Parti 27

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~Bonne Lecture mes cheries~
Et n'oubliez pas mes commentaires de retour.







Je regarde sa voiture, s'éloigner au plus loin de moi. J'ai déjà le cœur brisé. Pourquoi il me fait pas confiance ?
Pourtant, on a vecu assez longtemps pourqu'il sache que je m'intéresse à tout sauf à l'argent.

Ma mère me soulève par terre et me  retient par le bras. Je balaye le quartier du regards. Y avait les voisins qui se pointaient de partout, sur leur balcon et en bas de chez eux. Ce quartier qui d'habitude est très calme, assistait à ce spectacle.

Maman: Ndeye bouma tek Gathié (ne me met pas ma honte) ! Est ce que cela vaut la peine que tu m'affiche ici. On nous a jamais connu sur des lamentations.

Je m'efforce de marcher pour rentrer dans la maison. Djibril etait là pointer devant ma mère. Il avance vers ma mère pour essayer de m'aider. Mais quel farceur !

Maman: Sama bountou keur beugou touma lafi djiss (devant chez moi, je veux plus t'y voir)

Djibril: Maman ! je m'excuse d'être venu à cet heure. Je suis venu voir Tonton. J'avais vraiment beaucoup de travail à faire le matin. Avec Ndeye,J'ai voulu juste la defendre contre l'autre garçon. Et elle est devenu hysterique.

Maman: de quoi tu me parle. Rentre chez toi jeune homme. Je connais très bien ma fille. Je veux pas que tu la traite ainsi. Je veut pas d'histoire, nak mangui nothie dissi rouss sa mame diou bax bobou. (J'essaie de calmer les choses en regardant la relation avec ta grand mère mais apparement). Ma fille sera pas à toi. Deja sa dara nekhouma. (rien ne me plait chez toi)

Djibril: Ma Kadija ! J'ai de bonnes intentions envers elle et votre famille?Bilay dit il en touchant solonel son torse. J'aimerai la marier, prendre soin d'elle et même payer ses études à l'étranger.  Si j'insiste, c'est que je vois chez elle, les qualités assez surprenant d'une bonne épouse . En plus elle mérite d'être traiter comme une reine. .

Maman: elle n'a pas de sentiments pour toi tu n'entend pas..

Djibril: les sentiments viendront Maman. Je vous promet de prendre soin de NdeyA.

J'étais dégoutée par tant de supercherie. Il parlait comme un responsable devant ma mère . Il ne devait pas l'entendrir.

Djibril: Ma !

Moi: DEGAGE D'ICI

J'enlève ma sandale et lui balance. Elle atterit direct vers son epaule. J'enlève l'autre et lui balance. Il esquive puis me regarde bébête.

Djibril: Mais qu'est ce q'tu fait ?

Moi: qu'est ce que je fait ? Regarde moi ! Je me marierai jamais avec toi. .

Je sais qu'il aurait voulu me tuer. Je cherche une pierre. Il recule.

Djibril: Ndeye calme toi. Ne fait pas l'enfant aussi.

Moi: demal sa kathi (va au diable)

Maman: Ndeye resaisie toi

Je lui lance la pierre. Il jure en reculant. Ca avait bien atterit cette fois sur ma main. Ca a fait mal, vu le juron qui l'a lâché. Je ramasse un autre pierre. J'allais lui lancer tel qu'on fait avec les rats. C'était une espèce nuisible .

Maman: Ndeye Astou dans la maison. ça suffit ! 

Djibril: Maman vous la soutenez sachant que j'ai de bonnes intentions ?

Passion à  Dakar: une amitié troublante Où les histoires vivent. Découvrez maintenant