Esprit démoniaque

Chapitre 17: Fracture du cœur.

Il lis a haute voix une phrase de la page choisis, tendant sa main vers moi. Je sens une douleurs qui se fait de plus en plus forte, ma respiration se saccade, j'essaie d'inspiré mais sa ne fait que accentuer la douleur. J'ai l'impression que mes poumons non plus d'air, je ne peu plus respiré et je panique de plus en plus, j'ai l'impression de me noyer et je vois plusieurs flash noir passé devant mes yeux. Mon corps se soulève essayant en vain de trouver de l'air. Mes poumons me donne l'impression d'être des raisins sec. J'essaie d'hurler mais aucun son ne sort, seul mon visage affiche une grimace de douleurs. Death s'approche du lit, il s'assoie et attrape mes jambes que je tors dans tout les sens J'ai tellement mal. Death arrêt le sort, et je prend une grand inspiration que je regrette aussi-tôt car l'inspiration me laisse une horrible douleurs, comme-ci on m'enfoncé lentement, une aiguilles dans la poitrine. 

Death - La douleurs et un remède efficace pour toi qui est si pure, si angélique, tu apprendras a devenir démoniaque. 

Death rit a gorge déployé, je suis effrayer portant ma main sur mon cœur de peur qui recommence. Death s'avance de plus en plus, il m'attrape les poignet et me plaque au lit, il se retrouve au dessus de moi et il se stop dans son mouvement, me caresse la joue d'une douceur étrange. 

Death - Tu vas apprendre a aimer souffrir, Saya. 

Il approche ses lèvres de mon oreille, et chuchote de nouveau une phrase en latin. Je sens mon cœur se stopper un moment et se mettre a taper dans ma poitrine comme-ci il aller explosé. J'ai l'impression que mon cœur se fait arracher de ma poitrine, la douleur est insurmontable. Je n'arrive même plus a pleurer. Je sers les dents priant encore et encore que sa s'arrête pendant que le mage du mal prend malin plaisir à me faire souffrir. Ma respiration se coupe de nouveau et Death se lève de dessus moi, je porte mes mains a mon cou essayant d'avoir qu'une simple bouffer d'air. Je panique et sens mon corps m'abandonner. Je bouge dans tout les sens tombant du lit, toujours essayant de trouver ma respiration. mon corps tombe comme une pierre sur le sol je me sens faible, et je ne peu me défendre. Death s'agenouille devant moi, il sourit alors que ma vision se fait de plus en plus flou. 

Death - Cesse de te battre, ton corps m'appartient déjà. 

Je n'arrive plus a bouger, et ma vision se trouble totalement. Death, caresse ma joue, l'horrible douleurs s'envole comme part magie. Ma vision redeviens doucement normale et Death se lève me fessant dos. Je reste au sol incapable de me levé. Je le suis donc du regard

Death - Tu dois me laissé pernétrer ton âme...

Il se stop et enfonce son regard sombre dans le mien. 

Death - Je veux que tu sois ma marrionette. 

Je lui offre un regard noir, pensant a haute voir qu'il doit aller se faire fourré par un âne mort. Il me sourit avec ironie, et lève son bras me fessant me soulever du sol et me plaque violemment au mur, le bruit de mon corps contre le mur résonne dans la chambre. Je suis légèrement sonné se qui amuse Death.

Death - Se qu'il est bien dans notre monde, c'est quand nous sommes les enfants de celui-ci nous n'avons aucune douleurs, aucun sentiments, aucune empathie. Mais toi Saya, toi tu ressent tout sa. Et si nous te brisons quelque os pour entendre ta douce voix d'agonie. 

Il fit pivoter sa main et je sens  un de mes os de jambe se briser en deux, ainsi que le bruit de mon muscle qui craque, mon cerveau mets quelque minute a comprendre, avant que j'hurle a la mort

Death - HURLE ! 

L'os de mon bras se brise et j'hurle de nouveau, j'entends le bruit de mon os se brisé de plus en plus afin de se casser totalement. La douleur me fait tellement souffrir que mes paupière se retourne. Je sens mon être m'abandonné. La douleur me tape le crâne, je hurle de tout mes force tandis que Death accompagne mes hurlements d'un rire sadique. Il reporte sa main vers lui, se qui me fait volé et me fait collé a son corps, il me rattrape en passant son bras autours de moi, il me sourit, me fixe avant de posé ses lèvres sur les miennes. Il s'arrête et plonge son regard dans le mien. 

Death - Je veux que tu m'appartienne, Saya. 

Avant même que je puisse ouvrir la bouche Stryker entre dans la pièce. Death me lâche aussi-tôt me laissant m'écraser au sol. Stryker le dévisage avant de s'approcher de nous. Je n'arrive toujours pas a bouger et j'ai toujours autant mal. Death lui sourit, sauf que Stryker lui lance un regard noir. Je continue de poussé des cris d'agonie suite a mes fracture qui me font un mal de chiens, et l'écrasement de mon corps sur le sol. Death me sourit avant de s'agenouillé au niveau de mon visage, il attrape mon menton, j'aperçois Stryker qui c'est reculé et qui reste dans l'encadrement de la porte, son regard et haineux et je n'arrive pas a savoir si il est pour moi ou son petit frère. Il soupire, avant que Death se remet a chuchoté et je sens mes os se souder violemment. Je hurle de tout mes force, ma tête tourne et j'ai tellement mal. Death se lève et s'éloigne doucement, laissant passé son frère qui s'agenouille pour venir a me porter.

Death - Je te la laisse, ses os ne son pas totalement soudé alors fait toi plaisirs à continuer de la torturé un peu.

Stryker braque son regard sur moi, ce qui m'étonne c'est son regard rempli d'empathie. Il me caresse doucement la joue avant de sortir sans rien dire à son frère qui en reste bouche-bée. Il me porte a bout de bras, je reste silencieuse et lui aussi. Il regard devant lui, la mâchoire crispé. Je le regard et un vague souvenir de moi qui l'embrasse fait surface, même si ce souvenirs avais déjà fait son apparition c'est étrange car il fait naître en moi un sentiments étrange. Je le fixe et plaque ma main sur sa joue avec le peu de force qu'il me reste. Stryker s'arrête  immédiatement, et porte son regard sur moi, il enfonce son regard bleu azur dans le mien. 

Stryker - Saya ?  

Je le fixe, ne le lâchant pas du regard. 

Stryker - Tout vas bien ? 

Je soupire repensent a tout se qu'il ma fait enduré, toute les douleurs que lui est sa famille on osé me faire, le mal et le mal être qu'ils font naître en moi depuis que je suis enfermé ici. Je me souviens. de tout. 

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