Dans les cercles privés et glamour de la Formule 1, Lewis Hamilton est une icône : un septuple champion du monde, une star médiatique, un homme de passion, de principe et d'engagement.
Mais derrière les projecteurs, se cache une âme sensible en quêt...
Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.
Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.
♠️
J'étais dans un état de bien-être profond. C'est la seule chose dont je me souvienne avant d'avoir la désagréable sensation de me faire arracher des profondeurs des abysses, par quelque chose d'humide et visqueux sur une partie de mon corps. J'ai pris du temps pour me rendre compte que j'étais allongée et que mon bras pendait hors du lit, j'ai émergé partiellement de mon sommeil et j'ai regardé en contrebas. Ma surprise fut tel que je sursautai, ma vue se posa sur un gros bouledogue qui mettait beaucoup d'énergie et d'application à me lécher les doigts.
- Oh mais qui voilà. Coucou mon grand, tu étais passé où pendant tout ce temps ?
Ma voix était affreuse, mais je n'aurais pas pu rêvé mieux comme réveil. C'était le bon vieux Roscoe, le voir me rappela notre première rencontre. Il ne savait pas qu'il avait aidait à soulager les peines d'une âme en détresse ce jour là.
Après ma courte euphorie matinale, je balayai la pièce du regard pour me situer. Cette chambre était différente de celle dans laquelle j'avais posé mes valises la veille. Celle-ci était de loin plus somptueuse et spacieuse. La déco et les affaires personnelles disposées ici et là m'indiquaient que ça ne pouvait être que la chambre d'une personne... C'était celle de Lewis.
Prise de panique, j'ai soulevé les draps pour vérifier que j'étais descente. Je portais un T-Shirt trop grand pour moi et la place à côté de moi était dans un état impeccable, j'avais donc dormi seul dans ce lit.
Je n'avais aucun souvenir fiable sur la fin de la soirée d'hier, seulement des flashs que j'aurai préférée ne pas avoir. Je me souviens avoir pris un verre, puis d'un 2ème... un 3ème, après le compte se perd. J'étais ivre ?
Oh non, s'il vous plaît non!
Selon mes souvenirs, j'avais un peu abusé du champagne. Malgré ses vertus relaxantes, c'était visiblement une très mauvaise décision. Le nombre de fois où j'avais consommé de l'alcool dans ma vie pouvait se compter sur les doigts de la main, et j'avais compris à mes dépends qu'une toute petite quantité pouvait m'enivrer. Comment j'avais pu être aussi irresponsable ? Ça ne me ressemblait pourtant pas.
