Légèreté d'une coccinelle

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🚫🔞 ATTENTION ! Cette os contient des scènes et des allusions sexuels, je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisez ! (J'ADORE cette phrase XD) Bonne lecture !

Au passage je sais pas comment dédier donc je le dis, je dédie cette os à une grande écrivaine que j'admire et qui m'a demander de faire cette os qui est la suite de "Fuyons".

Ce n'était qu'une simple parti de jeu, la jeune femme gagnait irrémédiablement et le jeune homme désespérait. Alors il l'embrassa la nuque, descendant vers sa clavicule et remontant vers sa mâchoire laissant une traînée de baisés. Elle s'était figée, se tendit à son maximum et se perdit dans ces pensées, perdant occasionnellement contre son petit ami. Il souria fier de lui. Elle se promit que ce n'était que parti remise. Elle poussa le blond avec la chaise à roulette le mettant au milieu de sa chambre. Oh... la partie ne fait que commencer et un certain mannequin risque bien de perdre la première manche...

La franco-chinoise souria innocemment mais son regard montrait l'inverse. Elle posa une de ces mains sur l'épaule du jeune homme. Elle glissa élégamment sur le sol pour se mettre derriere lui. Sa deuxieme main s'aventura sur son tee-shirt. L'héritier Agreste fixa un point devant lui, les joues rouges, dans son dos sa copine le torturait. Elle l'embrassa à son tour dans son cou, son souffle chaud fit frissonner son compagnon. Ces mains se baladèrent sur son torse, ces cheveux, ces bras de manière si lente et tentatrice qu'Adrien retenu son souffle et serrant les dents pour ne pas se retourné. L'incompréhension le clouait sur place et le rendant presque immobile.

Les fines et douces mains de sa coéquipière disparurent vivement. Il voulu se retourner mais un tissu se plaça sur ces yeux l'obligeant à se concentrer sur son ouïe. Des petits pas se déplaçaient en face de lui, agacé, il retira le tissu qui s'avérait être le chemisier de Marinette. Ces joues se teintèrent de rouge quand il comprit qu'elle n'était qu'en soutien gorge mais son cerveau se déconnecta aussitôt lorsque deux pressions sur ces cuisses lui firent lever la tête. Jusque là il n'avait qu'observer le vêtement de sa Lady avec un air gêné, mais là il fixa très surpris plus son décolleté sans discrétion. Sa chère compagne s'était penché vers lui au point qu'il ne pouvait que voir le simple tissu fait de dentelles qui recouvrait le haut de sa petite amie. La bleutée embrassait son cuir chevelu, ces mains caressaient ces cuisses.

Il ne bougeait pas, perturbé de ce qu'il se passait. Son souffle était irrégulier. Quelques soupirs de bien être traversant la barrière de ces lèvres. Il n'y avait que sa respiration saccadé et quelques ronronnements qui se faisait entendre. Puis plus rien. Tous s'était arrêté brutalement, trop précipitamment puisque qu'il fronça des sourcils presque mécontent. La jeune fille retira son pantalon sensuellement sous le coup d'oeil désireux de son chaton. Elle se déhancha sur quelques pas vers lui, d'une démarche quasiment féline. Elle se posa delicatement sur ces genoux et ne fit rien de plus que lui sourire. Excité, ces mains se promenèrent sur le dos de son amante, lui embrassant au passage ces épaules dénudés, laissant sa marque plus d'une fois.

Elle le stoppa, se levant rapidement, faisant râler son amoureux. La bleutée l'embrassa au coin de la bouche, sur le nez, mordillant son lobe d'oreille pour revenir sur ces joues et son front évitant soigneusement ces lèvres. Ce petit manège l'irrita, il voulu se lever vers la femme de ces rêves mais cette dernière le poussa sur la chaise. Étonné, il la regarda puis se figea voyant ces poignets accrochés et noués au siège avec les dits vêtements de la jeune styliste. Il avait été amadoué ! Elle ria sadiquement, sans plus attendre elle lui retira sa chemise blanche puis son tee-shirt. Se retrouvant torse nu devant l'expression affamé de sa première amie.

Marinette le voulait, le désirait. Elle le voulait impatient, souffrant de son cirque. Elle voulait qu'il soit à sa merci et elle en était fière. 

Elle se baladait, valsant autour de lui, la patience le rongeait, plus d'une fois il tenta de se lever mais ces efforts étaient vains. Elle le tentait, bougeant en rythme sous ces yeux éberlués, le caressant et arretant soudainement. Et aussi vite qu'il ne pu le voir, elle lui enlève son pantalon qu'elle jeta derrière elle comme si l'habit en question était insignifiant. Elle s'avança de nouveau, le dévorant du regard puis recula et passa derrière lui mettant ces mains sur ces muscles. Il était béat face à ce beau spectacle que lui offrait sa princesse.

Il comprit au moment où la jeune femme se positionna sur lui, se dandinant et l'embrassant, qu'elle ne faisait pas que le torturer ou se venger, non ça lui faisait au contraire plaisir même si il cachait sa souffrance de ne pas agir. Un streaptease. Sa pensée le fit sourire. Sa Lady, la femme de sa vie était entrain de lui faire un streaptease et lui ne comprenait que maintenant.

Il arrêta de reflechir lorsqu'il sentit un frisson le parcourir. Il souhaitait se redresser, se jeter sur la reine de son coeur, rien ne pouvait durer et en prenant la virilité de son acolyte en le tenant à pleines mains, la jeune femme avait réveiller l'animal. N'y tenant plus, il arracha ces liens et sauta sur la bleutée qui pouffa de surprise.

Chacun son tour, et cette partie était le round d'Adrien.  




Avec 896 mots pour vous servir ! J'espère que ça vous à plus !

Bisous mes petits chats !

By Kura

Recueil d'os miraculousWhere stories live. Discover now