[ 𝟐𝟕 ]

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め・

PDV :
OKAFŪMOCHI T/P.

Le lendemain, j'étais chez moi, dans ma chambre entrain de ranger mes affaires. Il me restait encore quelques cartons à faire. Cela ne me dérangeait pas, jusqu'à ce que ma mère m'oblige à aider Tyna pour ses cartons. Qu'elle aille le faire elle-même ! Je rêve, elle ne m'a du tout aider à faire les miens alors pourquoi je devrai le faire moi.

Pour éviter la dispute qui s'était passé hier, j'ai décidé de lui obéir sans prononcer un seul mot. Je suis donc partie dans sa chambre en ouvrant grand la porte. Elle était entrain de ranger sa chambre. Dès qu'elle me vit, elle fit une tête d'étonnée.

Tyna - Oh T/p, elle dit en retirant son casque, qu'est-ce qui t'amène ici ?

Elle dit ça comme si c'était chez elle.
Enfin...bref.

- Je suis venue t'aider à ranger ta chambre. Lui dis-je froidement en détournant le regard.

Tyna - Sérieux ? Mais c'est super gentil de ta part ! Elle affichait un sourire enthousiaste.

- C'est juste parce que maman me l'a demandé, bien sûr.

Son sourire s'effaça légèrement mais son visage dégageait quand même de la bonne humeur. Je me suis avancé dans sa chambre.

- Tu veux que j'fasse quoi ?

Tyna - Euhm...tu peux prendre ce carton-là et ranger toutes ces choses sur mon bureau et dans mes tiroirs ?

- Mais...je range comme je veux...? Demandai-je avec étonnement.

Tyna - Oui, de toute façon je ne suis pas très douée pour l'organisation ! Elle riait.

Je me suis contenté de soupirer et de me mettre à ranger.

* * *

Le rangement nous avait prit plus de 50 minutes. Sa chambre était belle pour être honnête. Pendant que nous rangions, elle essayait d'engager une discussion avec moi mais je répondais très froidement en formulant des phrases courtes et simples. Malgré ça, elle gardait la bonne humeur. 

Tyna - Merci de m'avoir aidé sœurette !

- Tu remercieras maman...

Tyna - D'accord...si tu as besoin d'aide tu peux m'appeler !

- Tu peux toujours rêver...chuchotai-je doucement en quittant sa chambre.

Je me suis dirigée vers la mienne en m'assoupissant sur mon lit. Je fixai le plafond en repensant au cadet de mes soucis : Mikey.

Je le revoyais dans mes pensées, me regardant d'une expression glaciale. Il doit vraiment me détester...je ne lui ai donné aucunes nouvelles durant ces années alors que lors de mon déménagement, nous étions encore en couple. Ça ne doit plus être le cas, bien sûr.

Quand je le regardais hier, je n'avais qu'une envie : le serrer dans mes bras.
Seulement, voilà...j'ai tout gâché.

Je repensais à la première fois que je l'avais revue après deux ans. Il venait de casser la gueule de plusieurs personnes. Ce qui veut dire qu'il était toujours aussi fort qu'avant, voire plus.

𝐁𝐄𝐅𝐎𝐑𝐄Where stories live. Discover now