amis sont parfois surévaluer."

Mes parents échangèrent un regard.

"Rappelles-toi de ce que nous avons parlé avant de déménagé ici, Jane," dit mon père, en ajustant les lunettes perchées sur son nez.

Je regarde ma nourriture.

"Le monde est un bel endroit, tu as juste a avoir un esprit ouvert," poursuit-il.

Je mords dans ma lèvre inférieure pour ne pas rétorquer.

"Tu as juste à sourire au monde, et il te sourira en retour." Lui et ma mère grimace en me regardant.

Je serre la mâchoire, exhalant. "Vous ne comprenez pas. Vous ne comprenez pas, et vous ne comprendrez jamais." Je garde ma bouche fermée dès que les mots sont sortis, et me lève, poussant mon assiette.

Mes parents se tournent vers moi, les yeux grands ouverts. Je peux voir qu'ils ont peur que j'essaye quelque chose de nouveau, ce qui alimente ma colère.

"Dieu, détendez vous," je gémis. "Je ne vais pas me couper de nouveau." Je quitte la salle à manger, en essayant de calmer la colère qui rugis a l'intérieur de moi.

Je ferme la porte de ma chambre en prenant quelques respirations profondes. Je marche et ferme les rideaux devant la fenêtre, déplaçant quelques cartons de mon chemin. Je soupire et m'assois sur mon matelas. J'étends mon dos pour regarder le plafond.

Je suis presque entièrement convaincu que l'idée de l'école secondaire* est venu directement du diable. Et je ne suis pas impatiente d'y retourner. Surtout pas dans une nouvelle ville, tellement petite que tout le monde semble connaître tout le monde.

Je tourne la tête vers l'endroit où j'ai laissé la boite avant de partir manger. Je m'attendais à toucher la surface de la photo, ou encore l'intérieur en velours de la boite. Cependant, ma main a seulement touché la matière de mon matelas nu.

Confuse, je m'assois, pour essayer de trouver la boite. Mais elle est nulle part. Je me tiens debout, mes yeux balayant la chambre. Je vérifie le placard, mais pas de chance.

Ou l'ai-je mis? Je jure que je l'ai laissé sur mon lit. Elle n'a pas pu lui pousser des jambes pendant le repas. Où est-elle donc?

Je n'ai aucune idée pourquoi je suis tout à coup tellement attachée à cette boite, mais il est clair que quelque chose me touche. Sinon je n'aurai pas passer mon temps à ouvrir la moitié des cartons pour essayer la retrouver.

Après dix bonnes minutes de recherche, je me retourne vers mon lit toujours en colère. Je congèle.

, au même endroit où je l'ai laissé, est la boite.

J'arrache le haut de la boite pour l'ouvrir, et prend la photo.

"Quel genre de jeu est-ce?" Je demande à haute voix, réduisant mes yeux à la vue du garçon souriant sur la photo.

Il doit y avoir quelque chose dans l'air de Washington qui me fasse halluciner, parce que je sais très bien que la boite n'était pas sur mon lit il y a dix minutes.

Un coup frappa à ma porte, et je lance rapidement la boite dans un tas de vêtements qui se trouve sur le plancher. J'ouvre la porte et vois ma mère qui se tient dans l'encadrement de la porte avec une assiettes de brownie.

"Salut chérie, je t'ai apporté un peu de dessert," dit-elle en souriant. "Désolé si on t'a contrarié à table. J'espère que tu t'es un peu calmé maintenant."

J'écoute, hochant la tête. "Merci." Je prends un brownie dans l'assiette et mords dedans, le chocolat fond sur ma langue. Ma mère a toujours été phénoménal en cuisine.

"Vraiment bon," je dis à travers une bouché de brownie, et elle sourit à nouveau.

"Quoi qu'il en soit, je suis également venu pour voir si tu as besoin d'aide," dit-elle, en marchant à coté de moi dans ma chambre. "Tu auras au moins tous les vêtements que tu voudras avant l'école demain matin."

"Oh, c'est bon," dis-je, consciente que j'ai caché la boite dans ce tas. "Je vais le faire demain, je suis fatigué maintenant."

