Délit de Fuite 3 (Italie)

📍Chine ⛩🎏

Je me suis réveillée et j'avais une couverture sur moi et Chí était assis sur le banc me regardant me réveiller.
Moi: « Merci. »
Il s'approchait et me prit dans ses bras et je me remise à pleurer.
Moi: « Je suis désolée.
Chí: Il ne pense pas tout ce qu'il a dit hier.
Moi: On ne dit pas de choses comme ça sans les penser Chí, et il a raison.
Chí: Non, tu fais partis de la famille et mon père te l'aurait dit si il était encore là.
Moi: Qu'elle heure est il ?
Chì: 6 heure. »
On descendait et allions se doucher et s'habiller:

Je descendais et frappais à la porte et Tiar m'ouvrit.
Moi: « Je viens chercher Chisoù.
Tiar: CHISOÙ C'EST POUR TOI ! Tu as parlé à Hiang ?
Moi: Je vous emmènerait le voir ce soir.
Tiar: Vous pas Hiang ?
Moi: Non pas Hiang. »
Chisoù passait sa petite tête hors de la porte et se jetait dans mes bras.
Chisoù: « Tu es venue me chercher ?
Moi: Oui petit coeur. On y va ?
Chisoù: Au revoir papa, bonne journée. »
Et nous partions main dans la main en cours. Plus tard dans la journée j'ai rejoins Chiang à la riziculture, j'ai mis mon chapeau et j'ai travaillé toute l'après midi dans le calme, sans de Hiang à l'horizon, Kan aidait aussi.
Moi: « Comment ça va ?
Kan: Je me sens pas à ma place mais je suis en vie donc c'est cool ! Et toi ?
Moi: Ça va, je suis en deuil.
Kan: Je sais, toutes mes condoléances.
Moi: Tiar veut te parler mais Hiang refuse de le laisser te voir.
Kan: Olivia j'ai tué son père, je suis heureux que Hiang refuse.
Moi: Tu vas le voir ce soir avec moi.
Kan: Non, je veux pas voir cet homme, et en plus il ne faut pas désobéir à Hiang.
Moi: Tu as tué son père et il a quelques questions à te poser, alors la moindre des choses c'est de lui répondre. Je te rappel que sans Chisoù tu ne serais plus des nôtres.
Kan: Alors ce soir, je mourrais.
Moi: Je t'ai fait une promesse et je compte bien la tenir. »
Le soir, je suis rentrée et suis allée me changer dans ma chambre:

