Chapitre 14

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Toute le long du chemin sa main est restée posé sur ma cuisse. Une fois arrivés devant l'immeuble, nous descendons rapidement en riant et nous nous tenons la main, il m'embrasse alors que j'essaye de fouiller dans mon sac pour trouver mon trousseau de clé. Je n'arrive pas à mettre la main dessus c'est surement à cause des effets de l'alcool. Nous rions, nous nous embrassons comme deux adolescent, il me plaque contre la porte d'entrée de l'immeuble en posant sa main contre le mur. Il pose son autre main entre mes reins pour me plaquer contre lui. Je sens bien qu'il a hâte de me faire l'amour. Je ne pense qu'à ça depuis que Kim m'a annoncé qu'elle irait dormir chez John, enfin une nuit avec lui, Patrick, mon prof, mon tuteur de stage. Depuis que je l'ai vu le premier jour je suis tombée sous son charme. Tout m'attire en lui, je ne saurais pas expliquer pourquoi et il est là devant mon immeuble, prêt à monter chez moi, il m'embrasse et a envie de moi. Pendant qu'il m'embrasse le cou, j'arrive enfin à trouver mes clés, j'ouvre la porte et on monte les escaliers, toujours en riant, il essaye de m'attraper, il me saisit et me plaque à nouveau contre le mur sur le demi pallier. Il déboutonne un, puis deux boutons de mon chemisier. Il passe ses mains dessous, sur mon ventre pour remonter sur mes seins. Mon soutien gorge le gène alors d'une main il me le détache sans difficulté. Il se baisse tout en remontant mon haut et dépose des baisers sur mon ventre. Sa bouche remonte et se dirige vers mes seins, qui réagissent rapidement. Il les embrasse tour à tour, pendant que je lève la tête au ciel. Je n'en peux plus, il faut qu'il me délivre, l'excitation remplie maintenant mon corps tout entier. Il remet mon chemiser et m'attrape par la main, saisit mes clé en se dirigeant vers ma porte. La lumière chez moi est éteinte, c'est bon signe, Kim est toujours chez John et l'appart est vide. Il ouvre la porte, me fait entrer et la referme aussitôt. Dans la pénombre il enlève sa veste et la pose directement par terre, il déboutonne le reste de mes boutons de chemisiers tout en traversant le salon. Il déboutonne aussi sa chemise puis la jette sur le canapé. Je ne me lasse pas de voir son torse nu, ses muscles se contacter à chaque mouvement, la lumière est éteinte mais j'arrive à voir grâce aux lumières des lampadaires dans la rue qui illuminent légèrement la pièce.Il me saisit par les hanches, le contact de ses mains sur ma peau me rend dingue. Il me presse contre lui, j'arrive à sentir son érection. Il déboutonne mon jean, dans la foulée il le baisse ainsi que ma culotte. Je me retourne en soutien gorge à moitié nue juste la devant lui. Ça y est, ça va se passer. Il me soulève et me transporte dans ses bras jusque dans ma chambre, il me dépose sur le lit, m'écarte les jambes et vient au dessus de moi. Il m'embrasse tout en me caressant le ventre, puis il se saisit de mon soutien gorge et le jette par terre. Il se relève et m'observe. J'aperçois son sourire et les fossettes sur ses joues. Il ne voit pas mon corps en plein jour mais je suis tout de même intimidée, je n'ai plus rien pour me cacher, il vient de jeter le dernier bout de tissus qui couvrait ma pudeur. Je suis nue, juste devant lui, offerte. Il se relève, déboutonne son jean en me regardant, saisit un emballage de préservatif dans sa poche et baisse son jean. J'arrive à voir son érection à travers son boxer gris, qu'il baisse son hésiter une seconde de plus. Il enfile le préservatif et reviens au dessus de moi. Nous nous glissons sous la couette. Je sens sa main me caresser l'intérieur de la cuisse, jusqu'à mon point sensible, il me pénètre avec son index. Je suis déjà tellement excité qu'il le retire, il attrape ma jambe et passe son bras sous mon genou pour la remonter et me pénètre. Je ne me souvenais pas très bien de cette sensation depuis notre douche sensuelle mais le sentir en moi me procure une telle sensation que je pousse un cri de plaisir. Me sentir aussi réceptive à l'air de lui faire plaisir, ses va et vient s'intensifient, plus je gémis plus il accélère, plus il accélère plus je ressens de plaisir. Jusqu'au moment où j'explose de plaisir, ma respiration s'arrête, je me mors les lèvres, les spasmes et des décharges électriques parcourent le bas de mon ventre. Il m'embrasse et se retire, pose le préservatif et s'allonge contre moi. Il me regarde sans rien dire et me sourit. Je reste blottie contre lui, ses bras m'entourent, je suis bien ; quelques minutes plus tard j'entends sa respiration s'accélérer, il vient de s'endormir.Je ferme les yeux et je m'endors à mon tour.

Méthodes dangereusesWhere stories live. Discover now