Être nymphomane, les secrets d'Émilie Anderson

Secret N°2 : Exhibitionnisme

Coucou tout le monde ! Je vous retrouve pour le secret numéro 2 !

Je tenait aussi à précisé qu'Émilie avait des origine Asiatique du côté de son père( ce qui explique le dojo, L'éducation stricte et autre a venir). Néanmoins ça ne se ressent pas physiquement car le gène est très dilué (son père étant lui même métisse)

Et comme Ino, Émilie aussi un "don" que je vous laisse découvrir :")

Voilà c'était tout ! Bonne lecture !
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Partie 1/2

Émilie était assise sur son grand lit rond au draps couleurs roses et crèmes. Elle regardait rêveusement les oiseaux dans la volière faire leur toilette. Une douce brise secouait les feuilles des arbres et venait caresser ses longs cheveux soyeux, l'immense baie vitrée étant grand ouverte.

Citron, une petite perruche jaune et verte se mit à gazouiller lorsque Azur, une autre pruche bleue ciel, s'approcha d'elle. Les deux oiseaux joignirent leur bec, comme s'ils s'embrassaient. Émilie sourit doucement face à ce tableau parfait et extrêmement mignon.

Puis, Azur grimpa sur le dos de Citron et déploya une aile en faisant des mouvements de vas-et-vient.

Émilie laissa son visage tomber au creux de sa main. Même les oiseaux ne pensaient qu'au sexe.

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L'adolescente resserra son sac contre elle dans le froid matinal. Elle n'aimait pas avoir froid, et elle ressentait la fraîcheur automnale à travers ses collants blancs. Il était peut être encore un peu tôt pour être habillée aussi chaudement, mais Émilie préférait être couverte. Elle se sentait mal pour une raison en particulier et cette raison était...

Qu'elle se masturbait.

Personne ne devait savoir ça.

Depuis qu'elle avait découvert que se toucher faisait du bien, elle le faisait tous les soirs. Elle attendait d'être sûre que tout le monde la croit endormie et gardait la couette sur elle au cas où quelqu'un la surprendrait. Ensuite elle se touchait jusqu'à retrouver la sensation de plaisir ultime qu'elle avait éprouvée la fois précédente. Parfois ça allait très vite, parfois elle devait attendre pendant prés d'une demi heure avant d'atteindre l'extase.

Et après elle se sentait sale, mais elle ne pouvait s'empêcher de recommencer. Elle préférait donc s'habiller et couvrir sa peau, comme si quelqu'un allait deviner ce qu'elle faisait pendant la nuit...

Depuis tout à l'heure, elle avait l'impression que le jardinier la regardait, mais peut-être que c'était juste dans sa tête... Émilie s'éloigna du portail doré de sa demeure et se cacha derrière l'épais mur en brique. Ses grands yeux bleuâtres lui conféraient une très bonne vision et si elle se concentrait, elle arrivait même parfois à voir à travers les objets. Elle contracta donc ses pupilles pour observer à travers le mur l'employé qui, effectivement, avaient les yeux fixés sur l'endroit où se trouvait Émilie quelques secondes auparavant.

Sa mère avait peut-être raison les hommes ne pensaient qu'au sexe...

La limousine arriva enfin et Émilie y monta avant de s'asseoir en silence face à Aloïs, comme toujours. Elle regarda le paysage défiler par la fenêtre en gardant ses cuisses fermement serrées l'une contre l'autre.