# Partie 170 #
Je raccroche et la porte sonne je vais ouvrir c'était Ali après quelque minute Haby aussi débarque avec Sira et on discute tranquille au salon avec mon père et la, la porte s'ouvre je vois la big tête de Driss et juste après je vois la tête d'Anis comment ça me fessait bizarre c'est la première fois qu'il vient chez moi Mdr sa ce voyais qu'il était stresser.
Il rentre et dit.
Anis : Salam Wa aleykoum.
Nous : Wa aleykoum Salam.
Et la il sert la mains a mon père mdrr.
Anis : Cava ?
Papa : Cava Hamdoullilah et toi ?
Anis : Cava merci
Papa : Assis toi.
Anis : Ouais.
Il s'assoit et la il m'envoie un message et me dit.
Anis : La pression sa mère.
Moi : Tu m'étonne.
Et la je me lève et je le sert a boire Mdr crari il prend tranquille et bois et je sert aussi mes frères et je m'assoit et mon père lui dit direct.
Papa : Comment tu t'appel ?
Anis : Anis.
Papa : Anissi.
Ali : Anis.
Nous : Mdrr.
Papa : Nous on viens du pays on arrive pas.
Anis : C'est pas grave vous pouvez dire Malik.
Papa : Maliki.
Ali : Laisse tomber il sont obliger de rajouter un truc.
Haby : Jte jure.
Anis : Lol c'est rien.
Papa : Ok tu viens de qu'elle pays ?
Anis : Saoudi.
Papa : La Mecque ?
Anis : Non j'habite pas a makka j'habite a Ryadh c'est de l'autre coter.
Papa : Ah oui je connais la bas donc tu parle bien l'arabe ?
Anis : Ouais.
Papa : C'est bien c'est la première fois je vois un saoudien en France.
Bizarrement mon père il était super sympa mais bon sa veut rien dire.
Anis : Ouii y'en a pas beaucoup ici.
Papa : Oui c'est vrais sa.
Anis : Ouais.
Papa : Tu travaille ?
Anis : Ouais.
Papa : Tu fait quoi ?
Anis : J'ai un petit restaurant et une auto école.
Papa : Ah c'est bien ça, dans la vie faut bosser sinon on obtient rien.
Anis : Ouais c'est vrais sa.
Papa : Faut pas être timide un on sait qu'on est que des noir et t'es le seul arabe mais on vas pas te manger.
Anis : Mdr non y'a rien lol.
Papa : Et tes parents la famille ?
Anis : Euh ouais.
Papa : Ouii il vont bien ?
Quand il a dit ce sa ce voyais que Anis voulais grave pas répondre sa me fessait mal.
