Chapitre 28.

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« J'étais censé t'aimer, mais j'ai vu l'averse,
J'ai cligné des yeux, tu n'étais plus la même
Est-ce que je t'aime ?
Je sais pas si je t'aime .»

»

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Kaïra

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Kaïra

La vie est une routine interminable. J'étais en
train de me préparer pour aller au travail quand je reçois un message de la direction de l'hôpital.

« Nous avons donc été contraints de suspendre votre contrat de travail à compter d'aujourd'hui. C'est une décision temporaire, nous vous contacterons pour vous informer de la décision finale. »

J'étais sous le choc mais je m'y attendais, avec l'histoire de la fille du directeur, ça ne pouvait que arriver. Mais tout ce que j'ai sacrifié pour ce boulot, je vais prendre du temps pour m'en remettre. En plus à 6h du matin ? C'est vraiment des gros connards ces gens.

J'essuie mes larmes, oui je passe ma vie à pleurer. Je suis une putain de fontaine mais je préfère pleurer seule que de fumer ou boire pour décompresser. Je traîne des pieds et me rends dans la chambre de mon fils. Il a école aujourd'hui. Il dormait sur ces deux oreilles, les enfants sont tellement saints, c'est la société qui les corrompt.

Je me mets à caresser ces belles boucles. Ah il a tout pris de moi, le beau gosse.

- Bébé réveille toi... allez on se réveille.

Il voulait pas bouger, il était dans un coma sucré, mais qu'est ce qu'il a fait hier ou lieu de dormir  ? Je commençais à m'impatienter. Je le secoue un peu.

- Ammiel ?


Lui- Mmh


- Je sais que tu dors plus, arrêtes de faire semblant. Allez, lèves toi mon fils.


«Orpheline?»Where stories live. Discover now