"Ça ne sera pas long," dit-elle, tirant un chemisier froissé. "Ce n'est pas comme si tu avais une collection gigantesque de vêtements."

Je ne veux pas qu'elle trouve la boite. Elle ne l'a pas trouvé dans son placard, je l'ai trouvé dans le mien. Je croise les doigts.

"Maman," dis-je une fois qu'elle a fini le pliage de la blouse, atteint une paire de jeans. "J'ai dit que c'était très bien."

"Jane, c'est la pagaille. Et je n'ai pas encore nettoyer l'étage, tu ne veux quand même pas que tes vêtements reste sur le sol?"

J'élargis mes yeux quand elle commence à prendre le t-shirt couvrant la boite.

"Maman, as-tu entendu ça?" Elle laisse tomber le t-shirt, me regardant avec curiosité.

"Entendu quoi?"

"J'aurai juré que papa t'as appelé. Il a probablement besoin d'aide avec la télévision encore."

"Je n'ai rien entendu."

"Tu peux au moins aller voir. Tu sais comment il est quand il s'ennuie des documentaires à la télé."

Oui, c'est vrai. Au lieu de regarder les sports comme la plupart des pères, mon père regarde des documentaires sur la chaîne Discovery. Il les aime. Parfois même il crie sur l'écran, comme si ça n'était pas préenregistré. Un autre avantage d'avoir un père obséder par l'histoire.

"Tu as raison," ma mère est d'accord, debout devant la porte. "Il parlait de regarder un programme ayant à voir avec le registre des fossiles, il aime les fossiles. Je ferais mieux d'y aller."

Je respire, un soupir de soulagement, quand elle part, prenant les brownie avec elle.

Je tire la boite du tas de vêtements, en examinant la photo une fois de plus. Je ne peux pas me décider pourquoi je suis tellement attiré par ce certain HS et de cette boite en velours qu'ils semblent avoir laissé ici.


-


"Nom?"

"Jane Marx."

La réceptionniste blonde se pince les lèvres rouges cerises pendant qu'elle me cherche à travers le dossier. Ses ongles roses, qui doivent être au moins de 1 cm de long, passe au crible les documents avant de s'arrêter sur un.

"Ah, Jane Marx," dit-elle en tendant un papier pour moi. "Vous êtes ici."

Je déduis de ses yeux qu'elle est en train de regarder mon emploi du temps.

"Merci," dis-je.

"Mmmh." dit-elle, laissant tomber le dossier de nouveau dans un classeur à coté de son bureau. "Passer une bonne journée."

Je hoche la tête, et à la sortie du bureau, je marche pas à pas dans le couloir.

Castle Hill High School est l'école secondaire typique, étouffé dans sa couleur bleu marine, et la mascotte d'un étalon. Les casiers bleu clair bordent les couloirs avec parfois des traces sur les murs blancs.

Je déteste l'école.

Et je déteste celle-ci, même si c'est seulement ma première journée. Mon objectif est d'être plus optimiste mais c'est beaucoup plus difficile que je ne le pensais quand je suis entouré par des idiots que je ne connais même pas.

Je me glisse dans un siège de mon premier cour, situer vers l'arrière de la salle. Je regarde les filles dans des jupes et des chandails à froufrous dans la classe, avec les garçons en veste de fac et des converse. Dieu, pourquoi cette école est aussi cliché?

"Hé, tu es la nouvelle."

Je tourne ma tête, essayant de rassembler le sourire le plus sympathique que possible. Ce qui n'est pas très franchement mon style.

Le garçon à les cheveux blonds sable et porte un t-shirt de l'école, où on peut voir la mascotte tiré à travers la toile bleu de son t-shirt. Il me sourit, de ses dents blanches et lumineuses.

"Je suis Max," il se présente, me tentant sa main. Quand il a vu que je lui tendrais pas la mienne, il replace sa main comme avant.

"Salut," dis-je, tournant la tête loin de lui à nouveau dès que le mot quitte ma bouche.

"Et tu es?"

"Jane," dis-je, voulant que cette conversation ce termine le plus tôt que possible.

"Tu es très jolie, Jane."

Je tourne la tête vers lui. "Pas intéressé."

Il laisse échapper un rire. "Ne t'inquiètes pas, je n'essaie pas de te draguer ou quoi que ce soit."

