Protège-moi de mes désirs ! Tome 1 Terminé

chapitre 71

Nous voici, après avoir mangé une part de fraisier et une part de forêt noire pour les plus gourmands, autour de Christian dans le petit salon pour l'ouverture des cadeaux.

Sonia et Ines lui apportent un paquet qu'ils ouvrent sans détour. Il a l'air heureux mais gêné de se retrouver au centre de l'attention.

Freddy, quant à lui, joue les paparazzis. Jamais sans son appareil.

'C'est une montre connectée!' dirent elles en diapason.

Merci dit il en les embrassant tendrement sur les joues

Il regarde ensuite sur la table ronde derrière lui et demande

'il y a un ordre?'

'aucun' répond Sébastian

Chris : bon alors l'enveloppe...

Il ouvre... Il en sort deux billets d'avion

Il laisse échapper un gloussement de satisfaction

Chris : tiens tiens deux billets pour partir au Brésil. Pourquoi deux?

Sébastian : bah je serais bien venu avec toi mais j'en connais un qui a prit ma place ! Dit il content de sa connerie et surtout en me défiant d'un air rieur.

Fab : et il est à moi ! Dis je en me collant à lui et en réclamant un bisou qu'il me donne sans me faire attendre

Je me poste derrière lui en l'emprisonnant de mes bras autour de sa taille.

Chris : si tu me tiens, je ne vais pas pouvoir ouvrir le reste... Dit il en me tirant vers la gauche pour attraper un autre présent.

Il a donc eu un sweat, une veste, un parfum et une série complète des meilleurs western.

Fab : eurk ! Je savais pas que tu aimais ça... ?

Chris : bah si... Pourquoi toi non? Tu les regarderas pas avec moi?

Fab : hum ça dépend dis je pour le charrier.

Il se rapproche de moi parce que je m'étais détaché de lui, d'un air inquisiteur

Chris : et toi jeune homme ? Tu m'as dis avoir voulu te débrouiller tout seul....

Fab : oh que oui mais on monte et je te bande les yeux dans le couloir!

Chris : hein ?

Fab : si tu veux avoir ton dernier cadeau, tu n'as pas d'autre choix que d'accepter !

Je lui offre mon plus beau minois, mi ange mi démon... mais cela ne marche pas donc je lui fais des yeux de biche, et tel un beau chevalier qui veut satisfaire sa belle, monsieur dédaigne me suivre enfin... !

Je suis, quand même, obligé de lui faire du chantage affectif pour l'obliger à monter les escaliers plus vite parce qu'il fait exprès de se déplacer comme un escargot...

Fab : allez bouges toi !

Christian prend plaisir à me casser les pieds. Il rigole à pleines dents

En haut je le stop et l'oblige à se bander les yeux

Chris : ne me pousse pas pour te débarrasser de moi hein ?

Fab : imbéciles !

Je vérifie qu'il ne voit rien et je le pousse une main dans son dos. Le voyant pas très sur de lui alors que c'est  sa maison, je le guide par les épaules.

'Maxime ouvres la porte à ta droite s'il te plaît et allume les lumières' dis je

Nous rentrons tous à l'intérieur.

Fab : prêts ?

Chris : oui ! Dépêches toi !

Je lui retire le bandanas. Il ouvre les yeux et son regard s'illumine.

Enfin au premier abord il est interloqué. Il cligne des yeux et l'expression sur son visage me fait dire qu'il se demande s'il rêve pas.
Je suis content apparemment mon cadeau l'a surpris.

Il se tourne vers moi. Il en revient pas. Je crois qu'il s'attendait pas à ça.

Chris : c'est toi? Mais...

Fab : oui je suis fier de mon idée ! Comme ça on pourra joier autant qu'on voudra!

Chris : oui mais tu as monté une salle de jeux... Table de jeux, flipper, baby-foot et junk-box... Ça a dû te coûter une blinde...! Tu es dingue!

Il vient me prendre dans ses bras et il m'embrasse

Chris : où tu as trouvé tout cette argent...? Je croyais que tu étais fauché... C'est avec l'argent que je t'ai donné ?

Fab : hum... Oui dis je gêner. Ne voulant pas qu'il voit mon malaise je niche ma tête au creux de son épaule.

Chris : merci mon cœur ! Il fallait pas mais tu m'as bouffé !

Fab : si tu es heureux, je le suis aussi ! Dis je timidement

Chris : merci ! Je t'aime Fabrice et être avec toi aujourd'hui est le plus beau des cadeaux.

Fab : je t'aime aussi lui dis je sans réfléchir.

Chris : quoi ? J'ai bien entendu me lance t'it en se redressant et cherchant mon regard puisque je lui faisais fasse à présent

Fab : hein ? J'ai rien dis moi ! Tu as rêvé ! Dis je dans l'embarras et en essayant de fuir.

Chris : ouais on va dire ça dit il en riant content de m'avoir pris sur le faite.

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La soirée se finit sur une coupe de champagne et tout le monde va se coucher.

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Se soir là en m'endormant dans ses bras, je sais que je l'aime et que j'ai peut-être enfin trouvé une raison de vivre.