Chapitre 32.

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« Seule, je crie son nom quand vient le désarroi
Et puis tout s'effondre quand il n'est plus là
...

Depuis qu'il est parti, j'n'ai pu me relever
Ce n'est plus qu'un souvenir, une larme du passé
Coincée dans mes yeux, qui n'veut plus s'en aller »
Indila

Depuis qu'il est parti, j'n'ai pu me releverCe n'est plus qu'un souvenir, une larme du passéCoincée dans mes yeux, qui n'veut plus s'en aller » Indila

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C'était  le jour du départ soit le retour en France

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C'était  le jour du départ soit le retour en France.

Et le pire c'est quoi ? C'est qu'on a raté notre vol. On devait être à l'aéroport  à 8h mais on a pas pu, vu la lenteur de certains.

La compagnie nous a donc proposé un vol du soir. Donc on va arriver à Paris, la nuit.

À l'heure actuelle nous sommes entrain d'aller à l'aéroport.  La voiture était assez petite, il y'avait Sophiane, Aïda, Ammiel et moi. Évidemment, c'était moi qui conduisais.


- Aïda laisse ça, tu comprendras tout que tard que c'est pas ta dote qu'il va payé.

Sophiane- Vraiment, les hommes sont vraiment pareils. Arrêtes de te faire du mal comme ça. Y'a rien à comprendre.


Aïda- Il m'a vraiment dit je t'aime, mais il m'a planté une lame.

- Après les je t'aime, c'est est-ce que tu fais des bails.

Sophiane- Après les t'es belle, c'est combien tu passes. Faut pas se faire avoir, ils cherchent pas des femmes, ils cherchent des escortes.


- Tu peux être la fille la plus parfaite, si il veut te tromper, il le fera. Ils prônent la contradiction, ils veulent des filles naturelles, qui s'habillent de façon pudique mais ils vont aller te tromper avec la fille, la plus maquillée du quartier.


«Orpheline?»Where stories live. Discover now