Partie 8

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PVD de lA mère de Ndeya.

J'étais entrain de cuisiner tranquillement mon "yassa au poisson dorade" Quand la porte de la maison s'ouvrait. On pouvait voir de la cuisine les personnes qui entrait et sortait. C'était ma fille et a côté d'elle deux homme un de petit taille avec un gros nez senegalement ronde et les yeux made in chinoi et un autre plus jeune, du genre de meme âge que Ndeya. Qu'avait elle encore fait cette gamine allait me rendre folle. Déjà elle était pas d'ami avec son père.
Je sortais de la cuisine pour les rencontrer torchon a la main pour bien la fouetter.

Le petit homme: Bonjour madame je suis un prof d'espagnol du Lycée de Ndeye Astou Thiam.

Je regardais ma fille et mon coeur ratait un coup je me touchais la poitrine.

Moi: Ndeye qu'est ce que tu as ma chérie ?!

PVD DE Ndeya.

Je me jette dans les bras de la maman en pleurant. Je la serrais fort je savais quelle était perdu . Je ne pouvais me contrôlait je priais juste pour qu'ils disent rien à ma mere

Maman: Tu as quoi pourquoi pleure tu

Le prof: elle est  souffrante

Maman: s'ils vous plait venez au salon

On se retrouvait au salon afin que le prof raconte les faits. Ibrah était la aussi il m'avait raccompagner.

Maman: merci beaucoup monsieur de m'avoir ramener ma fille 

Le prof: demain je voudrais la raccompagner avec vous a l'hôpital.

Maman: Mr vous êtes gentils je  je vous remercie du fond du coeur

Le prof: c'est rien madame Ndeye est une bonne élève et assidu je l'appercois toujours réviser avec ses ami comme ce jeune homme.

Maman: ah Ibrahima

Ibrah: Bonjour Tata

Maman : comment tu va ?!!

Ibrah: ça va Tata.

Maman: merci de l'avoir accompagné

Ibrah: c'est rien Ndeya elle est comme ma propre soeur.

Le prof: on vous la laisse demain je reviendrai inchallah

Ibrah: moi aussi je vous accompagnerai

Maman: Ibrah c'est pas grave on te pardonne ça mon fils de toute facon je vous tiendrai au courant. 

Ibrah: je serais là  Inchallah

Maman: "haleyi legui danio toubaber bam eup "(les enfants d'aujourd'hui sont trop occidentalise)

Le prof: haha mais c'est juste qu'il veut pas lâcher la main de son ami et toi Ndeya soit forte.

Je hochais la tête.

Maman: attendez je vous accompagne .

Ma mere sortais en premier puis le prof puis Ibrahima. Il avait déposé son portable discrètement sur le fauteuil, j'allais parler mais il avait posé son index sur sa bouche me demandant de ne pas parler. Il sortait à son tour en me disant aurevoir. La curiosité me piquait pas aujourd'hui. Je m'allongais donc sur le fauteuil commençant ma dépression. Je pensais à la mort. Moi si pied sous terre. Je savais que La mort était une dette a payer tôt ou tard mais c'était tôt pour moi lolou la fok. Je me massais le coeur quand je voyais la personne de Ibrah en face de moi prenant son portable.

Ibrah: je ne pouvais pas y aller sans te faire un bisou et te dire que tu n'avait rien et arrête de déprimer.

Il me faisait un long bisou marquant et dure jusqu'à m'enfoncer la joue. Je le poussais en riant.

Passion à  Dakar: une amitié troublante Où les histoires vivent. Découvrez maintenant