After 4

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J'ai cru à Penda. Alors qu'elle ne suivais que son coeur. Elle a été blessé, et cherche à avoir des gens dans la même situation qu'elle. Elle a vraiment besoin d'aide par rapport à ça.

Ça fait mal de vraiment voir mon amie comme ça. Je n'oublie pas qu'elle a vraiment etait là pour moi. Mais bref c'est pas ça qui m'importe le plus. Ma rencontre avec Ibrahima me fait peur. J'ai un mauvais pressentiment mais bon voyons ce qu'il va se passer. Me donner rendez vous aussi dans la maison où l'on s'est embrassé la première fois, veut dire qu'il a énormément de choses à me dire.

Parlant du loup, il m'envoie un message. J'étais en retard à cause de ma mère. Elle m'a demandé de préparer le dejeuner. Il était déjà 18h. J'ai terminé vers 15h et me connaissant sur ma lenteur à faire le travail qui reste, c'est sur je vais prendre du retard. [...]

Me voilà devant la maison guidé par la géolocalisation qu'il m'a envoyé. J'avais oublié la maison. Dans un endroit aussi isolé on ne voyait que la plage, au loin des gens qui s'entraînent et jouent. Je lui envoie un texte disant que je suis arrivé.

« Je suis allé à la plage j'arrive vite fait »

Je reste planté devant la porte l'attendant. Une attente assez ennuyant, j'avais pas de connexion pour passer le temps. Enfin je le vois de loin, habillé d'un short et un tchirt. Toujours élancé et musclé. Il jouait au foot avec les gars sur la plage.

Il arrive à mon niveau.

Lui:  salut !  Désolé tu datais pour venir.

Moi:  je..! Salut. C'est maman qui m'a retardé. J'ai du préparer le repas.

Lui:  ah yep ! Viens il ouvre la porte puis entre.

Je le suit. Il m'installe au salon puis s'en va. Je regarde le salon bien rangé pas trop d'affaires. Un tv accroché au mur, et une table en verre au milieu. Yavais la peinture qui se décollait surement à cause la brise.

Je serre mon sac mal à l'aise. Il arrive des minutes plutard, lavé et sentant bon. L'odeur de menthe du savon c'était frais. Il s'assoit à côté de moi en soupirant et essuyant sa tête.

Je dis rien a cause de mon coeur qui battait pour une raison inonnu. On dirait je suis en face d'un étranger, j'étais tellement mal à l'aise Mon Dieu !!! 

Il rompt le silence gênant.

Lui:  tu bois quoi ?

Moi:  merci, c'est bon dis je me mordant la lèvre

Lui:  depuis quand c'est merci ici ? Dit ce que tu bois

Moi:  de l'eau s'il te plaît !

Lui:  je t'ai acheté du pressea.

Il se lève et va le prendre sûrement. J'ai souris bêtement pensant à son petit attention. Mais faudrait vraiment que j'arrête ce cinema et ces petites histoires que je fais. Je joue carrément avec (NOUS) en général. Aussitôt qu'il arrive, je me suis jeté dans ses bras. Je l'ai serré très fort vous dire vrai, je l'étouffais. J'avais peur de parler pour avoir trop tort devant lui. Je l'ai enlacé, sentant le battement de son coeur, ce truc qui bat et qui m'appartient. Je suis déjà collé à lui.

Passion à  Dakar: une amitié troublante Où les histoires vivent. Découvrez maintenant