HOMELESS (Tome 1)

By astarofsky

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Les secrets sont-ils faits pour être cachés, ou pour être révélés ? Ivy a découvert le secret sur sa famill... More

Playlist
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Une FAQ spéciale personnages, ça vous dit ?
Ils sont là, plus beaux que jamais...
Le mot de la fin
Fearless et Eight

Chapitre 38

380 45 49
By astarofsky

[C'est le dernier chapitre avant ma pause, même si j'essaierai de poster entre temps, sûrement aux alentours du 20 mai - enjoy !]

Lorsque Nate frappe à la porte de la chambre que j'occupe, le lendemain après-midi, je n'ai toujours pas bougé. La veille au soir, je me suis roulée en boule dans les couvertures dont je ne connais pas l'odeur, et je me suis endormie aussitôt, éreintée par la journée qui venait de se dérouler. Malgré un sommeil peuplé de rêves étranges sur ma famille et d'ombres grandissantes, j'ai pu me reposer.

Seulement voilà. Je ne veux pas me lever, ni manger. Mon appétit m'a déserté, remplacé par un nœud dans mon estomac. Je n'ai rien avalé depuis hier midi, et la simple vue de la nourriture suffit à me donner la nausée.

C'est impoli, par rapport aux parents de Nate, mais je ne parviens pas à me forcer. Et le pire, dans tout cela, c'est que je ne sais même pas pourquoi exactement je réagis de cette manière maintenant. Après tout, je sais que mes parents ne m'aiment pas et ne voulaient – ne veulent toujours pas, d'ailleurs – de moi dans leurs vies depuis près d'un an. Ce n'est pas comme si cette nouvelle m'était tombée dessus hier !

-Ivy ? m'appelle mon ami de l'autre côté de la porte.

Je me redresse dans le lit alors qu'il rentre, un plateau dans les bras. Dessus sont posés une tasse et le repas de ce midi. Je plisse le nez lorsqu'il le dépose à côté de moi avant de s'asseoir sur le bout du matelas.

-Je pense que je peux te le rendre, maintenant, poursuit-il en sortant quelque chose de sa poche.

L'éclat brillant de l'objet m'apprend qu'il s'agit de mon téléphone portable. Hier, il me l'a confisqué pour ne pas que je sois en contact avec mes parents. Je m'étais imaginée qu'il me le rendrait seulement à la fin des vacances.

-Ils n'ont pas cherché à te joindre, me prévient Nate tandis que j'allume l'appareil.

Il cherche une réaction dans mes yeux bleus, sans en trouver. Tout simplement car je ne ressens rien. Pas même un pincement au cœur en sachant que mes géniteurs n'ont pas voulu m'appeler. Au contraire, je me sens presque soulagée qu'ils ne l'aient pas fait. Ça aurait été déplacé de leur part.

-Merci, murmuré-je d'une voix enrouée.

Lorsque je déverrouille l'appareil, j'ai un appel manqué, ainsi que plusieurs messages venant du même numéro. Mes sourcils se froncent, et je relève la tête vers Nate.

-Pourquoi est-ce que Björn a essayé de me joindre ? m'enquis-je avec étonnement.

Nate prend un air innocent, mais ses joues qui rosissent le trahissent. Il se tortille sur place, mal à l'aise. Sa réaction me met la puce à l'oreille. Il ne l'a quand même pas appelé ?

-J'ai pensé que ça te ferait du bien de lui parler. Et qu'il sache ce qui se passe ici, pour toi.

-Mais ça va l'inquiéter plus qu'autre chose ! m'exclamé-je. Tu ne lui as pas tout dit, au moins ?

Il grimace et passe une main dans sa nuque, gêné. Je soupire d'exaspération. En l'espace d'une journée, plusieurs personnes ont déjà appris ce que j'ai mis tant de temps à cacher. Et cela ne me plaît pas du tout.

-Heureusement que je t'avais dit de n'en parler à personne...

-Tu m'as juste demandé de ne rien dire à Bruce et Gemma ! se défend le châtain.

Je suis si lasse que je ne prends même pas la peine de lever les yeux au ciel. J'aurais seulement préféré qu'il m'en parle, avant de répéter à d'autres ce qui se passe dans ma famille. Ça m'a demandé un effort énorme de lui parler, et je n'ai pas envie que de plus en plus de gens soient au courant.

Et plus que tout, je n'ai pas envie d'en reparler. Plus jamais. Maintenant que je peux passer plusieurs mois loin d'eux, je veux juste les oublier. Et ne rien faire. Je veux simplement rester seule un moment, ne pas parler à Nate ou sa mère, ou même à Björn.

-Tu n'aurais pas dû lui envoyer de message, reproché-je à mon ami. Ça va l'inquiéter, et il n'a pas besoin de ça.

