Être nymphomane, les secrets d'Émilie Anderson

Secret N°7: L'inceste (partie 2)

Emilie n'y connaissait rien au volley, mais elle appréciait particulièrement de voir son cousin en débardeur. Il était le seul dont elle suivait les mouvements, ne se souciant pas des autres joueurs. Lorsque les élèves prirent une pause, elle vit James s'approcher d'elle et dut sortir de sa transe amoureuse pour le saluer.

« Alors mademoiselle, » lui dit Ash en souriant, « tu me donnes plus de nouvelles depuis la semaine dernière. Comment tu vas ? »

« Je vais bien, » dit-elle poliment, « j'ai été un peu occupée ces derniers temps... »

« Joli collier, » dit presque immédiatement le jeune homme blond, si bien qu'Émilie se sentit un peu mal à l'aise. Elle se demanda si il était jaloux, bien qu'il avait l'air détendu et amicale, et que la jalousie n'était pas quelque chose qui lui ressemblait.

« M-Merci, » répondit-elle, « c'est William qui me l'a offert... »

« Wow vraiment ? » fit le blond avec enthousiasme. « C'est gentil de sa part, je ne l'aurais pas imaginé comme ça ! »

Ne sachant que dire, la jeune fille hocha simplement la tête. James repéra alors le dit William qui s'approchait d'eux. Il sourit à Émilie et lui dit : « On se voit plus tard, si tu veux. Envoie un sms de temps en temps, ça me manque de ne plus passer de temps avec toi. »

Et sur ceux, il s'en alla avant que William n'arrive. Cela n'empêcha pas son cousin de fusiller Ash du regard.

« Il voulait quoi ? » demanda-t-il un peu froidement.

« Il m'a juste dit bonjour, » répondit Émilie, l'esprit soudainement absorbé par l'odeur de William.

Celui-ci lui demanda d'aller chercher pour lui une serviette dans les vestiaires. Ce fut un peu à contre cœur qu'Émilie s'éloigna de lui cependant. Ça lui rappelait un peu cette façon qu'il avait de donner des ordres parfois. Comme lorsqu'il avait fait tombé sa fourchette et lui avait demandé de la ramasser.

Elle repensa aux mots qu'il lui avait dit dans la limousine et le bas de son ventre s'emplit d'étranges vagues de plaisir. Lorsqu'elle ouvrit la porte du casier de William, elle trouva sans difficulté sa serviette et la serra contre elle.

Emilie pouvait sentir sur le tissus l'odeur de William. Il avait déjà utilisé cette serviette pour s'essuyer le torse après les échauffements. Elle sentait l'odeur masculine qui y était attachée, un mélange félin de sueur et de déodorant.

Elle était seule... Et elle était excitée.

L'idée qui lui vint à l'esprit était difficile à oublier. L'occasion était trop tentante. Le risque de se faire prendre n'avait rien d'effrayant, c'est même délicieux.

Emilie plia la serviette et la coinça entre ses cuisses avant de s'asseoir. Le tissus formait une bosse rigide, coincé entre elle et le banc en bois. Elle n'avait qu'à remuer le bassin pour que la serviette appuie sur ses grandes lèvres, à travers sa culotte. Elle se laissa envahir par ses envies plaqua sa main derrière la serviette, massant son sexe avec le tissus éponge.

La tête basculée en arrière, elle savourait la sensation en se mordillant les lèvres. Après un moment, Émilie finit par mettre sa culotte de côté, écartant bien les cuisses pour caresser sa vulve humide avec ce William de substitution.

Après un moment à titiller le clitoris à travers le tissus, Émile finit par jouir dans un gémissement étouffé. Une chance pour elle qu'elle ait le temps de finir avant que quelqu'un n'arrive. Tout en reprenant son souffle, elle réalisa qu'une bonne partie de la serviette était cependant toute gluante due à son petit jeu.

Honteuse, la jeune fille prit conscience de ce qu'elle avait fais un peu tard. Et si quelqu'un l'avait vue ?

Il fallait qu'elle se débarrasse de la serviette. Elle la fourra dans son sac et prit la direction de la sortie, cependant qu'elle ne fut pas sa surprise lorsque, sur le pas de la grande porte, elle tomba sur nulle autre que...