chapitre 32

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Note de l'auteur : Désolé du retard j'ai un problème en ce moment avec mes chapitres je les trouve un peu nul, mais je continus quand même à les écrire et réécrire. Mais voilà pour moi il y a un vide que je n'arrive pas à combler et comme je ne veux pas abandonner l'histoire en vous empêchant de connaitre la suite je me force à trouver un bon point dans l'histoire. J'espère que ce chapitre vous plaira...

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⚠️ Scène oser je suis responsable de ce que j'écris ⚠️🔞

L'horloge qui se trouve sur le mûr blanc de notre chambre affiche qu'il est trois heures du matin et je ne sais pas pourquoi je n'arrive pas à fermer l'œil. J'ai passé mon temps a regardé ma déesse endormie.

 Après notre petit accrochage j'ai compris qu'Alex tenait beaucoup à moi et qu'elle voulait commencer toute à zéro en brûlant les effets qui me rappelaient mon passé, j'ai libéré une partie de mon esprit. Mais les autres partis sont encore dans la douleur.

J'aimerais bien reprendre mes thérapies après cinq ans d'arrêt, je crois que c'est le moment pour moi d'accepter ma guérison. Je dois le faire pas seulement pour moi, mais aussi pour cette famille que je me prépare à fonder. 

Quand je pense que j'ai rencontré cette merveilleuse femme à cause d'une vengeance. Même si je sais que mon père est innocent, je me demande qui a pu bien orchestré la mort de ces parents. Un jour, peut-être, le destin nous dévoilera le vrai coupable comme pour la mort de ma mère.

Ma vie a toujours été un grand puits de solitude, on pouvait dire que j'étais schizoïde. Mon psychologue me l'avais diagnostiqué, mais je dois avouer que je suis guérie peut-être bien, car j'ai pu avoir le courage de nouer de vrais liens. Alex est une femme merveilleuse qui sait ce qu'elle veut et je l'aime ainsi. J'ai peut-être peur de m'occuper de plus cinq enfants, mais je ne fuirais pas pour le nombre et qui sais peut-être qu'un jour, on s'élargira encore plus. 

J'étire mon bras jusqu'à ma petite commode et ouvre le tiroir en faisant attention pour ne pas réveiller Alex. Je prends l'étui rose bonbon de ma petite sœur et en sort une photo. 

Je l'ai toujours gardé précieusement avec moi. Mon père l'avait offert à ma sœur pour ces cinq ans, il disait avec sa voix rauque : 《 si jamais on te manque ou que tu as peur de dormir seule, ne réveille personne. Prends seulement ça et retire la photo. Nous y sommes tous cela te réconfortera et ça prouvera à tout le monde que tu es une grande fille maintenant. 》 quand je n'arrivais pas à dormir, je me glissais en douce dans la chambre de ma sœur et lui piquait son étui. 

Je caresse l'image le regard vide et un sentiment de mélancolie prend le dessus.

Je suis triste, car ils ne pourront pas connaître mes enfants, j'aurais aimé voir ma sœur jouer les tatas poule pendant que ma mère essaye de tirer les verres du nez de ma femme et mon père lui, il me ferait un discours de comment supporter les femmes et vers la fin lui et ma mère feront un duelle de qui supporte qui dans la vie de couple. Y a beaucoup d'expérience que j'ai envie de faire avec ma famille, mais vu que je n'ai plus de parents mes expériences tombent à l'eau.

Mes parents ont été les meilleurs exemples pour moi et ma sœur. Vivre dans l'ombre des Wilson a toujours été un bonheur pour moi et cela, je ne peux le cacher. 

Je sens une main ce posé sur mon avant-bras. Mon rythme cardiaque s'accélère, la chaleur envahit mon corps. Je contracte mes muscles ne sachant pas quoi faire avec la photo que je tiens. Ça, c'est l'effet Alex. Elle pose son regard ambre sur moi tout en me caressant le bras.

Soft Revenge Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant