Du cauchemar au paradis. ( En pause )

Chapitre 12.

Précédemment dans le chapitre 11 :

Pour les 1 an de vécu chez la famille Richards, toute la famille a décider de fêter l'événement en emmenant Abi dans un restaurant 4 étoiles. Abi elle, était trop préoccupé par le fait d'aller dehors qu'elle en avait peur. Mais finalement tout c'est bien passé, et Abi est à présent prête a renouveler l'expérience !

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Le lendemain je me réveille vers les 8 heures, mon prof doit venir à 10 heures et je veux que tout soit prêt, aujourd'hui nous voyons les rédactions de français et j'ai besoin d'un bon petit déjeuner pour avoir les neurones bien clairs.
Après une douche rapide et des fringues choisit à l'arrache, je vais dans la cuisine où je sors des tartines déjà faite par ma mère avant qu'elle aille au rée de chaussée travailler, puis je sors le beurre, la confiture et fait chauffer du lait au micro-onde pour un bon chocolat chaud.
Le prof arrive 1 heure plus tard, puis la journée s'écoule rapidement, mes journées de cours sont de plus en plus structurées et je fais beaucoup plus de devoir qu'avant. Mais je ne relâche rien, en attendant mon ultime but : aller à l'école comme tous les autres enfants normaux.
Le lendemain, je profite du beau temps pour aller lire un livre dehors, ma mère, bien qu'inquiète, m'a montré un petit parc sympa juste à deux pas de l'hôtel, un endroit parfaitement au calme pour lire. Je m'habille d'un jean bleu clair et d'un T-shirt blanc simple comme tout. Un sac à la main, que Vicky m'a offert je ne sais plus quand exactement, où je range mon téléphone, un paquet de mouchoir, sa peut toujours être utile, puis mon livre et mon calepin de note.
Je descends tranquillement les marches pour descendre au rée de chaussée.

-Ah ma chérie , sa y est tu vas dehors alors ? Me demande ma mère qui est derrière le comptoir.

-Oui ! Dis-je simplement.

-Si tu as le moindre souci, téléphone moi, j'ai mon portable juste là ! Me dit-elle en désignant son téléphone qui est effectivement à côté d'elle.

-Pas de soucis, je ne sais pas quand je rentre, déjà avant qu'il fasse nuit !

-Il fait nuit de plus en plus tard mais bon... Amuse-toi bien ! Me répond-t-elle un peu inquiète.

J'ouvre la porte puis j'inspire pour prendre un grand bol d'air. Le ciel est bleu, le soleil tape bien et il y a une légère brise qui n'est pas de refus. Confiante, je marche en direction du parc que je trouve facilement, ma mère avait raison, il est vraiment à deux pas d'ici. Je trouve un banc vide où je décide de m'asseoir, puis avant de lire, j'observe ce qui m'entoure. Il y a quelque personne qui promène leurs chiens, d'autres qui jouent à la balle avec eux, et certains font leurs sports quotidiens. Sa me fait penser que je devrais en faire, en 1 an j'ai rattrapé le poids idéal pour mon âge, mais j'ai tendance à me goinfrer de bonbons que j'ai toujours en réserve dans ma chambre.
J'ouvre mon bouquin, en vérité il ne m'intéresse pas plus que ça, c'est un livre d'histoire que mon prof m'a prêter, il est dédié pour les 5ème et il a réussi a s'en procurer un pour la continuation de mes études, mais cette matière ne m'intéresse pas des masses, je dirais même que c'est plutôt ennuyeux.
En baillant je lis les gros lignes en imprimant les images et document en tête, je me demande à quoi servent les livres si il n'y a rien à raconter. En jetant un bref coup d'œil à mon téléphone je vois qu'il est 15h20, j'ai encore du temps, sans plus attendre je fourre le livre d'histoire au fond de mon sac, en imaginant peut être qu'il disparaitrait comme par magie, puis j'en sors un autre. Une histoire plus intéressante pour moi, un bouquin que j'ai reçu de Steve, ce livre parle d'une fille qui travail dur pour gagner sa vie, et ainsi aider sa famille. Elle est pleine de gentillesse et de courage, des fois je m'imagine à la place des héros, et je me demande comment moi j'aurais fais.
Les heures s'écoulent à perte de vue, en deux heure je finis pratiquement mon livre, alors que j'entame le dernier chapitre, des mains se collent à mes yeux, mon premier réflexe est de crier, jusqu'à ce que j'entends la personne parler.