XLVII

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Je lève la tête après un sommeil forcé assez douloureux.Je sais pas ce qu'il sais passer,mais J'ai tellement mal à la nuque qu'est-ce qu'il m'on fais c'est batard?

Je assise sur une chaise complètement nue.Il fais vraiment froid.Chaque parcelle de mon corps réservé à Lilas est exposé.Je suis ligotée avec de la corde.Le noeud est très serré et complexe.D'après ce que je peux sentir,on dirait un noeud d'élingue un peu modifié.Comment il on réussi à m'attacher avec un noeud pareil? Je sais même pas comment m'en débarrasser.La chaise quant à elle grince et branle un peu.Elle a l'aire vieille.Je regarde autour de moi,les murs sont faites d'un métal mouillé.Une chambre froide peut-être?Au plafond,une caméra et a côté de la porte se trouve un petit système à 6 chiffre.Je commence à devenir assez furax ,je dois l'avouer.Je me lève sur mes pieds et me laisse tomber sur la chaise.1 fois,2fois,au troisième coup,la chaise fini par céder sous le choc. J'atterris sur mon jolie popotin sur le sol rugueux.Je galère un peu pour me relever,je dois l'avouer.Une fois sur mes pieds,je dois faire en sorte que mes mains quitte mon dos.

Ambre>Un peu de douleur n'a jamais tuer personne...

Je commence à frapper mon épaule sur la paroi d'un des quatre mur,sans retenue et le plus fort possible.

Ambre>Merde je dois y aller encore plus fort!

Je donne un dernier coup avec tout ce que j'ai.Je pousse un léger grognement de douleur.Je me suis enfin déboîté l'épaule.Je glisse mes mains en dessous de mes fesses et me laisse tomber par terre et fais passée mes mains sous mes pieds afin qu'elle revienne à leur place.Quand je commence à m'approcher de la caméra,j'entends la porte de la pièce s'ouvrir.Je me retourne et vois un homme apparaître.Je le reconnais immédiatement.C'est Vladimir Bazarov.Il m'observe de haut en bas le sourire en coin.

Vladimir>J'ai fais des recherches sur toi jeunes demoiselles.D'après mes source tu est autant une Gambini qu'une Luciano,dit-il en s'approchant de moi et en m'agrippant la mâchoire.

Il se met à regarder ma poitrine et à passer ses doigts sur mes cicatrices.Je le frappe difficilement avec mes mains ligotées et mon épaule déboîtée ,mais rien que je ne peux endurer.

Vladimir>Je dois avouer que comparativement à tes prédécesseurs,tu est d'une déception absolu. Pourtant je dois admettre le potentiel.Les système des caméras on été totalement détruit,mais ce n'était pas difficile de savoir que c'était toi et ton amie.Vous l'avez seulement fais pour attirer l'attention.

Ambre>Et quoi si je l'es fais ?dis-je d'un ton provocateur.

Vladimir>Je n'apprécie pas qu'on s'attaque à ma ville.

Après cette courte phrase,Il tourne ma tête et approche la sienne avant de me mordre le cou comme un chien.Il commence à faire glisser sa main vers le bas de mon ventre.Je tente de lui donner un coup de genou ,mais il me bloque avant que je puisse lui faire mal.Il me jette sur le sol et viens se poser en califourchon sur moi.Il bloque mes mains et me plotte les seins.Je n'ai pas de points d'appuis pour me sortir de cette galère.

La porte s'ouvre de nouveau.Je n'arrive pas avoir c'est qui a cause de la grosse tête de Bazarov.

Anastasia>Ça va comme ça Vlad.

Vladimir>Je commençais juste à m'amuser.

Ambre>You bitch!

Anastasia>Si tu veux je peux le laisser continuer.

Elle s'avance vers nous et se met en petit bonhomme (Accroupi) à côté de moi.

Anastasia>Pour une étrangère ,ton russe est incroyablement bon.

La fille de mon ennemi Where stories live. Discover now