Chapitre 18. "-Il ta vraiment demander ça ? "

Depuis le début
                                    

Elle me fixa un instant sans rien dire et fit demi - tour. Je la regarde s'éloigner me questionnant du soudaine intérêt qu'elle me portait. Après plusieurs heures à ranger à nettoyer et à surveiller la fin de la journée arriva plus vite que ce que je pensais. J'avais terriblement chaud, mes cheveux malgré le fait qu'il soit attaché collé à ma nuque alors je les avais attaché en chignon sur le haut de mon crane. J'avais été ensuite invite à manger avec le bataillon de garnison dans leurs QG ça m'avait fait plaisir surtout que l'ambiance était très différente de celle du bataillon d'exploration. Mais ces derniers me manquaient un peut, j'avais l'impression qu'Erwin avait décider de m'abandonner. La soirée passa et personne ne vint me chercher, je suppose qu'ils avaient un peut de retard ou alors ils étaient si fatigués qu'ils avaient décider de venir me récupérer demain. Les heures deffilèrent et bientôt je me retrouvais seule dans le réfectoire attendant patiemment le retour de mes supérieur. Le soleil venait de se coucher plongeant la pièce de l'obscurité la pendule était le seul bruit dans la pièce. Je restais la assise sur ma chaise me préparant mentalement à attendre ici encore longtemps.  Ça aurait pu me déranger mais finalement j'avais été habituée à rester assise toute une nuit guettant le moindre bruit.

Malgré le fait que je voulais rester éveiller le manque de sommeil eut raison de moi  et bientôt je me suis mise à somnoler. Mes paupières se fermaient toutes seule et j'avais beau lutter elles retombaient sans cesses. Alors je croisa mes bras sur la table, et fixa la lune la tête entre mes bras. Et bientôt je m'endormie sans aucune crainte. C'est quand j'eu l'impression de voler que je me réveilla à moitié, mes yeux s'ouvrirent difficilement et rencontrèrent le visage du caporal pourquoi es ce que j'étais dans ses bras ? Il m'avait déjà porter comme ça une fois après m'être blessée dans les bas fond, mais aujourd'hui il n'était pas en 3D manoeuvre il marchait juste. Mes yeux aperçurent d'autres personnes autour signe qu'ils étaient quand même venu me chercher finalement. Un sourire timide naissa sur mes lèvres car étrangement ça me faisait plaisir qu'ils ne mets pas oublier. Mes yeux se reportent sur son cou et je fixe sa peau avec intérêt alors que je recommence à somnoler.

- Comment c'est passer l'expédition ? Je mumure à moitié endormie.

Je ne sais pas si il me répond mais je n'entends rien. Nous montons ensuite dans une calèche il me déposé sur une des banquettes et je sens mon corps dépourvue de force se laisser tomber sur une des vitres de la calèche. Quand celle - ci démarre je suis réveillée à cause des secousses mais comme mon sommeil et bien trop lourd je me rendors presque automatiquement je me sens tomber de l'autre côté atterrissant sûrement sur le caporal chef mais je n'ai pas la force de me dégager alors je crois bien que je m'endors ainsi, la tête sur son épaule.

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27 mai 850.
20.21 am

Salle à manger du bataillon d'investigation.

Will me parlait mais je n'écoutais pas. Étrangement, ou pas, Ackerman nous avait demander de venir manger à leur table. Et comme personne d'autres ne parlaient à part Will c'était vraiment gênant.  De plus qu'il ne s'adressait cas moi, il me racontait des choses sur Owen est lui... je crois. Mais je n'arrivais pas à m'imaginer tous ça. Il m'a déjà expliqué sa rencontre avec lui et j'avais eu du mal à me faire à l'idée que c'était réellement arriver. J'avais finis par le convaincre de ne pas dire aux autres d'où je venais. Qu'es ce que je pouvais faire d'autres a part lui faire confiance pour garder le silence..

- D'ailleurs il m'a demander si tu avais des nouvelles des autres ?

Je stopais tout mouvement laissant ma fourchette en suspension avant de la reposer sur le table. Mes yeux se sont relèvé vers Will et j'ai plisser les yeux en l'observant. Il souriait. Étrangement les personnes à côtes de nous faisaient mines de ne pas écouter et pourtant je savais que la plus part d'entre eux ne louper rien de cette petite conversation. C'était énervant.

LivaïxOc : Presque tout.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant