Passion à Dakar: une amitié troublante

Parti 29

《Bonne lecture mes amours》

Le vent souffle, les vagues s'entendent.

Mais je reste figée par peur. Il était calme pendant un long instant. Ma gorge devient sèche du coup. Il pleure pour de vrai.

Son large dos se soulève un peu avant de descendre. Il ramène sa main à l'intérieur de lui. Je regarde au alentours du restaurant. On etait presqu'isoler des autres.
Je ferme les yeux en soupirant
de douleur. Je peux tout lui faire sauf du mal. Mes larmes ne manquent pas de couler.

Je sais pas comment m'y prendre avec lui, douceur ou compassion. C'était une preuve d'amour ou de la culpabilisation de sa part. Je ramène ma main sur son dos doucement et le caresse de haut en bas. Je suis la cause de ces larmes qu'elle qu'en soit la raison. Il est si fort mentalement que je doute toujours que j'ai ce pouvoir de le déstabiliser.

Il se soulève de suite sans me regarder, se lève et part vers les barriere en face de la mer. Je regarde son visage avec ma bouche formé en O. Je suis carrément choqué et mal.

Il me tourne le dos. J'hesitais entre le rejoindre ou rester. J'avais peur de le regarder en face.

Ndeya rappelle toi c'est quoi le probleme. A t'il un sens ? Ce probleme est il plus fort que  le couple Ndeya Et Ibrah. Je devais faire l'effort  de dégonfler mon coeur. Ma rancune doit toucher tout le monde sauf lui.

Mes sentiments sont-ils toujours présent ? Sont il sincere depuis le debut ? Je pousse ma chaise en arrière et me lève. 

La premiere chose que j'ai faite, je glisse mes mains derrière son dos et entoure sa taille. Je ressens de gros ondes dans mon corps, quand j'ai senti ce contact. J'ai besoin de cet homme. J'ai vraiment besoin de lui.

Ma tête se pose sur son dos. Et je l'entend soupirer. Son coeur battait plus que la normal. Je le met vraiment dans ses états. Il me met dans tous mes états.

Moi: je suis désolé..

Je sens ses muscles se contracter. Ses abdos se durcissent. C'était sensationnel..

Moi: je veut pas te faire du mal. Je veut pas te voir comme ca..

Ma tête était toujours collé contre lui de dos. Sa main touche les miennes. Il me caressait doucement. Mes sentiments pour lui sont très pures. Je ne l'ai jamais utilisé pour de l'argent ou quoi ce soit. Si j'étais aujourd'hui marié à lui, je serais l'une des femmes  les plus chanceuse de la terre. Je prie l'être aussi.

Ibrahima: vient ici, dis il d'une grosse voix sourde.

Il me tire pour me mettre entre lui et la barrière. Je me laisse faire. J'étais coincée entre les deux. Il était grand, et moi petite dans ses bras. Ce contact aussi me rend folle. J'étais secouée de partout. Je perd ma respiration et mon coeur s'accélère.

Collé comme ca, contre lui, ne va pas me faire parler. Je croisais carrément son torse contre mon nez. Son parfum me taquine le nez.

Ibrahima: je veux pas te faire du mal aussi.dit il dune grosse voix..

Merde ! Il me faisait fuir son regard. Je voyais juste sa barbe. Et la fraicheur de la mer rendait agréable ca. Il peut être si mignon. De tous les petits copains que j'ai connu, il reste le best des bests. Ça me rappelle  même la boisson best.

Ibrah: je t'aime Ndeye. Je veux pas paraître si...! si faible.Tu m'a fait pleurer.dit il en riant d'étonnement..

Moi:....