Je lève un sourcil. "Alors, pourquoi es-tu en train de me complimenter?"

Il hausse les épaules, toujours souriant. "Tu as l'air d'avoir besoin de le savoir."

Je fronce mon front, tandis que la cloche sonne et que la classe commence.

La journée passe dans un rythme rempli d'enseignants faussement heureux et de camarades de très bon goût que je préférerais être sans eux. Quand la cloche finale sonne, je suis épuisée.

Je déverrouille ma voiture et glisse dans le siège conducteur, laissant échapper un soupir. Je regarde mon sac qui est à coté de moi, sortant la photographie qui se cache dans la poche intérieur de celui-ci.

Je la regarde encore pour la millième fois. Je n'ai pas réussi à le sortir une seule fois de mon esprit aujourd'hui. Le garçon sur la photo, HS, semble avoir à peu près mon âge. Est-il possible qu'il puisse aller à l'école? Si oui, que faisait sa photographie dans mon placard?

Mes pensées sont interrompues par des coups sur ma fenêtre. Je saute, et jette la photo de nouveau dans mon sac, et me retourne pour voir qui c'est.

Max, le garçon de mon premier cour de ce matin, me sourit de l'autre coté de la vitre.

"Bon sang, ne refais pas ça," je respire, descendant ma vitre.

"Désolé," il hausse les épaules, ne cherchant pas du tout à être désolé.

"Que veux-tu?"

"Eh bien, puisque tu as fais ton premier jour au CHHS, je pensais que des félicitations serait mérité. Donc, félicitations."

Je renifle. "Merci."

"Pas de problème. Rendez-vous demain."

Je le regarde s'éloigner. Il est la seule personne avec lequel j'ai tenu une vraie conversation, en dehors des quelques filles de ma classe de maths.

Avec un soupir, je sors du parking et rentre chez moi.

Je sais que je vais avoir la maison pour moi seule avant que mes parents reviennent du travail. Ma mère est une enseignante de première année à Castle Hill Elementary School, je ne sais pas pourquoi elle voudrait être autour d'un tas de petits morveux, tous les jours pendant cinq jours par semaine; mais ce n'est que mon opinion.

Mon père a pris un travail dans le quartier près de l'école en temps que chef de département. Il dit que ses cours d'enseignant va lui manquer, mais selon lui, il avait besoin d'une pause.

Il me faut quelques minutes pour réussir à tourner la clé dans la serrure rouillé de la porte arrière de la cuisine, avant de finalement entrer dans la maison. Je laisse tomber mon sac sur la table de la cuisine et prend une pomme dans le plat de fruit. Je m'appuie contre le comptoir et la mange pendant quelques instants, en regardant une fissure dans la peinture sur le mur.

Parfois, je me sens triste. C'est comme un vide à l'intérieur de moi, le genre de vide qui ne vous donne pas beaucoup de réflexion, mais qui est toujours présent. Je n'aime pas ça, je souhaite qu'il s'en aille.

Après quelques minutes, je jette le trognon de la pomme, et monte jusqu'à ma chambre.

Je laisse tomber mes affaires sur le sol, et décide que je dois commencer à déballer toutes mes affaires.

Je plie mes vêtements à un rythme avec lequel je pourrait rivaliser contre les travailleurs les plus qualifiés des magasins Hollister, et je les ai mis dans l'armoire après que j'ai nettoyé toute la poussière de celui-ci. J'ai mis des draps propre sur mon lit, et organiser mes livres sur mon étagère, me sentant tout d'un coup fière de moi.

Je me couche dans mon lit, la photo dans la main.

"Qui êtes-vous?" Je demande à haute voix, louchant sur le visage du garçon et courant mes doigts sur la photo.

Je me redresse, essayant t'atteindre le plus possible ma table de nuit où j'ai laissé la boite hier. Je l'ouvre et étouffe un cri.

Il y a quelque chose à l'intérieur de la boite qui n'était certainement pas là avant.

Je prend ce qu'il y a à l'intérieur, et sort un collier; un crane en argent minuscule et des os croisés sur une belle chaîne en argent délicat.


* * *

*école secondaire en amérique : de la 6ème jusqu'en terminale.

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