ACADEMY SUPER

021 - ALESSIA

On a donc fouillé partout dans le laboratoire, ça a pris du temps parce que je ne vais vous mentir, il y a plusieurs étages et en plus c'était le bordel parce que je suppose tout le monde a dû partir précipitamment. Alors que j'étais en train de fouiller dans le laboratoire nommer « A » j'ai entendu Camille me dire qu'elle avait quelque chose dans la pièce à côté donc j'ai décidé d'aller voir ce qu'elle avait. Je suis sortie de la salle où je me trouvais pour aller la rejoindre.

« Qu'est-ce que tu as ? Lui demandais-je en entrant les mains dans mes poches avant.

- Je n'ai pas trouvé le prototype mais, j'ai trouvé ses plans, ça devrait être suffisant non ? Me demande-t-elle en me tendant le dossier.

- Ouais, je pense que ça devrait être utile, lui dis-je en regardant les note à l'intérieur du dossier. Allons-y, lui dis-je en souriant doucement. »

On va ramener ça à Clyde puis, on ira au rassemblement qu'à préparer Black-Out. Nous sommes remontés dans la voiture pour prendre la direction de la maison de Camille. Le paysage était vraiment déprimant mais, au moins personne ne traînait dehors. Il commençait à se faire tard. Quelle heure il est aucune idée. D'ailleurs comment les gens seront quand il sera 19 heures sachant que même les montres son mort. Je pense qu'il doit quand même sans douter. Quand je me suis garée j'ai détaché ma ceinture. Camille n'avait pas l'air de vouloir quitter la voiture.

« Qu'est-ce qui ne va pas ? Lui demandais-je.

- Tu ne vois donc pas ce qu'on a fait à New-York, me dit-elle. C'est devenu un champ de ruine. Je ne demande même pas à voir le reste du monde, on a détruit la planète, me dit-elle.

- Mais, on va trouver un moyen d'arranger ça, lui dis-je. Je suis sûr que le QG travaille déjà sur le moyen de remettre le courant et on va attraper Black-Out, ajoutais-je en posant ma main sur la sienne.

- Tu le crois vraiment, me demande-t-elle en posant son regard sur moi.

- Oui je le crois vraiment, lui répondis-je. »

Nous sommes des super héros, si on n'est pas capable de ruiner les plans d'un super vilain, à quoi servons nous ? Je vous le demande et puis, ce n'était pas comme si on était tout seule. On a une armée de héro venant du monde entier pour nous aider. Tout va rentrer dans l'ordre j'en suis persuader.

Camille semblait d'un coup plus rassurer, ce qui me faisait plaisir. Ce n'est pas en baissant les bras qu'on arrivera à faire quelque chose. Nous étions donc en train de nous regarder en souriant. Je n'ai pas trop compris ce qui s'est passé mais, quelque minute plus tard nos lèvres se sont retrouvées l'une contre l'autre.

Ça ne m'a pas déplu mais, c'était plutôt étrange parce que je ne l'ai jamais vu de cette façon. Quand elle a réalisé ce qui venait de passer nous avons commencé à parler en même temps. Nous avons commencé à nous excuser. Nous sommes ensuite sorties de la voiture. Je ne sais pas ce qui s'est passé mais, je n'ai pas tellement envie d'y penser là tout de suite. Quand nous sommes entrées dans l'appartement elle a foncé dans sa chambre moi je me suis approche de Clyde.

« Où est le tasser, lui demandais-je.

- Il est là, me dit-il en se levant pour ensuite le sortir de sa poche arrière. »

J'ai jeté le dossier sur la table basse puis, je lui ai pris le tasser des mains. Le retournant de ma main libre, j'ai posé le tasser contre sa nuque avant d'appuyer sur la détente. Il s'est mis à convulser avant de tomber sur le sol. Declan qui était allonger sur le grand canapé c'est brusquement redresser.

« Non mais, ça ne va pas ? Tu viens de tasser un gosse, me dit-il.

- Il va s'en sortir, lui répondis-je.

- Oh non... Toute la connaissance...revient trop vite hum... Dit Clyde au sol sa main contre son front. Je peux... avoir de la glace ? Demande-t-il.

- Il n'y a pas tu vas devoir faire sans, lui informais-je. »

Quoi il fallait bien qu'à un moment il le fasse non. La seule autre façon de lui enlever cette puce serai que Mays s'en charge parce que franchement je ne suis pas chirurgienne et je pourrais le tuer. Lui il sait où toucher donc je n'allais quand même pas sortir les instruments chirurgicaux. En plus si la puce n'était pas désactivée ça peut entraîner la mort, parce qu'elle restera accrochée là où elle a été implantée.

« Je t'ai apporté quelque chose Clyde, lui informais-je avant de m'asseoir sur le canapé pour reprendre le dossier. C'est le mode d'emploi du prototype que Black-Out a utilisé pour tout court-circuiter, je veux que tu y jette un œil, lui dis-je avant de lui tendre le dossier.

- Okey je vais faire ça, me dit-il en se levant du sol en se tenant le cou. Sinon ce soir on va au rassemblement ? Nous demande-t-il avant de prendre le dossier.

- Faut bien qu'on voit ce que notre amie Black-Out veut, lui dis-je. »

J'ai surtout envie de savoir comment il va s'adresse à tout le monde sachant que la technologie est morte. Il n'a pas moyen de passer d'une dimension à une autre. Quoi que certain de ses collègues doivent sûrement le pouvoir. C'est fou ce que tout ça me fait chier. J'en ai marre de Black-Out, j'en ai marre de l'apocalypse et j'en ai marre de cette situation gênante qui s'est installée entre Camille et moi. Il a fallu qu'elle m'embrasse avec ses lèvres douces et bref... Non je ne dois pas y penser okey. Il ne sait rien passé.

Le soir venu,
Nous sommes tous aller au rassemblement quand 19h sur le téléphone de Declan a été annoncer. Je n'ai pas de téléphone étant donné que le mien était à New-York tandis que les autres bens il était à l'académie. Ils sont eux de la chance et moi qui n'était à l'origine pas dans le coup j'en ai payé le prix. Du coup comme c'était l'idée de Declan et que je n'ai plus droit à mes pouvoirs je lui ai confisquer son téléphone.

Le trajet c'est fait dans le silence et à pied on a suivi les gens qui sont sortie de chez eux pour se rendre la mairie. Sans rire tout le monde a prévu d'y aller ? Mais pourquoi ? J'espère au moins que c'est pour aller lui démonter sa gueule. Vous savez ce que je lui aurais fait si j'avais mes pouvoirs. Je lui aurais effacer la mémoire. Genre j'aurais remplacé tous ses souvenirs par des souvenir différent qui le transformerait en gentil. Je n'ai jamais fait ça avant mais, on devrait me laisser faire ça. Ça rendra le monde plus sûr.