Partie 5

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Koufiy 221 !!!

Je comprenais plus le sens du mot amitié.

Moi: tu sort avec elle répond moi

Ibrah: qu'est ce qui te fait dire ça

Il venait à moi pour me tenir la main mais je refusais.

moi: repond moi sans me toucher

Ibrah: Ndeya

Moi: alors c'est vrai tout ca alors que je passais les temps a te parler de mes soucis avec cette folle ses humiliations qui font toujours mal tu t'es foutu de moi carrément en me poignardant dans le dos.

Ibrah: c'est pas ce que tu crois

Moi: *sourire* Tu me prend vraiment pour une demeure toi.

Ibrah: arrete de dire ca tu es aussi important qu'elle...t'es important dans ma vie Ndeye Astou dit-il en me regardant droit dans les yeux.

Il m'avait appelé par mon nom complet et ca ma fait un picotement.

Moi: tu sais quoi ?! je ne crois pas tes sales mot de menteur... toi et moi y'a plus de relation amical, je te connais pas et tu me connais pas.

Je partais en larmes et le coeur meurtri, je ne savais pas vraiment pourquoi Ibrah avait osé sortir avec ma pire ennemi donc il était pas mon ami car comme le proverbe l'avait dit Ami de mon ennemi est mon ennemi.
Qui se lie avec tes ennemi s'est plus ton ami. Il me tirait le main m'empêchant de partir.

Ibrah : tu me laisse même pas la chance de t'expliquer et tu agis maladroitement. Écoute moi?!je t'en prie.

Moi: tu veux quoi?! je te souris?!

Ibrah: Ndeya jamais je te causerai du tort . Moi et Ouli c'est une histoire assez compliqué c'est...

Moi: arrête Ibrah arrête tes balivernes qui me saoulent .. es tu sourd je ne veux plus avoir un seul rapport avec les ami de mes ennemi... c'est imprudent.

Je retirais ma main violament en courant cette fois ci. J'avais l'acide qui me montait au cou. Je partais aveuglément chez moi. J'allais recuperer tout d'abord mon sac.

El: tu pleure, c'est lui ?!

Moi: ELhaj j'ai pas envi de parler pour le moment mon sac donne le moi

El: ok... tu veux que je t'accompagne

Moi: non merci

El: ok

Il me tournait le dos et j'étais carrément déçue par lui. Il cherchait même pourquoi je suis dans ses états.. Je marchais tristement vers ma maison en ne parlant a personne, en ne saluant personne et en ne regardant personne. La seule chose que je voulais c'est rentrer chez moi.

Donc arrivé chez moi, j'avais salué brièvement la famille, et je rentrais dans ma chambre me préparant. Je mettais vêtu de mon "djilbab"  j'avais prié et javais commencé a reviser pour me desaouler de ses pensées. Je voulais réussir à mes études.

Vers minuit j'avais fini les 2 cours d'histoire que j'avais raté et j'entamais les exo de physique chimie. J'étais carrément dedans quand la porte de ma chambre s'ouvrait doucement sur ma mère.

Maman: Wah Ndeye AsTou ! yangui diangue ba heur bi (tu revise jusqu'à Jusqu'à maintenant) .

Moi: t'as vu deh Man .. Il y'a beaucoup de cours que je dois reviser

Maman: néné touti nopalekoul (mon petit bebe repose toi)tu va te fatiguer le cerveau arrête jusqu'à demain matin tu continuera mais là tu as besoin de repos.

Passion à  Dakar: une amitié troublante Où les histoires vivent. Découvrez maintenant