36/L'université.

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Installés sur le sable, Emma ayant étendu une couverture sur celui ci, elle sortit de son sac les sandwich et en donna un à Henry et l'autre à Regina, avant d'en prendre un à son tour. Regina se colla contre la blonde, et se mit à manger.

-Henry on voudrait te parler. Entama Regina. Enfin surtout ta mère.

-De quoi? Y a un problème? J'ai fais quelque chose de mal? Une de vous est malade? Oh mon dieu c'est ça, avec la chance qu'on a une de vous est malade et va mour-

-Stop. Arrêta Emma amusée. Tu vas nous porter la poisse à cet rythme là. Déclara-t-elle. Non, on veut te parler de l'université, on en a reparlé toute les deux. Mon appartement à Boston m'appartient toujours et est en plein centre ville, après une petite vérification il est à quinze minutes à pieds de l'université. Il est génial et superbe, tu pourrais t'installer là-bas.

-Sérieux?! Oh mais se serait génial! S'exclama Henry.

-C'est sérieux. Acquiesça Regina avec un doux sourire, toujours contre Emma. Mais j'y met une condition. Ajouta-t-elle en attirant l'attention de tout le monde. Tu rentres à la maison au moins une fois par mois. Au moins au début, j'ai besoin que tu ne disparaisses pas pendant trois mois, j'ai besoin de te voir de temps à autre. Murmura-t-elle peinée par l'idée de son départ.

-Bien sûr maman, de tout façon vous aller me manquer, j'aurais besoin de rentrer de temps à autre. Acquiesça Henry.

-Tu dis ça maintenant, mais quand tu auras gouté à la vie d'étudiant indépendant, qui gère sa vie comme il veut, t'auras moins envie de rentrer. Plaisanta Emma, faisant rire son fils mais moins sa femme.

-Em'! S'agaça-t-elle. Tu rentreras voir tes mères, promets le. Imposa la brune.

-Je le promets maman. Mais toi arrêtes de t'inquiéter, je vous aimes et je reviendrais. Et puis pense que en mon absence vous pourrez faire ce que vous voulez sans être dérangées. S'amusa-t-il avec une légère grimace dégoutée.

Emma ria sincèrement autant à ses bêtises, que à la mine gênée de son fils. Ils finirent leurs repas, et Emma regarda sa femme dans les yeux. Elle lui fit signe de parler, par les yeux elle tentait de lui faire comprendre qu'elle devait l'annoncer à Henry. La brune sourit grandement et l'attira dans un rapide baiser.

-On a autre chose à te dire Henry. Commença Regina.

-Pas un truc horrible? Dites moi que tout va bien. Quémanda Henry dans un soupir.

-Tout va bien. Rassura Regina en prenant la main de son fils dans sa main libre. Ta mère m'a demandé de l'épousé et j'ai dis oui. Annonça-t-elle.

-Enfin! Cria Henry avant de baisser le regard pour regarder la main de sa mère. Elle regarda la bague, et la reconnu de suite en tant qu'Auteur. Celle des grands-parents, trop bien! S'exclama-t-il.

-Oui, Mary me l'a donné ce matin. Sourit Emma en serrant sa femme dans ses bras. Mais on ne se mariera pas sans toi. Faudra que tu reviennes de Boston pour être là. Signala-t-elle.

-Je reviendrais évidemment. Vous voulez vous marier quand? Demanda Henry.

-On en a pas parlé, mais probablement en septembre quand il fait ni chaud ni froid, non? Ça t'irait mon soleil? Proposa Emma.

-Se serait parfait. Acquiesça la brune en capturant à nouveau ses lèvres des siennes.

-Les bisounours on redescend sur terre, je suis là. Grogna Henry.

-Arrête de nous appeler les bisounours. Réclama Regina, agacée.

-Mais vous êtes des bisounours maman. Vous ne vous lâcher plus, toujours collées l'une à l'autre, vous vous dorloter tout le temps, vous vous embrassez pour un oui et pour un non, vous utilisez des surnoms niais à chaque fois que vous vous appelez. Et j'en passe. Cita Henry.

Sauve moi.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant