Les petits Princes || Larry Stylinson

XXVI

D'un point de vue extérieur, on pourrait penser à une vraie petite famille.

-Lou, pourquoi on peut pas rester dormir ici?
-vous pouvez chérie mais je ne sais pas si maman sera d'accord.
-Demande à Papa alors!

Il revient après avoir appelé son père et son sourire trahis clairement l'accord de celui-ci. Les filles sautent de joie et on commande chinois pour ne pas faire à manger.

Louis n'a qu'un lit pour bébé alors on décide de mettre les jumeaux dedans et George sur un matelas par terre pour ne pas qu'il se fasse mal s'il tombe. Les filles vont se coucher une à une et on se retrouve enfin seul depuis le début de cette journée mais épuisés, on s'endort rapidement.

□

Les pleures de bébés me réveillent tôt, il doit être sept heure du matin et je n'avais pas prévu cela. Louis dort profondément et pour ne pas le réveiller je vais chercher les deux lève tôt pour les faire manger. George descend les escaliers seul et je suis surpris de ne pas l'avoir entendu. Il a bientôt trois ans, et je ne réalise toujours pas à quel point il grandi vite. Je me retrouve sur le canapé avec George blottit contre moi à ma gauche, Ernest sur mon torse qui mange seul et Doris contre ma cuisse gauche devant George et à qui je tiens le biberon.

Nous regardons tous les quatre les dessins animés et Louis arrive et souris comme attendris de nous voir comme ça.

-Tu aurais du me réveiller babe.
-Tu dormais trop bien.

Il s'approche et me donne un long baiser puis s'installe à nos côtés. Ses sœurs se lèvent à la suite et on passe la matinée dans le jardin ainsi que le repas du midi puis c'est l'heure pour nos invités de partir. Gemma vient chercher George en nous remerciant encore une fois tandis qu'un garde s'occupe des frères et sœurs de Lou.

-Enfin seul.
-Ouai, ça fait du bien.

Il s'occupe de ranger un peu le désordre laissé par les enfants pendant que je somnole sur le canapé. On se prépare ensuite pour la cérémonie d'ouverture d'une compétition sportive ou un de ses amis nous invite à l'after.

-Pourquoi tu veux plus aller à des fêtes?
-Parce que je préfère être avec toi.
-Alors allons-y tous les deux?
-Harry... j'ai fais beaucoup de conneries et les gens à ce genre de soirées ne manquent pas de me le rappeler, je ne veux pas que tu rencontre d'anciennes conquête ou que les autres te donnent une mauvaise image de moi parce que je sais que tu n'en serais pas fière.
-Louis, j'ai vu que t'avais changé et le passé il faut le laisser la où il est, je te vois toi maintenant et ce que tu seras plus tard. Je te connais depuis tout petit et je sais à peu près le genre de conneries que tu peux faire.
-Ouai... mais je n'en suis pas fière et je ne veux pas te mêler à ça et surtout à ses gens.
-Alors on reste ensemble, avec des gens que tu connais et en qui tu as confiance. On va changer ton image d'accord?
-Okay..

Alors on suit ses amis dans la grande salle privée, des paparazzis se sont glissés parmi les invités et ne sont vraiment pas discret seulement les gens sont dans un trop mauvais état pour s'en apercevoir.

Je reconnais ses amis du stade au loin et traîne Louis jusqu'à eux. Ils ont l'air content de nous voir et nous prennent dans leurs bras. Contrairement aux autres invités, eux ne sont pas bourrés, la bouteille n'est même pas vidée au quart et je les admire pour ça. On reste avec eux jusqu'au levé du jour, Louis est sobre et semble vraiment s'amuser. On ne s'est pas embrassés de la soirée mais nos regards étaient remplis de sous entendus, la soirée prend fin et on sort du bâtiment tout sourire. Les journalistes nous attendent à la sortie et on se prend au jeu des questions/réponses quelques minutes avant de rentrer à la maison.