Chapitre 5

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"Il n'est pas de vice si simple qui n'affiche des dehors de vertu."

- William Shakespeare dans " Le marchand de Venise ".

Ma troisième journée de cours va commencer dans à peine dix minutes, j'attend les filles, Harry et Louis à la grille. Je dois leur parler à propos de Noa, je sais qu'hier ils n'on rien dit là dessus mais je veux mettre les choses au claires. Ils arrivent enfin tout les quatre, Elise et Harry se tiennent par la main alors que Louis tient Maëva par la taille, ils s'approchent de moi. Le stresse monte en moi, j'ai peur de leur réaction, certaine personne n'accepte pas les adolescentes qui tombe enceinte à seize ans.

- Je dois vous dire quelque chose. Commençais-je par annoncer avec la boule au ventre.

- Ne t'inquiète pas Ynana, tout ce qui c'est passée en Californie reste là bas.

Je souris à Harry, ma boule au ventre est partie, je les adore tellement que je ne pourrais plus vivre sans eux maintenant même si cela fais seulement trois jours que je les connais.

- Mais je vous doit tout de même des explications. Leurs dis-je en jouant avec mes doigts.

- Ynaia, tu sais que peux importe ton passé on sera toujours là pour toi. Même si on ne se connaît que depuis seulement quelques jours mais on d'apprécie déjà énormément.
- C'est gentil Élise, vous aussi vous compter vraiment beaucoup pour moi.

Ils me sourient et je fais de même. Je dois leurs dire, je sais que sinon je me sentirai mal de leur cacher quelques choses, ça m'enlèvera un point de sur mes épaules. Je sais que je ne pourrais pas leur dire pour Niall et moi fin dû moins pas tout de suite. Je peux qu'il sache mon passer pour que je puisse tout recommencer à nouveau.

Je m'apprêtais à tout leur avouer mais la sonnerie m'en laissa pas le temps, je me dépêcha d'allai jusqu'à la salle d'histoire. Le cours commença mais j'étais dans mes pensées, si je continue comme ça, mes notes vont chuter, en Californie j'avais seize de moyenne un peu près mais c'était très simple, du moment qu'on avait de bonne moyenne au matière sportif le reste ne pouvais que l'être, en Amérique le sport est très important chaque élève doit avoir au moins deux activités sportif, moi j'avais le tennis, la natation et le basket, ça me faisais environ deux compètes par semaines.

Les deux cours suivant étaient comment dire très ennuyeux, surtout que je n'ai pas encore vus Niall, je suis impatiente d'être à son cours et en même temps non. J'ai l'impression que c'est mal ce que je fait avec lui, c'est même malsain. Je parcourent les couloirs avec mes nouveaux amis et lorsque nous arrivons près de la salle deux cent deux, je n'en crois pas mes yeux. Ma mère parle à monsieur Horan - Il faut vraiment que je m'habitue à l'appeler par son nom de famille. - Je m'approche d'eux en fronçant les sourcils. Monsieur Horan fronce lui aussi les sourcils en me voyant arriver vers lui.

- Maman, qu'es ce que tu fais ici ?
- Vus que Noa est à la crèche et toi au lycée, je me suis dit que j'allais recommencer à travailler, un nouveau pays, une nouvelle vie.
- Ouais et pourquoi ici ? Dans mon lycée. Demandais-je en jouant avec mes bracelet nerveusement.

Si, ma mère travaille ici, ça veut dire que Niall et moi c'est fini et je ne veux pas. Ok, il est comme mon sexfriend mais je l'aime bien. La nuit où on c'est rencontrés je l'ai apprécié, j'avais pensée à lui une longue partis de la nuit. Ma mère me regarde en souriant tandis que Niall fais les yeux ronds, sûrement surpris.

- Il cherchait un proviseur vu que madame Thomas est à la retraite.
- Eum ok, euh donc tu vas être tous les jours la ?
- Oui. Je vais pouvoir passer du temps avec toi et veiller à ce que tu ne fasse pas de conneries.

Je lui souris faussement et elle tourne les talons. Niall me regarde toujours en fronçant les sourcils, et oui mon gars la meuf que tu viens de voir est ma mère. Monsieur Horan nous fait entrer dans sa salle, les filles me questionne du regard. Mais elles font arrêter de me fixer un jour ? Je les regarde pour leur faire comprendre que leurs regards me gêne.

- Ta mère est là proviseur ? Me demanda Élise en faisant tomber son stylos.
- Oui.
- Elle te ressemble truc de ouf. Hurla Maëva en passant ses mains sur ses joues.