-Il peut peut-être te changer les idées ? suggère Nate.

-Et comment ? Il est dans un autre continent, et il ne peut rien faire !

Mon ami hausse une épaule en grimaçant, semblant chercher ses mots. Je passe une main dans mes cheveux emmêlés afin de me calmer. Je n'ai pas le droit de m'en prendre à Nate seulement pour évacuer le trop-plein de tension qui se bouscule au fond de moi. Après ce qu'il fait pour moi, lui en vouloir est la dernière chose que j'ai le droit de faire.

-Excuse-moi, soupiré-je. C'est juste que...

-Tu n'as pas envie d'en parler, je sais, m'interrompt-il. Mais il le faut, Ivy. Ça te ferait du bien. Regarde, hier, quand tu t'es confiée à moi, ça t'a soulagée, non ?

Il est mal placé pour me dicter cela. Mon sang ne fait qu'un tour dans mes veines, piquée au vif par sa phrase. C'est plus fort que moi, je ne parviens pas à retenir les mots qui sortent de ma bouche ; ils passent la barre de mes lèvres sans filtre.

-Toi aussi, tu devrais m'avouer tout ce que tu as sur le cœur, dans ce cas, répliqué-je d'un ton plus sec que je ne le voudrais. Tes parents sont au courant de ce qui se passe avec toi, et pourquoi tu es comme ça ?

Les yeux de Nate se voilent, ses muscles se tendent, et je sais automatiquement que je suis allée trop loin. Il a horreur de remettre ce sujet sur le tapis, et je m'étais pourtant promis de n'en parler que s'il le souhaitait. Mais ça a été plus fort que moi.

Le teint pâle, le regard me lançant des éclairs, mon ami se lève du lit.

-Nate... tenté-je.

-C'est complètement différent, me coupe-t-il. Tout ce que je cherche à faire, c'est t'aider. Mais puisque tu n'en as pas envie, démerde-toi, Ivy. Je ne reste pas ici pour que tu rejettes mon aide et que tu me blesses d'une manière aussi minable.

Sa réaction pourrait me paraître disproportionnée si je ne le connaissais pas aussi bien. Mais je sais que je lui ai fait mal en disant cela. Que j'ai remonté à la surface une partie de lui qu'il s'obstine à cacher au monde entier, même à lui.

Je le regarde s'éloigner d'un pas énervé. Arrivé au pied de la porte, il se retourne et me toise.

-On avait prévu de se retrouver, avec les autres. Mais je pense que c'est mieux si tu restes ruminer toute seule ici, plutôt que de ruiner notre après-midi à nous tous, avec tes idées noires.

-Parce que tu crois que je fais exprès d'être comme ça ? m'écris-je, vexée.

-Je n'en sais rien, justement. Mais tu as besoin d'être seule pendant un moment, je crois.

Je voudrais lui dire que non, justement, je ne peux pas être seule. Parce qu'à chaque fois que je me retrouve en solitaire dans une pièce pendant plusieurs minutes, cela suffit à me rappeler ce qui s'est passé la veille. Mais je sais également que j'ai heurté mon ami, ce qui n'est pas mon but, loin de là. Et je ne veux pas que cela recommence.

Avec un gémissement, je me laisse retomber sur les couvertures. Depuis hier, j'ai l'impression que le contrôle de ma vie m'échappe totalement, et je déteste cela. Comment tout a pu déraper aussi rapidement ? Ça me dépasse.

La maison est vide de vie, à présent que Nate est parti. Ses parents travaillent, et je me retrouve seule chez eux, comme une intruse. J'aimerais sortir, mais la peur de croiser mes parents me tiraille le ventre. C'est sans doute idiot, mais je ne veux pas les voir. J'ai trop peur de ce qui pourrait se passer si je tombais sur eux au détour d'une rue. Si bien que je me retrouve confinée ici durant tout l'après-midi. A « ruminer », comme Nate l'a si bien dit.

Alors que puis-je faire ? Je ne peux pas rappeler Björn, c'est hors-de-question. Il va s'inquiéter encore plus pour moi, et je n'ai pas envie de devoir lui expliquer également la situation. A la place, je rédige un simple message à son intention, disant que tout va bien, que tout va s'arranger, à partir de maintenant. Même si ce n'est pas vrai, j'espère qu'il croira mon mensonge.

Il n'y a qu'une seule chose qui puisse me changer les idées, et je suis maintenant libre de l'exercer : peindre. Je me rends au sous-sol, où règne une forte odeur de peinture rassurante. Mes paupières papillonnent, tandis que je me plonge dans la pièce et m'imprègne de cette ambiance calme qui a le don de me délivrer de mes soucis. J'attrape plusieurs pinceaux et des crayons, avant de m'installer face à une toile vierge. J'ai besoin de me vider la tête en couchant tout sur le papier.

