Kasamatsu x Reader (KnB) Fin

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Ce chapitre contient un lemon, je prévient au début et à la fin. Libre à vous de le lire si vous voulez, il ne change pas la continuité de l'histoire.

Bonne lecture ^^

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PDV : Yukio :

C'est rageant. On a perdu la winter-cup. (t/p) n'a eu le droit de jouer qu'un match et on s'est fait laminer par Shutoku. J'ai demandé à l'équipe de partir avant moi des vestiaires, j'ai besoin de rester seul.

PDV : (t/p) :

Yukio est tout seul dans les vestiaires, je meurs d'envie d'aller le voir. Il a remonté le moral de l'équipe mais moi je l'ai vu, c'est sûrement lui le plus déçu d'entre nous. Je me décide à rentrer dans les vestiaires et ce que je vois me déchire le coeur, il est assis par terre contre les casiers la tête dans les genoux. Il est abattu, on dirait qu'il a perdu l'envie de jouer au basket. C'est la première fois que je le vois pleurer.

Yukio : Je mérites plus de jouer au basket. Je suis un capitaine pitoyable.

Il se relève mais toujours la tête baissée. Je refuse de l'entendre plus longtemps se dénigrer et dénigrer tout le chemin qu'il a fait. Je m'avance et ...

*clac* [NDA : Jean-Michel bruitages nuls bonjour... Au cas où, c'est le bruit d'une claque]

Il relève la tête la joue rouge.

Yukio : (t/p) ?

Moi : Alors ça y est... Tu abandonnes ? Après t'être juste fais sorti du tournois tu abandonnes et tu renonces au basket ? Tu me déçois, le Yukio dont je suis tombée amoureuse ne baisserai jamais les bras aussi facilement.

Moi aussi je sens mes larmes couler.

Yukio : On pourra plus jouer au basket c'est fini.

Moi : Le basket au lycée oui. Mais il reste encore tellement d'endroit où jouer au basket. Il reste le street-basket, pour toi il reste le basket à l'université et en pro. Alors abandonnes pas. C'est pas fini.

Yukio : Mais je suis un mauvais capitaine.

Moi : Redis jamais ça. Si tu es le capitaine de cette équipe c'est parce que tout le monde t'en trouve digne. Si on est arrivés jusque là dans la winter-cup c'est aussi grâce à toi, tu as porté nos espoirs, nos doutes, nos chagrins, mais aussi nos joies. Si tu abandonnes le basket c'est que tu ne vaux pas mieux que la génération miracle. Tu sais je t'envie. Toi tu pourras continuer de jouer à l'université, mais moi non, il n'existe pas de club féminin dans les universités japonaises et je ne peux plus jouer avec les hommes. Alors n'abandonnes pas et continue ton rêve jusqu'au bout.

Il se jette dans mes bras et me serre contre lui.

Yukio : Je suis désolée (t/p).

Moi : Ça va...

Yukio : Merci d'être là pour moi.

Moi : Je serais toujours là pour te recadrer quand tu raconteras des conneries plus grosses que toi.

Il rigole, ça fait plaisir à entendre. Toujours dans mes bras, il me fais un bisou dans le cou puis hume mon odeur.

Yukio : (t/p) ?

Moi : Oui ?

Yukio : Je t'aime plus que ma vie ma belle.

Moi : Moi aussi je t'aime mon coeur.

Os x ReadersWhere stories live. Discover now