Chapitre 39 : Pensé et elle

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Dans mon lit je regarde le plafond. Les ombres de la nuit commence à s'évanouir chassés par la lumière. Je tend la main vers ces ombres puis relaisse tomber mon bras au moment où le soleil rentre en contact avec. Je n'ai pas réussi à m'endormir. Allongé dans mes draps froid je frissonne. Je me sens si vide. L'après coup de celle journée surement. L'acquisition de ses pouvoirs perdus il y a quelques années me prendre toute mon énergie. Après tout, j'ai eu de la change de ne pas vraiment me retrouver dans un état critique après le bannissement. J'ai entendu dire que beaucoup son mort de carence car le choc du lien brisé à été si violent qu'ils n'ont pas pu le supporter. Je sens affluer se pouvoir qui me rend réputer dans mes veines comme si on m'injectais un produit, un poison. Se pouvoir qui jadis me donna ma réputation reviens auprès de moi. En arrivant au palais je me souviens de la peur des habitants de ce dernier quand ils le virent pour la première fois. Ma magie est différente, étrange. Comme si elle n'appartenais pas à ce continent. Je n'en ai jamais utilisé la force première, j'ai toujours énormément bridé ses pouvoirs de tel sortes qu'ils ressembles à ceux de l'ombre et en même temps je le laissais être brute par rapport à ma terre natale. Comment pourrais-je dévoiler ce qui dors au fond de moi ? Ce serai apporter de la terreur plus qu'autre chose. Je n'ai jamais su d'où cela venait. Seule les dieux et déesses pourraient le savoir. Je m'assoie dans mon lit et je regarde autour de moi. Bientôt je perdrai encore ce lieu. Je devrai être habitué mais on ne peut jamais vraiment. Rentrer toujours couvert de sang, épuisée, rire avec nos amis, pleurer avec notre amant, se battre et faire l'amour. Je voulais oublié tout ça. Je pensais avoir tout perdue et au final je me retrouve ici avec encore plus à perdre. Je sens au fond de moi tout mon être vibrer à l'idée de retourner sur les front et pourtant trembler de voir mourir un être cher. J'ai eu peur de le perdre et maintenant j'en ai un deuxième pour qui mourir d'inquiétude. Notre trios ne se battra même pas côte à côte mais loin. Nous serrons encore plus vulnérable. On aime veiller les uns sur les autres. Là, nous ne pourrons plus. Je soupire et laisse le soleil caresser mon visage. Je préfère la nuit mais je vie dans le soleil. Cela vos pour beaucoup de chose dans ma vie de vivre en paradoxe constant. Je ferais mieux de me prendre un bain et de me préparer. Othar ne va surement pas tarder. Je suis sure qu'il sera la dans moins d'une heure.

Je parti donc me faire un bain avec une bonne odeur de sapin. Je me suis prélasser des bonnes minutes. Surement pas assez pour être entièrement décontracté mais en tout cas assez pour avoir repris mon calme. Enrouler dans un peignoir de soie je traverse ma chambre jusqu'à ma grande armoire. En l'ouvrant je regarde ses robes qui me caractérisais. Ahah je les aime toujours autant je l'avoue. Hm... Il faudra que je me face apporter une robe pour l'exhumation demain. Enfin ne pensons pas à ça de suite. Bientôt je vais retrouvé mes tuniques donc profitons encore un peu des robes. Pour cette fois, moi qui ne voulais pas quitter la nuit aujourd'hui, je choisis de mettre une robe nuit, assez volatile, frôlant le sol avec délicatesse. Son buste me serrant la poitrine et le ventre, comme un corset je crois, est ornée de légère brillance, comme des étoiles discrètes. Les manches longues jusqu'à mes coudes et et échancrée jusqu'à mes poignet me laisse libre des mouvements de mes bras. Je vois encore quelques ornements argentés à plusieurs endroit de ma robe la laissant sobre mais magnifique. On dirait les instants d'une vie paisible si proche et si lointaine. Je ris légèrement. Après tout cela est amusant de constater qu'une femme pleine de sang sur les mains se retrouve dans la peau d'une femme qui aurait l'air totalement femme à marié. Je coiffe mes cheveux et j'entend ma porte s'ouvrir avec assez de fracas pour réveiller les alentour.

- Tu ne pourrais pas être plus bruyant par hasard ? 

Il me regarde légèrement surprit de me voir déjà prête et je pose ma brosse en lui souriant. Ses cheveux son encore en bataille et son accoutrements est de travers. J'en ris intérieurement tellement il semble ridicule ou plutôt on dirai un enfant en retard à l'entrainement. Je m'approche donc de lui et lui remet ses habilles droit. Ce qui le surprend d'avantage. Ce qui est étrange c'est qu'il n'a encore rien dit.

- Dit lui de t'épargner un peu la prochaine fois d'accord ? Si tu n'arrive même plus présentable au palais ça ne va pas. {Je finis par laisser échapper un léger rire et il sourit}

- Ne me fait pas la moral. Je te signal qu'une fois tu n'es pas arrivé très présentable devant des personnes importantes après une nuit avec une certaine personne.

- D'accord. Tu as gagné. {J'avais oublié cette fois là.}

- Au moins tu es déjà prête donc ça m'évite de devoir te pousser du matelas. {Il sourit arrogamment}

- Tu m'aurai fais ça, je t'aurai mis la plus belle rouste de toute ta vie mon ami !

- Ahah j'aurai aimé voir ça !

- Moi aussi à vrai dire.

- Enfin bon, allons déjeuner. Nous avons une dure journée qui nous attend. {Il se raidit}

- J'ai d'ailleurs quelque chose à demander qui ne serai pas idiot. D'ailleurs le future roi approuve notre plan. Il se joindra probablement à nous se matin même s'il ne devrait pas.

- Tu ne peux pas le laisser sur le bas côté. Il a été entraîné à être un guerrier et un roi. Il a besoin de vivre ses dures épreuves. 

- Je sais. Allons y. 

Il me tendis son bras et j'y passais le mien. C'est donc bras dessus bras dessous que nous nous dirigeons vers la salle à mangé. En marchant, je voulu quand même lui poser la question qui me brûlais les lèvres.

- Dit moi, est-ce qu'elle va bien ?

- Hm ? Oh.. Disons qu'elle s'est remise de la dernière guerre mais ça a pris beaucoup de temps. Quand je suis rentrée autant blessé de la guerre et tenant à peine debout à cause de se coup de... Traître, elle a fondu en larme et a hurler sur moi {il retint un petit rire avec un sourire} Tu l'aurai vu. Elle était hystérique. Elle a finis par se calmer et me dorloter mais elle ma fait jurer de ne plus y retourner. Qu'elle avait déjà trop subit mentalement à cause de ça. Mais le coup de grâce qui la fait un peu plus plonger dans le malheur de cette guerre est quand elle a demander comment tu allais et que je n'ai pas pu répondre. Elle s'était à nouveau effondrée et ne voulait pas croire à ta mort. Quand plusieurs mois plus tard j'ai enfin su que tu étais vivante j'étais tellement soulager que je suis allée directement lui dire mais il s'est avéré que tu ne reviendrai plus. Elle était simplement soulagée que tu étais vivante et se disait que si le destin le voulais vous vous révériez.

- Je suis désolée... Sincèrement. Disons que quand on s'est fait frapper par cette espèce de bombe de magie j'ai pensé à cause de tout les corps inerte à mes côté que tu était probablement mort et les autres aussi. J'ai éclaté et à la fin le lien c'est brisé. Ce moment à été comme si je perdais tout et j'ai trouvé lomion. Je n'ai plus voulu revenir à cause de lui.

- Je comprend et elle comprendra. Je lui ai dis que tu étais de retour avec un enfant et elle à bien faillit tombée dans les pommes ahah !

- J'imagine ! {Nous rions}

- Bon nous en parlerons plus tard. Tu as quelque chose à apprendre mais la place au manger ! 

Il poussa la porte de la salle et me pressa à marcher pour rejoindre la table nos bras toujours ensemble. Pour la première fois, j'apparais devant les autres en riant face à cet Othar qui ne changera jamais. 

Kaligorma : L'histoire D'une Elfe [Terminé mais en réécriture}Where stories live. Discover now