Mais au moment où je brandis mon crayon, l'inspiration me déserte. Ma main se met à trembler, et je me retrouve incapable de poser la pointe du stylet sur la feuille blanche. Pour la première fois depuis longtemps, je ne sais pas quoi créer. J'ai beau me concentrer un maximum, rien ne veut sortir de ma tête. La peinture, pourtant si apaisante habituellement, semble se lier contre moi.

Mes yeux se posent au hasard sur différents objets de la pièce, comme si cela pouvait m'aider à puiser l'inspiration suffisante pour que je reprenne possession de mon crayon. Ils s'attardent sur le canapé, l'endroit même où j'ai tout révélé à Nate, hier après-midi. A ce souvenir, un frisson me parcoure l'échine, et un sentiment de honte m'envahit brusquement lorsque je repense à tout ce que je lui ai dit. A la faiblesse dont j'ai fait preuve.

A présent, je ne sais même plus pourquoi je lui ai tout raconté. Et je m'en veux de m'être montrée si faible devant lui, d'avoir pleuré pendant des heures. J'ai de la chance si, par la suite, il ne me prend pas en pitié...



NATE

J'étire mes jambes sous la table où je viens de m'installer, tout en passant une main dans mes cheveux. Malgré la fatigue, j'ai accepté de rejoindre les autres au café où nous nous rendons habituellement. Fatigue qui s'est évaporée, remplacée par de la colère, dès l'instant où Ivy a parlé de ce qui se passe dans ma tête. Le fait qu'elle l'utilise contre moi m'a agacé au plus haut point. Elle sait pourtant pertinemment que je déteste que l'on en parle...

Bruce s'installe face à moi, coupant court à mes pensées. Il me regarde en fronçant les sourcils, et il n'a pas besoin de prononcer une parole pour que je sache ce qu'il va dire.

-Avant que tu le demandes, commencé-je, non, Ivy ne va pas bien. Et je ne sais pas quoi faire pour l'aider, puisqu'elle refuse que je sois avec elle.

Le brun soupire en secouant la tête, l'air navré. Gemma et Clarissa ne sont toujours pas arrivées, et nous sommes seuls dans le café. Autrement dit, même les sujets les plus sensibles peuvent être abordés, personne ne nous entendra.

-Tu sais ce qui se passe dans sa famille ? m'interroge-t-il sur un ton soucieux.

J'acquiesce lentement, sans donner plus de précisions. La rousse m'a clairement fait comprendre que je n'avais pas intérêt à en parler aux autres, et je compte bien me taire là-dessus.

-J'imagine que tu ne vas rien me dire, hein ? devine Bruce.

Il a l'air blessé de ne pas être dans la confidence.

-Le plus important, c'est de l'aider, appuyé-je, esquivant son interrogation. Mais je ne sais pas comment faire. Elle refuse de reparler de ce qui s'est passé hier, même à ma mère. Et je la connais : butée comme elle est, elle va garder tout ça pour elle, et elle va se renfermer. Mais ce n'est pas bien.

Je ne suis pas spécialement proche de Bruce ; cependant, il connaît bien Ivy, et depuis plus longtemps que moi. Alors peut-être a-t-il une solution ?

-Laisse-lui du temps, suggère-t-il.

Je pose mes coudes sur la table, la tête entre les mains.

-Mais elle va mal, et ça me tue. J'aime pas la voir comme ça, c'est juste... C'est dur.

-Elle vient de vivre un truc traumatisant – je ne sais pas quoi, exactement, mais quelque chose qui lui a fait du mal. C'est courant, d'être dans cet état, ensuite.

-Je sais, grogné-je. Mais je suis impuissant face à ça.

Bruce lève un doit dans ma direction.

-Non. Tu l'as aidée, en l'hébergeant chez toi, en l'enlevant à ses parents. Tu n'es pas Superman, Nate. Tu fais ton possible pour qu'elle aille mieux, mais il lui faut du temps pour s'en remettre. Et demande-lui aussi si elle ne regrette pas de s'être confiée à toi. C'est peut-être pour ça qu'elle t'a rejeté, tout à l'heure.

-Regretter ? répété-je d'un air incrédule. Pourtant, elle voulait vraiment tout me dire, hier.

-Réfléchis. Tu sais comment elle est : elle ne supporte pas qu'on puisse la prendre pour une victime ou qu'on la prenne en pitié. Et en te disant tout ce qu'elle traverse avec ses parents, elle s'est montrée vulnérable, quelque chose qu'elle déteste. Forcément, elle a des remords, maintenant que c'est passé. Tout ce que tu peux faire, c'est la rassurer là-dessus.