Je laisse tomber ma tête sur mon cahier désespérée, elle pouvez huiler encore plus fort. Hilary et Britany lèvent la mains en même temps, monsieur Horan les regarde en se demandant sûrement pourquoi elles lèvent la mains alors qu'il nous a simplement demandés de lire un livre pour après faire une sorte de débats dessus.

- Monsieur Horan, pouvons nous savoir votre marque de parfum ? Demanda Hilary sérieusement.

Monsieur Horan, non Niall ou la je en sais pas comment l'appeler, les regarde surpris. C'est vrai qu'il sent bon, mais de la à lui demander moi même je ne le ferrais pas. Il ne leur répond pas mais elles continuent de le fixer. Je me lève de ma chaise pour aller juste devant son bureau avec une feuille. Il me regarde en fronçant les sourcils, eh bien il aime froncer les sourcils aujourd'hui lui. Je pose la feuille sur son bureau et je lui pique une stylos bleu qui était dans sa trousse pour écrire " Comment on fais pour ma mère ? " il me regarde en se pinçant les lèvres sûrement pour ne pas lâcher un long soupire. " Je ne sais pas, mais on ne peux pas en parler après le cours ? " écrit il sur la feuille en noir, " Non, je doit aller chercher quelqu'un après les cours. " il tape son stylos sur le cahier qu'il corrigé avant de me répondre " C'est toi qui décide. ". Je réfléchie à une solution pour pouvoir lui parler sans oreille indiscrets mais je ne sais pas si celle que j'ai trouvée est vraiment une bonne idée mais bon à la base avoir une relation avec son prof n'est pas une bonne idée donc à quoi bon ? " viens chez moi vers cinq heure trente. " il me regarde dans les yeux avant de jeter un œil à la classe pour voir si tout le monde est toujours concentré sur sa lecture " Tu es sûr ? " je sourie je savais qu'il n'allais pas accepter directement. " Oui, ma mère rentre à sept heure pratiquement tout les jours, et pis pourquoi ne pas essayer de le connaître un peu mieux ? " il sourit sûrement convaincus avant d'écrire: " D'accord ". Je souris toute contente, je laisse la feuille sur son bureau pour ne pas risquer que Maëva ou Élise ne la lisent.

- Merci, monsieur Horan.

Je retourne à ma place toute contente. Maëva et Élise me regarde sûrement pour savoir ce que j'ai bien pu montrer au prof. Je leur souris pour leurs montrer que je ne dirai rien et surtout que ce n'est pas important.

Si, c'est important pour moi mais elles ne doivent rien savoir. C'est beaucoup trop dangereux pour Niall, si quelqu'un venait à l'apprendre il perdrait son travaille ou même pire et je ne veux pas ça en aucun cas je veux qu'il est des problèmes à cause de moi. Je sais que je ne devrais pas avoir une relation pareille avec mon prof de littérature mais je ne sais pas, en quelque jour je me suis attachée à lui pas sentimentalement non mais plutôt physiquement j'aime bien son sourire, ses yeux bleu sont magnifiques et il vraiment canon. J'ai hâte d'être à ce soir, j'ai vraiment envie de lui parler mais j'ai un petit problème pour le moment. Je fais comment pour Noa, je ne vais pas le laisser à la crèche donc il va forcément le voir et il va surement me demander qui il est... Je n'ai pas envie de lui mentir mais je n'ai pas le choix, si je veux le connaitre d'avantage je vais devoir lui mentir sur Noa et sur mon passé en Amérique. Je n'ai jamais aimée mentir, en Californie je ne mentais jamais mais depuis que je suis arrivé à Londres c'est différent, j'y suis obligée pour pouvoir commencer ma nouvelle vie. Parler le moins possible de Noa au risque de devoir dévoiler la vérité sur moi. C'est ça qui me fait le plus peur, c'est que les gens sachent que je suis déjà mère d'un bébé de un mois à seulement seize ans. Les gens on leur propre avis sur le sujet, certains l'accepte et d'autre non, pourquoi ? Je ne sais pas, c'est par ce qu'on à un bébé à seize ans qu'on est forcement une traînée, on peut très bien en avoir un sans l'être. Moi, je croyais que je savais ce que voulais dire aimer mais il c'est révélé que non, je ne savais pas la signification du véritable amour, celui ou on donnerai tout ce qu'on possède pour cette personne, lorsqu'on ressent le besoin de la protéger dans n'importe qu'elle situation, j'ai toujours voulus vivre le vrai et véritable amour mais en faite je ne pense pas qu'il existe. C'est vrai comment serai t'il possible d'aimer quelque tellement qu'on sacrifierait sa propre vie pour lui ? Comment pouvons-nous ressentir un tel sentiment si force à une et même personne ?

16 AnsWhere stories live. Discover now