055 - SYDNEY

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Elle ne doit sûrement pas me connaître et sûrement pas se rappeler de moi. Après tout j'étais un petit bébé quand elle m'a abandonné devant la porte de Greenfield mais, c'était plus fort que moi. Il fallait que je la prenne dans mes bras. Je ne la connais pas mais, je l'ai tellement cherché et surtout elle a fait de moi ce que je suis et c'est en partie grâce à elle si j'ai des pouvoirs. Je suis extraordinaire grâce à elle et grâce à mon père j'ai hâte d'apprendre à mieux les connaître en revanche le fait qu'il n'est pas pris une ride c'est un peu déconcertant.

On ne penserait même pas que ce sont mes parents mais, plutôt mes grands frère et sœur. Une personne qui ne connaît pas notre situation serait loin se de douter qu'en fait se sont mes parents. D'ailleurs je me demande est-ce que mes parents croiraient que ce sont vraiment mes parents parce que j'ai envie de faire les présentations.

« Je suis désolé, finis-je par lui dire après avoir rompu le câlin.

- Ce n'est rien, me dit-elle en souriant doucement. Si tu ne t'étais pas jetée dans mes bras je me serais sûrement jeter dans tes bras, me dit-elle avant de me prendre dans ses bras.

- J'ai hâte qu'on puisse apprendre à mieux se connaître d'ailleurs maintenant que nous sommes réunis si on allait voir mes parents à New-York, leurs proposais-je.

- C'est une bonne idée, je dois leurs remercier pour avoir pris soin de toi tu as l'air en plein forme, me dit-elle. »

Et comment que je suis en pleine forme. Je suis tombé dans une bonne famille et j'ai hâte que mes parents adoptifs rencontrent mes parents biologiques sur ce après cette conversation je nous ai téléporter là-bas, directement dans le salon. Ce qui me fait penser que maintenant que je suis là je devrais aller voir si les parents de Brett non rien.

« Maman Papa je suis rentrée, criais-je dans la maison. »

Maman et Papa Greenfield sont sortie de la chambre de Mandy avec des battes de base-ball à la main. Je suppose que c'est pour se protéger de la bande de Black-Out d'ailleurs la porte est toujours barricader à double tour. Quand mes parents m'ont vu ils sont venus me prendre dans leurs bras. Mandy est sorti juste après eux mais, elle ne m'a pas fait de câlin et franchement ça ne me surprend pas plus que ça.

« Qui sont tes amies ? Me demande ma mère.

- Se sont mes parents maman, lui répondis-je en riant doucement.

- Mais, ils sont jeunes, me fit-elle remarquer.

- C'est une longue histoire, ajoute maman Fire Woman. »

Ouais vous l'aurez deviner avoir plusieurs paires de parents c'est compliquer je ne sais même pas comment appeler mes vrais parents et mes parents adoptive c'est le bordel dans ma tête. Après la réplique balancer par ma mère nous sommes allés nous installer dans le salon Mandy et moi sommes installer par terre autour de la table basse avant que Fire Woman commence à tour raconter.

Après la petite histoire ça a été à mes parents d'en raconter une celle de mon enfance, ils leurs ont montrer mes albums photos de quand j'étais petite et ils sont échanger quelque anecdote avec eux. Je ne sais pas à quelle heure exactement nous sommes rentrés tout ce que je sais c'est qu'il était tard et que quand je me suis levé se matin j'étais crever mais, un truc de malade.

Quand je me suis réveillé le lendemain matin, je devais aller m'entraîner donc je suis allée me préparer puis, je suis allé rejoindre les garçons dans la salle d'entraînement et pour une raison qui met inconnu j'ai senti une tension pesante entre eux. Je crois que je sais c'est à propos de quoi mais, vous savez quoi je n'ai pas envie de m'en mêler. Je vais juste m'entraîner.

« Alors par quoi on commence ? Leurs demandais-je.

- On devrait commencer par moi comme ça vous pourriez terminer de passer la journée ensemble, me dit Telio.

- Quoi qu'est-ce que tu essayes de dire là, demande Rielze en se tournant vers Telio.

- Je dis juste que vous devez sûrement avoir envie de vous débarrasser de moi et de ne vous entraîner rien que tous les deux, dit Telio en faisant face à Rielze. Après tout vous sortez ensemble, pas vrai, ajoute-t-il. »

Oh non c'est en train d'exploser. Telio pourquoi ? Je n'ai pas envie d'être au milieu et franchement ça ne me dérange pas de travailler avec lui avant ou après. Je pourrais quand même voir Rielze et je ne le laisserai pas tomber sous prétexte que j'ai un nouveau petit ami c'est mal me connaître. Telio est mon amie.

« Mec tu es ridicule je ne vois pas en quoi notre relation à avoir avec son entraînement, lui dit Rielze.

- Moi je le vois, dit Telio. Après qui dit que vous vous entrainer vraiment si ça se trouve vous passer votre temps à vous embrasser, ajoute-t-il.

- Ça suffit mec tu vas trop loin, lui dit Rielze avant de l'attraper par le col de son t-shirt. »

Là je crois qu'il faut que j'intervienne avant que ça se transforme en combat de coq. Je vois bien que Rielze a envie de le frapper et Telio lui affiche son visage « Va y même pas peur » d'ailleurs Telio c'est défait de son emprise et là ensuite bousculer. Du coup je me suis glissé entre eux et j'ai posé mes mains sur leurs torses.

« Les gars ça suffit vous êtes amies tous les deux, lui dis-je avant de les regarder chacun à leurs tours.

- On n'est pas amie avant que Declan nous le présente je ne l'avais jamais vu de ma vie, dit Rielze en se rapprochant de Telio. Il n'est rien de plus qu'un moyen de transport pour nous c'est tout, ajoute-t-il.

- Il a raison je ne suis qu'un moyen de transport, ajoute Telio. »

Sur ce Telio est partie vexer je suppose et moi j'ai fait face à Rielze parce que je trouve qu'il est allé trop loin. Après tout ce que Telio a fait pour eux il ose le traiter de cette façon.

« Tu as vraiment été dure avec lui, lui dis-je.

- Ben quoi c'est la vérité, lui me dit-il.

- Après tout ce que Telio a fait pour vous c'est comme ça que tu le traite ? Ajoutais-je. Il a enfreint des règles pour vous, il s'est fait priver de ses pouvoirs à cause de vous et il vous a suivis dans chacun de vos plans foireux sans broncher et c'est comme ça que tu le traite, poursuivis-je.

- Sydney...

- Je n'aurais jamais cru que tu étais aussi peu reconnaissant, le coupais je. Tu sais quoi on va en rester là tous les deux, ajoutais-je avant de sortir de la salle d'entraînement. »

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