J'allais partir lorsque la porte de ma chambre s'ouvrait, je cachais mon arme dans mon sweat et me retournait: c'était Izack. Je soufflais de soulagement, il vint vers moi:
Izack: « Il a dit non Olivia.
Moi: Chisoù est comme mon frère, je dois lui rendre de service.
Izack: tu as beaucoup de frère, une grande famille.
Moi: Dont je ne fais pas partis, tu as entendu ce qu'il a dit hier.
Izack: C'est pas parce que lui le dit que c'est vrai.
Moi: Il est le chef de la cité Izack, c'est la vérité. »
Je le contournais et allais m'en aller mais il me retint Le Bras.
Izack: « Tu dois rentrer dans une heure.
Moi: Pourquoi ?
Izack: pour mon traitement.
Moi: Promis. »
Je lui déposais un bisou sur le nez, et descendait discrètement les marches du temple pour aller chercher Tiar chez lui. Je le conduit à la cabane de Kan. J'ouvris la porte et me retrouvait en face à face avec Hiang.
Kan: « Je suis désolé Liv mais je ne le laisserai pas me tuer.
Moi: C'est moi qui vais te tuer crétin. Pousse toi Hiang.
Hiang: Se poussait et me laissait rentrer mais prit Tiar par Le Bras. Tue le Et je vous tue.
Tiar: Je veux juste lui poser des questions. »
Kan s'assit à table et Tiar en face de lui lui posait ses questions.
Tiar: « Qui vous a embauchez pour tuer mon père ?
Kan: Un homme qui répondait au nom de Fan-Xan.
Tiar: Je ne connais pas cet homme. Pourquoi voulait il tuer mon père.
Kan: Je ne suis que tueur à gage monsieur, on m'indique un nom et je tue cet individu.
Tiar: Pourquoi voulait il voir mon père mort.
Kan: Je ne sais pas.
Tiar: Si les vermines comme toi, save toujours beaucoup de chose.
Kan: Non. »
Tiar se levait de sa chaise en la faisant tomber et attrapait Kan par le col du t-shirt le faisant passer sur la table. Hiang s'interposait.
Hiang: « Tiar !
Tiar: Pourquoi a t-il tué mon père ? Pourquoi ? »
Il lui mit son point dans la figure et Kan, gémissait de douleur. Je ne disais pas un mot, Kan savait pourquoi le père de Tiar posait problème mais il ne répondait pas alors ce qui lui arrivait était justice.
Tiar sortit une arme de sa poche et la pointait sur la tête de Kan, Hiang se jetait sur moi, et nous tombions au sol.
Kan: « Je devais le tuer parce que il avait fait un enfant à sa femme. Vous ! »
Un cou de feu se fit entendre et plus rien, rien ni personne ne tombait à terre. Hiang se relevait de sur moi, et je fis de même en restant derrière lui. Tiar avait tiré dans un poteau à côté de Kan, et sortie de la cabane.
Kan: « J'ai failli mourir et tu n'as rien fait.
Moi: Tu m'héritais la mort.
Kan: Après tout ce qu'on a vécu ! Je m'héritais la mort !?
Moi: Tu savais pourquoi il voulait le voir mort et tu ne voulais pas lui dire. Je vais te dire une bonne chose quand ton père a été assassiné devant tes yeux tu as retrouvé tout les types qui l'avaient tué et tu les a tué un par un. Tiar te laisse la vie contrairement à toi, qui n'a laissé aucuns de ces hommes te dire pourquoi ils avaient tué ton père ! Et je suis sure que ça te hante toutes les nuits de ne pas savoir la raison de sa mort.
Kan: SALOPE. »
Il se jetait sur moi et Hiang se mit devant moi, et le repoussait fort contre le mur.
Hiang: « Tu ne la touche pas.
Kan: Elle t'a désobéit, elle t'a trahit, pourquoi tu l'as protège encore ?
Hiang: Parce qu'elle partie de moi. C'est ma sœur.
Kan: Elle t'a mentis, t'as manqué de respect et c'est encore ta sœur !?
Hiang: C'est la partie rebelle de mon cerveau que veux tu. Mais en attendant tu ne l'as touche pas ! »
Hiang m prit par la main et nous sortions de la cabane. Je lâchais sa main et me jetais dans ses bras.
Moi: « Je devais le faire.
Hiang: Je sais.
Moi: Pardonne moi.
Hiang: Pardonne moi pour toutes les horreurs que tu as entendus hier soir.
Moi: C'est oublié. Je t'aime mon frère.
Hiang: Je t'aime petit ange. »
Je grimpais sur son dos et rentrait au temple, j'entrais dans ma chambre et vis Izack debout entrain de regarder par la fenêtre.
Izack: « Qui est mort ?
Moi: Personne. »
Je m'approchais et collais ma poitrine à son dos en passant mes mains autour de sa taille, il mit ses mains sur les miennes et je déposais un baiser dans son dos.

Il se retournait et je passais mes bras autour de son cou et l'embrassait. Il prit mes fesses et me soulevait, j'enroulais mes jambes a sa taille et il me déposait sur le lit, on s'embrasait il était au dessus de moi, il était sur les coudes qui étaient de parte et d'autres de ma tête, mes mains caressaient son dos.
Moi: « Ton traitement ?
Izack: Après. »