✞GONE ✞

Chapitre 11

Onélio

Arrivé sur les lieux de la mission, l'automobile palace, avec Aïleen, nous commençons à passer cette magnifique porte qui ressemble au porte des plus grands casino de paris. Baïa était, quant à elle, à l'endroit que Faël lui a indiqué.

En ouvrant cette porte, nous sommes émerveillé devant les voitures. Un son sort de ma bouche.

- Les voitures sont magnifiques.

- Très bien ! Nous y sommes ! Nous dit Faël dans nos oreillettes. Prenez toutes vos précautions. Repérez une grande porte devant vous.

- Il y a trop de monde et avec ma petite taille ça risque de compliquer la tâche, lui réponds Aïleen. On va essayer d'avancer.

- Tu n'as pas d'autres indications à nous donner ? Lui dis-je.

- Laisse moi du temps pour trouver d'autres indications. Leurs systèmes de vidéos surveillances est long à décrypter ... 

On peut comprendre la lenteur de Faël. Il contrôle 3 écrans en même temps ce qui complique la tâche. Defois il se retrouve avec deux écrans en plus a contrôler. Mais nous avons peu de temps.

- On te laisse une minute Faël. Le temps, pour nous, de prendre la température de la salle.

Nous coupons la communication pour le moment. Nous pouvons, cependant entendre les autres discussions que peut entreprendre Faël.

- Entendu. Baia, tu me reçois ?

- Cinq sur cinq, je t'écoute ?

D'après le son que nous recevons, nous reprenons tous qu'elle se trouve dans une canalisation d'air. Ça résonne.

- Normalement, si tu continue d'avancer dans les combles en dépassement deux canalisations ouvertes, Tu trouveras une ouverture. Tu te poste ici et tu attends mon top pour intervenir.

- Sécurité ?

Faël a toujours un plan d'avance. Surtout, si le plan B d'Aïleen est toujours d'actualité.

- Exactement. Il y a beaucoup de force spéciale dans la salle.

- ça marche.

Faël commence à décrypter les codes et fini par réussir à hacker. Nous commençons à entendre sa voix dans nos réceptions d'oreillettes.

- Onélio ? Aileen ?

- Rien de nouveau pour nous. On cherche, ai-je répondu.

- Tu as avancé ? Se demande ma partenaire.

- Mmh. ce code ici puis là et ... Voilà ! Montez l'escalier devant vous, rentrez la première pièce. Faite attention, il se pourrait que vous ayez de la visite. Fin de la communication.

La communication avec Faël a couper. Il a volontairement coupé son oreillette.

- Il est sérieux de nous laisser dans la merde là ?

- Il m'en veut, Onélio. Car en cas de repérage, j'ai prévu une diversion.

- J'ai pu comprendre vaguement. Il a accepter ?

- Non ... Il s'est contenter de parler de ma mère.

- Mais quel débile !

Nous connaissons tous l'histoire de sa mère. Nous avons tous grandi ensemble. Nous savons tous très bien que c'est un sujet sensible. Qui ne faut surtout pas aborder sauf si ça vient de elle-même.
Nous montons les grandes marches de l'escalier qui se trouve devant nous. Nous essayons tant bien que mal d'avancer entre les serveurs qui vous proposent des verres à tout vas et les gens qui vous bousculent comme si vous n'existez pas. Pour ma part, je suis passer comme un bulldozer afin de nous faire un passage. J'en avais marre des nanas qui me font du coller serré en dansant. J'ai du avoir deux ou trois regards noires. Mais je m'en fou, je m'excuserai a la fin de la mission comme toujours, si vous voyez ce que je veux dire. Je ne veux pas de relation fixe pour le moment par rapport à mon passé.

- Et bien voilà la porte, me dis Aïleen.

- Faisons profil bas. Contact 1709 appel.

Ceci est le code pour rallumer la communication avec Baïa.

Elle mit un moment à me répondre. Je pense qu'elle est tellement concentré qu'elle ne peut me répondre que dans la réponse.

- Que veux-tu Onélio ?

Sa voix est douce. Sa respiration se fait rapide. Je pense qu'elle se combat avec les canalisations. Je ne peux m'empêché de la taquiner.

- Rien. Comment sont les canalisations ?

J'entends son petit rire derrière l'oreillette. Il est vraiment tout mignon.

- Franchement ? Pas si mal que ça. C'est déjà mieux que de voir ta gueule. Fin de communication.

Malgré la fin de notre échange, je me sens obligée de la taquiné tout le temps. Cette fille me perturbe.