Mes épaules se détendent, alors qu'une multitude de questions se bousculent dans ma tête. Se pourrait-il que Bruce ait raison ? Je tente de me mettre à la place de mon amie, les yeux rivés sur la table dans le dos du jeune homme brun. Comment réagirais-je, si je devais tout dire à Ivy ? Une partie de moi veut se persuader que je serais soulagé qu'elle sache la vérité, mais au fond, je sais que ce n'est pas vrai. Je m'en voudrais d'avoir tout révélé à quelqu'un, moi qui m'étais juré de ne jamais rien dire à personne.

Alors oui, je comprends ce que peut ressentir Ivy, à présent. Et je comprends pourquoi elle est si mal, depuis ce matin. Pourquoi elle m'a balancé à la figure quelque chose qui me blesse.

Je me lève brusquement, manquant de renverser ma boisson, et attrape mon manteau. Bruce me regarde, un air interrogateur pointant dans ses iris.

-Où est-ce que tu vas ? demande-t-il en me voyant partir.

-Aider Ivy. Ce n'est pas une bonne idée qu'elle ressasse tout ce qui s'est passé hier.

Je n'entends même pas sa réponse ; je me retrouve dehors en deux secondes, frigorifié par le froid de mars. Ma maison n'est pas si loin du centre ville, alors je ne prends pas la peine de chercher un bus. Je serai plus rapide en marchant. Et en effet, il ne me faut qu'une dizaine de minutes pour arriver jusque chez moi.

La demeure est déserte lorsque j'ouvre la porte d'entrée. Je fonce à l'étage, montant les marches deux par deux jusqu'à la chambre d'amis, où Ivy a installé ses affaires. Vide. Aussitôt, je redescends au sous-sol. Il y a presque cent pour cent de chance qu'elle se trouve là.

-Hey, lâché-je en entrant dans la pièce.

Contrairement à ce que je m'attendais, Ivy n'est pas devant un chevalet, mais sur le canapé, enroulée dans un plaid. La petite télévision est allumée, et étrangement, aucune nouvelle toile n'est peinte. C'est plutôt inhabituel, venant d'elle.

Mon amie rousse lève ses iris bleus vers moi, surprise de me voir ici. Je m'approche et m'installe à côté d'elle. Elle ne dit rien, fuyant mon regard, chose d'autant plus surprenante. Mes yeux se tournent vers l'écran, et je ne peux retenir un rire moqueur en prenant connaissance de son programme.

-Tu regardes cette série niaise à souhait ? Sérieusement, Ivy ? Tu me déçois fortement.

Un sourire pâle retrousse ses lèvres un instant, avant de retomber subitement.

-Tu es rentré tôt, constate-t-elle.

-Tu ne vas pas bien. Je ne vais pas te laisser toute seule dans des moments comme ça.

Elle se renfrogne et lève les yeux au ciel.

-Je l'ai mérité, pourtant.

-Tu as le droit d'être en colère contre tes parents, Ivy, assuré-je. Mais il faut que je sache quelque chose : est-ce que tu regrettes de m'avoir tout dit ?

Plusieurs secondes flottent dans l'air avant qu'elle n'ait une réaction. Elle hoche la tête en silence, les yeux rivés sur la série qui continue de tourner. Cela ne me surprend absolument pas ; cependant, mon cœur ne peut s'empêcher de se serrer douloureusement. Peut-être était-ce trop tôt pour qu'elle se confie, malgré l'urgence de la situation, tout compte fait...

-Je comprends, tu sais, poursuis-je. Mais tu n'as pas à t'en vouloir. Il y a un moment où les secrets doivent exploser car ils sont trop lourds à porter. Pour autant, ça ne signifie pas que tu es faible.

-Et toi, alors ? demande-t-elle d'une petite voix, du bout des lèvres.

Je m'attendais à cette question. Ma bouche s'étire en un sourire désolé, tandis que je passe une main dans ma nuque.

-Pour moi, le moment n'est pas encore arrivé. Mais quand ce sera le cas, tu seras la première et la seule à être au courant. Je te le promets.

*****

Et voilà, c'était le dernier chapitre avant ma pause. Il ne se passe pas grand chose en plus, alors ça me désole vraiment de vous laisser là-dessus. Mais si j'ai le temps, après mes premières épreuves de mai, vous aurez le droit à un nouveau chapitre !

Je serai donc plutôt absente sur Wattpad pendant cette période, mais n'hésitez pas à faire péter les commentaires!  Sinon, si vous voulez savoir l'avancée des chapitres, ou discuter, tout ça, vous pouvez me rejoindre sur Twitter : thevaldezophon et sur Instagram : outoflignes

Love,

Valentine

PS : j'ai changé mon user, mais c'est toujours moi 😂

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