XII

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Il est 2h de l'après-midi.J'ai la gueule de bois .Ma tête me fais atrocement mal.J'entend quelqu'un coupant son gazon et ça me fais l'effet d'un marteaux piqueur sur le crâne.Je me lève et pars me chercher des Advil.Je me fais couler un bon bain chaud et retire les torchons qui me serve de vêtements.Une fois dans l'eau,je plongea la tête dans l'eau en regardant la lumière passer à travers celle-ci.Une fois ce dernier finit,Je m'habille et me fais un café.La porte se fait entendre et la voix de Vincent aussi.J'ouvre la porte et le bouscule pour me frayer un chemin.

-Ambre! Où tu va ?!

-J'ai décidé de finir le job !

-Quoi?! Tu veux tuer Don Gambini ?!

-Ta tout compris!

-C'est maintenant que tu te décide sérieux?! Et Lilas alors ?

Je m'arrête net et me retourne vers Vincent.Je m'approche de lui et le prend par le collet.

-Lilas me déteste déjà ,alors autant en finir .

-Tu pourrais au moins essayer d'arranger les choses...

-Une Gambini et une Luciano,meilleure amies? Arrête même toi tu y crois  pas ...

-Tu devrais au moins lui laisser le bénéfice du doute.

-Je lui laisserai rien du tout.L'histoire amoureuse est fini.A l'eau.Addio dannazione !Alors sois tu viens avec moi sois tu te casse.

-Tu va pas bien Ambre.Tu dois pas faire des trucs sur des coups de tête.

-Je m'en bats les couilles de ta séance de thérapie à rabais.

-Hhhhhh.Je te laisserai pas te faire embrocher en solo.

-Awwwnnn,que c'est mignon l'amitié...Hashtag a vomir.

-Oouuuh.Toi quand t'utilise «Hashtag » c'est que t'es en lendemain de vielle.

-Non!Tu crois?

-Ambre.Parle moi plus gentiment...

-Va te faire enculer assistant Ducon.

-Okay.Je te suis ,mais tu me parle pas si tu na rien d'agréable à dire.

-Okay,grand-père.

-Oh putain c'est tellement une mauvaise idée...C'est une mission suicide.

-Au moins mon ancêtre ne me détestera pas parce que je n'ai pas agit.

-Tu sais qu'il t'aime .

-Oh arrête ton cinéma.Tout comme moi,tu sais qu'après quelques larmes versé, il passe à autre chose.

-Okay,mais...-

-Va chercher ton Fusil automatique C7A2 de 5,56mm.

-A vos ordre Madame.

-Continue de m'appeler comme ça et je te donne 100$.J'aime assez ça me faire appeler Madame .

-A bon ? La plus part des femmes que j'ai rencontré n'aimais pas parce qu'elle dise que ça les rend vielle .

-Ça n'a rien n'a voir.Ça donne un sentiment de supériorité.Bon tu va le chercher ce putain de fusil ou non ?

-Bien sure Madame ,dit t'il en me donnant un clin d'œil.

Je me rend à ma voiture et sort les gilets par balle qui se trouve dans le coffre.J'en enfile un et attend ensuite Vincent .

-Je vais sûrement mourir aujourd'hui.Première et dernière mission jusqu'à date incomplète.Luciano....
Ambre Luciano......incapable amoureuse.En tout cas...

Vincent reviens et enfile son gilet par balle à son tour .

-Tu a apporté le fusil de ta mère ?

-Ouais avec quelques extras

-Bon!Allons buté des culs blancs!

-C'est pas un peu raciste ça ?

-Mais pas du tout.À ce que je sache,ils sont blancs et ils ont des culs.

-...Pas faux.

On se mets en route et on se gare devant la maison des Gambini une fois arrivé.

-Tu pense que tu arriverai à faire le Sniper d'ici ?

-Tu sais de qui tu parle là?! Évidemment que je peu le faire .

-J'espère que tu a apporté ton silencieux.

-Ambre,je suis pas con !

-Désolé tête de gland,dis-je en me mettant à rire .

Vincent vise et tire sur les gorilles,un par un ,et qu'il finisse par tomber au sol comme des mouches.

On se dépêche a sortir de la voiture pour nous diriger vers la maison.D'autre garde tente de nous arrêter,mais échoues.L'alarme du manoir est activé avertissant tout les personnes présentes.Les balles voles en grand nombre tout comme les coups .Vincent me laisse prendre les devants en restant s'occuper des poids lourds à l'extérieur.
Je force la serrure rapidement et fais mon entrée dans la maison familiale.En entrain dans le salon, Je reçois une balle à l'épaule par une femme,mais ça ne m'empêche pas de riposter.Je l'a tue d'une seule balle dans la tête et j'en fais de même avec les autres.Une fois le Rez-de-chaussée terminé,je monte à l'étage.Je suis près à tout attaque.J'entre dans la sale de bain,dans les chambres jusqu'à tant que je tombe sur une chambre au fond du couloir.Cette pièce est immense.Je fais le tour du lit et vois un visage paniqué.Lilas est assise en petit bonhomme contre son lit.Elle a en sa position un petit fusil qu'elle pointe dans ma direction.Ma jolie fleur est totalement terrifiée.Elle a les yeux plein d'eau,ce qui me brise le cœur.Elle tremble a un niveau élevé.En la regardant,Je pose lentement mon fusil au sol et le fait glisser dans l'autre bout de la pièce.Par la suite je lève une main en l'aire et je m'assoie par terre pour être à ton niveau.

-Je suis désarmé....Je ne veux pas te faire de mal....

-Lève tes deux main en l'aire ...

-Je suis désolé,mais je suis blessé à l'épaule donc c'est impossible...

-Garde tes mains ou je peux les voir.

-Bien sûr.Lilas...je suis désolé de t'avoir trahi comme ça.C'est vrai que j'étais engagé pour tué ton père,mais avec le temps ,j'ai changé d'idée.Je ne voulais plus le tuer .

-Pourquoi?

-Toi.Je suis tombé amoureuse de toi .De ton sourire qui illumine mes journées,ta douceur ,ton humour.Quand je suis avec toi,j'oublie tout mes problèmes.Je me sens à la maison,en sécurité et moi même quand tu es là.Hier,J'ai presque fait un coma éthylique tellement je culpabilise.

-Je te faisait confiance....Tu t'es moqué de moi ...

-Non au contraire.Je n'es jamais été aussi sincère qu'avec toi...

Elle baisse tranquillement son arme.Me regardant avec confusion.D'un coup,une douleur me parvient a la tête.Cette attaque me sonne gravement et je me cogne la tête au sol en tombant.J'aperçois Sofia avec une batte de baseball qui va voir sa sœur.Je prend toute mes force pour que ma main atteigne ma tête.Je saigne.Sofia ma frapper avec une batte de baseball rempli de tout petites lames et je saigne.J'étais tellement concentrée sur Lilas que j'ai pas fait attention autour de moi.Lilas se lève,me ligote les mains et me met un papier collant sur la bouche.Sofia me met ensuite un sacs sur la tête.Je suis transporté jusque dans un véhicule où je sens quelque chose me piquer comme une seringue.
Je me suis endormi quelques secondes plus tard.

La fille de mon ennemi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant