✞GONE ✞

Chapitre 14

Faël

Toute l'équipe se retrouve dans la cuisine ouverte sur la salle a manger. Nous sommes installés sur le plan de travail-bar.

Nous avons, suite à l'intervention, déposé le suspect dans une salle qu'on nous a communiqué. Cette salle ressemble a une salle d'interrogatoire de police avec une caméra qui fixe le suspect. Nous lui avons mis, selon la recommandation de la personne qui nous donne les missions, un sac sur le visage, pour qu'il ne puisse voir où Nous nous trouvons. Une façon de se perdre dans l'espace. J'ai, quant à moi, terminer mon hackage, comme à chaque fin de mission avant de les rejoindre. C'est un peu comme les transmissions chez les infirmières mais en codage. Je suis sûre même que Baïa pourrait comprendre comme Julio. Aïleen lance la conversation.

- Ton plan était parfait.

- Oui, dis-je. Si tu m'aurais laisser deux minutes de plus, tu aurais pu ne pas le faire.

En disant ma dernière phrase, je fixe la seule fille en qui je donnerai ma vie pour elle.

- On avait pas le temps fael, me coupe Onélio. Elle a bien fait.

- Baia a été merveilleuse.

Aïleen commence à me chuchotter quelques choses.

- Tu sais ce qu'il lui a dit avant qu'on les rejoigne sur le toit ?

- La communication a été brouiller. 

- Un coup de lui, demande Onélio.

- Je ne sais pas. ça peut être dû à diverses choses. 

La vérité, je l'a connais. La communication a été coupé à cause de l'hélicoptère qui devait venir chercher Michigan.

- Sans doutes un brouilleur, non ? Me demande Aïleen.

- Peut-être une désactivation ?

Onélio est toujours sur la défensive sur Baïa. C'est une fille calme et respectueuse pourtant. Elle a des principes. Si Julio a confiance en elle, il devrait lui faire confiance. Quand je la regarde, a cet instant, jouer avec la petite Loriana. Je me dis que nous avons de la chance de l'avoir dans notre équipe. Aïleen la regarde également.

- Comment tu peux dire une chose onelio ? Elle nous a sauver. Elle m'a sauvé d'un viol.

Baïa et Loriana sont entrain de jouer tranquillement, quand à elle, à la pâte à modeler. Un téléphone se mit soudainement à sonner.

- Baga ton téléphone sonne, dit la petite.

- Tu permet ? , S'excuse la concerné.

- Tu reviens jouer avec moi après ?

- Promis ma puce.

- Dans ce cas, tu peux y aller.

Baïa s'est levé et s'est éloigné de nous pour prendre l'appel. Onélio l'observe de très près. Il ne l'a lâche pas du regard et commence à se lever du tabouret.

- C'est beau tout ça mais j'ai des choses à faire.

- Comme ? Lui demande.

- Cela ne te regarde pas ! Me réponds t il d'un ton sec.

Suite à cette échange odieu d'Onélio, c'est ma beauté qui réponds à ma place.

- Toujours aussi aimable, dit donc !

- ça ne changera pas de d'habitude, lui dis-je.

C'est sûre on ne pourra pas le changer facilement. Je pense que si une personne qui y arrivera, c'est sa future copine. Une femme de caractère mais douce à la fois. Mais depuis le drame qu'il a vécu, il s'est forgé une carapace.